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“A natural communicator, both on and off the podium” (The Telegraph), Alexander Shelley performs across six continents with the world’s finest orchestras and soloists.
With a conducting technique described as “immaculate” (Yorkshire Post) and a “precision, distinction and beauty of gesture not seen since Lorin Maazel” (Le Devoir), Shelley is known for the clarity and integrity of his interpretations and the creativity and vision of his programming. To date, he has spearheaded over 40 major world premieres, highly praised cycles of Beethoven, Schumann and Brahms symphonies, operas, ballets and innovative multi-media productions.
Since 2015, he has served as Music Director of Canada’s National Arts Centre Orchestra and Principal Associate Conductor of London’s Royal Philharmonic Orchestra. In April 2023, he was appointed Artistic and Music Director of Artis–Naples in Florida, providing artistic leadership for Naples Philharmonic and the entire multidisciplinary arts organization. The 2024-2025 season is Alexander’s inaugural season in this position.
Additional 2024-2025 season highlights include performances with the City of Birmingham Symphony Orchestra, the Colorado Symphony, the Warsaw Philharmonic, the Seattle Symphony, the Chicago Civic Orchestra and the National Symphony of Ireland. Shelley is a regular guest with some of the finest orchestras of Europe, the Americas, Asia and Australasia, including Leipzig’s Gewandhaus Orchestra, the Konzerthausorchester Berlin, the Orchestre de la Suisse Romande, the Helsinki, Hong Kong, Luxembourg, Malaysian, Oslo, Rotterdam and Stockholm philharmonic orchestras and the Sao Paulo, Houston, Seattle, Baltimore, Indianapolis, Montreal, Toronto, Munich, Singapore, Melbourne, Sydney and New Zealand symphony orchestras.
In September 2015, Shelley succeeded Pinchas Zukerman as Music Director of Canada’s National Arts Centre Orchestra, the youngest in its history. The ensemble has since been praised as “an orchestra transformed ... hungry, bold, and unleashed” (Ottawa Citizen), and his programming is credited for turning the orchestra “almost overnight ... into one of the more audacious orchestras in North America” (Maclean’s). Together, they have undertaken major tours of Canada, Europe and Carnegie Hall, where they premiered Philip Glass’s Symphony No. 13.
They have commissioned ground-breaking projects such as Life Reflected and Encount3rs, released multiple JUNO-nominated albums and, most recently, responded to the pandemic and social justice issues of the era with the NACO Live and Undisrupted video series.
In August 2017, Shelley concluded his eight-year tenure as Chief Conductor of the Nurnberger Symphoniker, a period hailed by press and audiences alike as a golden era for the orchestra.
Shelley’s operatic engagements have included The Merry Widow and Gounod’s Romeo and Juliet (Royal Danish Opera), La bohème (Opera Lyra/National Arts Centre), Louis Riel (Canadian Opera Company/National Arts Centre), lolanta (Deutsche Kammerphilharmonie Bremen), Così fan tutte (Opera National de Montpellier), The Marriage of Figaro (Opera North), Tosca (Innsbruck) and both Le nozze di Figaro and Don Giovanni in semi-staged productions at the NAC.
Winner of the ECHO Music Prize and the Deutsche Grunderpreis, Shelley was conferred with the Cross of the Federal Order of Merit by German President Frank-Walter Steinmeier in April 2023 in recognition of his services to music and culture.
Through his work as Founder and Artistic Director of the Schumann Camerata and their pioneering “440Hz” series in Dusseldorf, as founding Artistic Director of the Deutsche Kammerphilharmonie Bremen’s “Zukunftslabor” and through his regular tours leading Germany’s National Youth Orchestra, inspiring future generations of classical musicians and listeners has always been central to Alexander’s work.
He regularly gives informed and passionate pre- and post-concert talks on his programs, as well as numerous interviews and podcasts on the role of classical music in society. In Nuremberg alone, over nine years, he hosted over half a million people at the annual Klassik Open Air concert, Europe’s largest classical music event.
Born in London in October 1979 to celebrated concert pianists, Shelley studied cello and conducting in Germany and first gained widespread attention when he was unanimously awarded first prize at the 2005 Leeds Conductors’ Competition, with the press describing him as “the most exciting and gifted young conductor to have taken this highly prestigious award.”
The Music Director role is supported by Elinor Gill Ratcliffe, C.M., ONL, LL.D. (hc).
Décrit comme « un communicateur né, sur scène comme dans la vie » (The Telegraph), Alexander Shelley se produit sur six continents avec les plus grands ensembles et solistes de la planète.
Reconnu pour sa technique de direction « impeccable » (Yorkshire Post) et pour « la précision, la distinction et la beauté de sa gestique […] quelque chose que l’on n’a plus vraiment vu depuis Lorin Maazel » (Le Devoir), le maestro est aussi célébré pour la clarté et l’intégrité de ses interprétations et pour la créativité et l’audace de sa programmation. Il a à ce jour dirigé plus de 40 premières mondiales d’envergure, des cycles acclamés des symphonies de Beethoven, de Schumann et de Brahms, des opéras, des ballets et des productions multimédias novatrices.
Il est depuis 2015 directeur musical de l’Orchestre du Centre national des Arts du Canada et premier chef associé de l’Orchestre philharmonique royal de Londres. En avril 2023, il a été nommé directeur artistique et musical d’Artis—Naples en Floride, prenant ainsi les rênes artistiques de l’Orchestre philharmonique de Naples et de tous les volets de cette organisation multidisciplinaire. La saison 2024–2025 est sa première à ce poste.
Alexander Shelley se produira également cette saison avec l’Orchestre symphonique de la Ville de Birmingham, l’Orchestre symphonique du Colorado, l’Orchestre philharmonique de Varsovie, l’Orchestre symphonique de Seattle, le Chicago Civic Orchestra et l’Orchestre symphonique national d’Irlande. Il est régulièrement invité par les plus grands orchestres d’Europe, d’Amérique, d’Asie et d’Australasie, dont l’Orchestre du Gewandhaus de Leipzig, le Konzerthausorchester Berlin, l’Orchestre de la Suisse Romande, les orchestres philharmoniques d’Helsinki, de Hong Kong, du Luxembourg, de Malaisie, d’Oslo, de Rotterdam et de Stockholm et les orchestres symphoniques de Sao Paulo, de Houston, de Seattle, de Baltimore, d’Indianapolis, de Montréal, de Toronto, de Munich, de Singapour, de Melbourne, de Sydney et de Nouvelle-Zélande.
Alexander Shelley a succédé à Pinchas Zukerman à titre de directeur musical de l’Orchestre du Centre national des Arts du Canada en septembre 2015, devenant le plus jeune chef à occuper ce poste dans l’histoire de l’ensemble. Ce dernier a depuis été qualifié de « transformé », « passionné », « ambitieux » et « déchaîné » (Ottawa Citizen) et classé parmi les plus audacieux en Amérique du Nord pour sa programmation (Maclean’s). Le maestro a mené ses troupes dans des tournées d’envergure au Canada, en Europe et au Carnegie Hall, où il a dirigé la première de la Symphonie no 13 de Philip Glass.
À la tête de l’Orchestre du CNA, Alexander Shelley a commandé des œuvres révolutionnaires, dont Réflexions sur la vie et RENCONTR3S, et fait paraître plusieurs albums finalistes aux prix JUNO. En réaction à la pandémie et aux questions de justice sociale qui dominent notre époque, il a lancé les séries vidéo L’OCNA en direct et INCONDITIONNEL.
En août 2017 se concluait le mandat du maestro Shelley à la direction de l’Orchestre symphonique de Nuremberg, période décrite comme un âge d’or par la critique et le public.
Sur la scène lyrique, Alexander Shelley a dirigé La veuve joyeuse et le Roméo et Juliette de Gounod (Opéral royal danois), La bohème (Opera Lyra / Centre national des Arts), Louis Riel (Compagnie d’opéra canadienne / Centre national des Arts), Iolanta (Deutsche Kammerphilharmonie de Brême), Così fan tutte (Opéra Orchestre National Montpellier), Les noces de Figaro (Opera North), Tosca (Innsbruck) ainsi que Les noces de Figaro et Don Giovanni en version semi-scénique au CNA.
Lauréat du prix ECHO et du Deutsche Grunderpreis, le chef s’est vu décerner en avril 2023 la Croix fédérale du Mérite par le président allemand Frank-Walter Steinmeier en reconnaissance de ses services à la musique et à la culture.
À titre de fondateur et directeur artistique de la Schumann Camerata et de sa série avant-gardiste 440Hz à Düsseldorf et de directeur artistique du projet Zukunftslabor de la Deutsche Kammerphilharmonie de Brême, ainsi que par ses nombreuses tournées à la tête de l’Orchestre national des jeunes d’Allemagne, il cherche constamment à inspirer les futures générations d’instrumentistes et d’adeptes de musique classique.
Alexander Shelley fait régulièrement des présentations instructives et passionnées sur ses programmes avant et après les concerts. Il participe aussi à de nombreuses entrevues et produit des balados sur le rôle de la musique classique dans la société. Seulement à Nuremberg, il a accueilli en neuf ans plus d’un demi-million de personnes aux concerts annuels du Klassik Open Air, le plus grand événement de musique classique d’Europe.
Né à Londres en octobre 1979 et fils de célèbres pianistes concertistes, Alexander Shelley a étudié le violoncelle et la direction d’orchestre en Allemagne. Il s’est d’abord signalé en remportant à l’unanimité le premier prix au Concours de direction d’orchestre de Leeds en 2005. La critique l’a décrit comme « le jeune chef d’orchestre le plus passionnant et le plus doué à avoir récolté ce prix hautement prestigieux ».
Le poste de directeur musical bénéficie du soutien d’Elinor Gill Ratcliffe, C.M., O.N.L., LL.D. (hc).
Born in Montreal October 15, 1947
Artistic Director, Société de musique contemporaine du Québec
“New music is fantastic. We’ve been plagued with an obsolete image from the 1950s of all these boring exercises that emptied the halls. It has nothing to do with the amazing array of different works in contemporary music. There’s something there for everybody. Enjoy new music!”
Concertgoers reluctant to test the waters of contemporary music might well heed Walter Boudreau’s clarion call – words that reveal this Montrealer as one of Canada’s leading lights on the contemporary music scene, one who works tirelessly to promote modern music by Canadians and others.
Boudreau was the first composer-in-residence of the Toronto Symphony (1990–1993). He has been artistic director and principal conductor of the Société de musique contemporaine du Québec (SMCQ) since 1988 and has brought that organization international acclaim. He has led prestigious musical ensembles and orchestras across Canada and abroad. His many awards and prizes include the inaugural CBC Radio National Competition for Young Composers in 1974, the Jules Léger Prize for chamber music in 1982, the Molson Prize from the Canada Council for the Arts in 2003, the Prix Denise-Pelletier in 2004 (the most prestigious award given by the Quebec government in the area of the performing arts), and in May 2015, the Governor General’s Performing Arts Award, Canada’s highest honour in the performing arts. In 2013, he became both a member of the Order of Canada and a Chevalier de l’Ordre national du Québec. Boudreau’s teachers in Montreal have included Bruce Mather, Gilles Tremblay, and Serge Garant, and he also studied in Europe and the United States with Pierre Boulez, Mauricio Kagel, György Ligeti, Karlheinz Stockhausen, and Iannis Xenakis.
As a composer, Boudreau has written over 60 works for chamber ensemble and full orchestra, in addition to film scores. Other major achievements to be noted include two participatory events he organized: the Millennium Symphony in 2000 – a collective work by 19 composers for 333 musicians and 2,000 bellringers; and in 2011, Le téléphone bien tempéré, which included a role for the audience’s cell phones.
Né à Montréal, le 15 octobre 1947
Directeur artistique, Société de musique contemporaine du Québec
« La musique nouvelle, c’est fantastique. Les œuvres arides des années 1950, qui ont littéralement vidé les salles, ont trop longtemps projeté une image ennuyeuse de la musique contemporaine. Cela n’a rien à voir avec l’étonnante diversité que l’on trouve aujourd’hui. Il y en a pour tous les goûts. Apprenez à apprécier la musique nouvelle ! »
Les mélomanes qui répugnent à s’aventurer dans les eaux de la musique contemporaine pourraient se laisser fléchir par l’appel de Walter Boudreau – dont les mots positionnent clairement ce Montréalais comme un phare de la scène de la musique contemporaine au Canada, œuvrant sans relâche à promouvoir la musique moderne de compositeurs canadiens et étrangers.
M. Boudreau a été le premier compositeur résident de l’Orchestre symphonique de Toronto (1990-1993). Directeur artistique et chef attitré de la Société de musique contemporaine du Québec (SMCQ) depuis 1988, il a permis à cette organisation de rayonner sur la scène internationale. Il a aussi dirigé de prestigieux ensembles et orchestres partout au Canada et à l’étranger. Parmi les nombreux prix qu’il a remportés, mentionnons le tout premier prix du Concours national de la Société Radio-Canada pour jeunes compositeurs en 1974, le prix Jules-Léger pour la musique de chambre en 1982, le prix Molson du Conseil des arts du Canada en 2003, le prix Denise-Pelletier en 2004 (la plus haute récompense décernée par le gouvernement du Québec dans le champ des arts de la scène) et, en mai 2015, le prix du Gouverneur général pour les arts du spectacle (la plus haute distinction dans le monde des arts du spectacle au Canada). En 2013, il a été reçu membre de l’Ordre du Canada et chevalier de l’Ordre national du Québec. Il a été l’élève de Bruce Mather, Gilles Tremblay et Serge Garant à Montréal, et a étudié avec Pierre Boulez, Mauricio Kagel, György Ligeti, Karlheinz Stockhausen et Iannis Xenakis aux États-Unis et en Europe.
Comme compositeur, il a écrit plus de soixante œuvres pour formation de chambre et pour orchestre, ainsi que plusieurs musiques de film. Parmi ses principales réalisations, il faut mentionner au moins deux événements participatifs majeurs dont il a été le maître d’œuvre : la Symphonie du Millénaire en 2000 – une œuvre collective de 19 compositeurs pour 333 musiciens et 2 000 sonneurs de clochettes – et, en 2011, Le téléphone bien tempéré, qui mettait à contribution les téléphones cellulaires de l’auditoire à un ensemble instrumental.
Hailed as a “hero” (Los Angeles Times), a “smashing” performer (The Washington Post), “a pianist who breaks the mold” (International Piano) and who “stands out from the typical trends and artifices offered on the international scene” (Classica), Alain Lefèvre pursues a sparkling career, having performed in over 40 countries, in the most prestigious venues (Carnegie Hall, Kennedy Center, Royal Albert Hall, Royal Festival Hall, Théâtre des Champs-Élysées, Théâtre du Châtelet, Salle Pleyel, Teatro Colon, Palacio de Bellas Artes, Herodes Atticus Theatre, and Epidaurus Theatre), and at numerous international festivals such as Ravinia, Saratoga, Wolf Trap, Athens, Istanbul, and Cervantino. His dazzling performances are frequently described as “unequalled” (Westdeutsche Zeitung) and “unparalleled” (Los Angeles Times, The Sacramento Bee). Saluted for his “phenomenal technique” (The Spectator), his “sparkling playing resulting in fascinating interpretations” (Kölner Stadt-Anzeiger), his “sovereign mastery” (Hamburger Abendblatt), Mr. Lefèvre has been guest soloist of great orchestras such as the Royal Philharmonic Orchestra, the Orchestre national de France, the Philadelphia Orchestra, Detroit Symphony, National Symphony, the China Philharmonic, the SWR, the Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo, and the Moscow Virtuosi; and he has worked with renowned conductors such as James Conlon, Charles Dutoit, Christoph Eschenbach, JoAnn Falletta, Claus Peter Flor, Lawrence Foster, Jacek Kaspszyk, Jacques Lacombe, Kent Nagano, Yannick Nézet-Séguin, Jukka-Pekka Saraste, Vladimir Spivakov, and Long Yu. He has revived the music of André Mathieu in concert in New York, Paris, London, Berlin and Shanghai, to name a few. His discography covers a vast repertoire, from John Corigliano’s Piano Concerto – which BBC Music Magazine considers the reference version – to Chopin’s 24 Preludes, for which critics “celebrate Alain Lefèvre,” placing his interpretation alongside the recordings of the “illustrious” Alicia de Larrocha, Ivan Moravec, and Arthur Rubinstein (Fanfare). He has won numerous prizes, including a JUNO, an Opus, 10 Felix awards (ADISQ), and the AIB Award (London) for “International personality of the year – Radio,” for his radio program broadcast on ICI Musique/RadioCanada. Alain Lefèvre is an Offi cer of the Order of Canada, Chevalier of the Ordre national du Québec, and Chevalier of the Pléiade Order.
Alain Lefèvre appears courtesy of Warner Classics.
Décrit comme un « héros » (Los Angeles Times), un « interprète foudroyant » (The Washington Post), un « pianiste qui casse le moule » (International Piano) et qui « s’affirme en dehors des modes typiques et des artifices de la scène internationale » (Classica), Alain Lefèvre poursuit une brillante carrière. Il a joué dans plus d’une quarantaine de pays sur les scènes les plus prestigieuses (Carnegie Hall, Kennedy Center, Royal Albert Hall, Royal Festival Hall, Théâtre des Champs-Élysées, Théâtre du Châtelet, Salle Pleyel, Teatro Colon, Palacio de Bellas Artes, Théâtre Hérode Atticus, Théâtre d’Épidaure) et a participé à de nombreux festivals internationaux (Ravinia, Saratoga, Wolf Trap, Athènes, Istanbul, Cervantino, etc.). Ses éblouissantes performances en concert furent à maintes reprises qualifiées « d’inégalées » (Westdeutsche Zeitung) et « d’incomparables » (Los Angeles Times, The Sacramento Bee). Salué pour sa « technique phénoménale » (The Spectator), son « jeu étincelant résultant en des interprétations fascinantes » (Kölner Stadt-Anzeiger), sa « maîtrise absolue » (Hamburger Abendblatt), M. Lefèvre a été soliste invité des grands orchestres tels le Royal Philharmonic Orchestra, l’Orchestre national de France, le Philadelphia Orchestra, le Detroit Symphony, le National Symphony, le China Philharmonic, la SWR, l’Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo et les Virtuoses de Moscou. Il a collaboré avec des chefs de renom dont James Conlon, Charles Dutoit, Christoph Eschenbach, JoAnn Falletta, Claus Peter Flor, Lawrence Foster, Jacek Kaspszyk, Jacques Lacombe, Kent Nagano, Yannick Nézet-Séguin, Jukka-Pekka Saraste, Vladimir Spivakov et Long Yu. Il a fait revivre l’œuvre d’André Mathieu en concert à New York, Paris, Londres, Berlin et Shanghaï, pour ne nommer que ces villes. Sa discographie couvre un vaste répertoire, du Concerto pour piano de John Corigliano, version de référence selon le BBC Music Magazine, aux 24 Préludes de Chopin, où la critique « célèbre Alain Lefèvre », le plaçant aux côtés des enregistrements des « illustres » Alicia de Larrocha, Ivan Moravec et Arthur Rubinstein (Fanfare). M. Lefèvre est récipiendaire de nombreux prix, dont un JUNO, un Opus, dix Félix (ADISQ) et a remporté le Prix AIB décerné à Londres, pour la Personnalité internationale de l’année – Radio, pour son émission diffusée sur les ondes d’ICI Musique de Radio-Canada. Il est Officier de l’Ordre du Canada, Chevalier de l’Ordre National du Québec et Chevalier de l’Ordre de la Pléiade.
La participation d’Alain Lefèvre est rendue possible grâce à l’aimable autorisation de Warner Classics.