Gabriela Montero’s visionary interpretations and unique compositional gifts have garnered her critical acclaim and a devoted following on the world stage. Anthony Tommasini remarked in the New York Times that “Montero’s playing had everything: crackling rhythmic brio, subtle shadings, steely power…soulful lyricism…unsentimental expressivity.”
Montero’s 2023–2024 season will feature performances of her own “Latin” Concerto on an extensive U.S. tour with Mexico City’s Orquesta Sinfónica de Minería and Carlos Miguel Prieto, as well as with the New World Symphony, the Polish National Radio Symphony, the Antwerp Symphony, and the NAC Orchestra, the latter with which she continues a flourishing four-year Creative Partnership through 2025.
Celebrated for her exceptional musicality and ability to improvise, Montero has performed with many of the world’s leading orchestras, including the New York Philharmonic, the Gewandhausorchester Leipzig, the Academy of St Martin in the Fields, and the Yomiuri Nippon Symphony Orchestra. A graduate and Fellow of the Royal Academy of Music in London, she is also a frequent recitalist and chamber musician, having given concerts at such distinguished venues as Wigmore Hall, Carnegie Hall, Vienna Konzerthaus, Sydney Opera House, and the National Concert Hall in Taipei.
An award-winning and bestselling recording artist, her most recent album, released on the Orchid Classics label, features her own “Latin” Concerto and Ravel’s Piano Concerto in G major, recorded with the Orchestra of the Americas in Frutillar, Chile. Montero made her formal debut as a composer with Ex Patria, a tone poem designed to illustrate and protest Venezuela’s descent into lawlessness, corruption, and violence.
Winner of the 4th International Beethoven Award, Montero is a committed advocate for human rights whose voice regularly reaches beyond the concert hall. She was also awarded the 2012 Rockefeller Award for her contribution to the arts and was a featured performer at Barack Obama’s 2008 Presidential Inauguration.
Les interprétations visionnaires et les talents de compositrice exceptionnels de Gabriela Montero lui ont valu les éloges de la critique et un public dévoué sur la scène internationale. Anthony Tommasini écrivait dans le New York Times que « son interprétation a tout ce qu’il faut : une rythmique éclatante et grandiose, des nuances subtiles, une puissance d’acier… un lyrisme émouvant… une expressivité sans fleur bleue. »
Pour la saison 2023-2024. Gabriela Montero joue son propre concerto « Latin » lors d’une longue tournée aux États-Unis avec l’Orquesta Sinfónica de Minería de Mexico et Carlos Miguel Prieto, ainsi qu’avec le New World Symphony, l’Orchestre symphonique national de la radio polonaise, l’Orchestre symphonique d’Anvers et l’Orchestre du CNA, avec lequel elle poursuit jusqu’en 2025 son partenariat créatif fécond.
Célébrée pour son talent exceptionnel et son don de l’improvisation, Gabriela Montero s’est produite avec plusieurs des grands orchestres du monde entier, dont l’Orchestre philharmonique de New York, l’Orchestre du Gewandhaus de Leipzig, l’Academy of St Martin in the Fields et l’Orchestre symphonique Yomiuri du Japon. Diplômée et compositrice associée de la Royal Academy of Music à Londres, récitaliste et musicienne de chambre, elle a donné des concerts dans de hauts lieux dont le Wigmore Hall, Carnegie Hall, le Vienna Konzerthaus, l’Opéra de Sydney et la Salle de concert nationale de Taipei.
Cette artiste de studio à succès primée a récemment fait paraître un album sous Orchid Classics, où l’on trouve son propre Concerto pour piano no 1 (le concerto « Latin ») ainsi que le Concerto pour piano en sol majeur de Ravel, enregistrés en compagnie de l’Orchestre des Amériques à Frutillar, au Chili. Sa première composition officielle, Ex Patria, était un poème tonal illustrant et dénonçant la descente du Venezuela dans le chaos, la corruption et la violence.
Lauréate du quatrième Prix international Beethoven, Gabriela Montero est une grande défenseuse des droits de la personne dont la voix s’élève bien au-delà des salles de concert. Elle a aussi reçu le Prix Rockefeller 2012 pour sa contribution aux arts et a joué lors de l’investiture de Barack Obama en 2008.