Listening to the Earth
Kathryn Patricia Cobbler © Curtis Perry
“A natural communicator, both on and off the podium” (The Telegraph), Alexander Shelley performs across six continents with the world’s finest orchestras and soloists.
With a conducting technique described as “immaculate” (Yorkshire Post) and a “precision, distinction and beauty of gesture not seen since Lorin Maazel” (Le Devoir), Shelley is known for the clarity and integrity of his interpretations and the creativity and vision of his programming. To date, he has spearheaded over 40 major world premieres, highly praised cycles of Beethoven, Schumann and Brahms symphonies, operas, ballets and innovative multi-media productions.
Since 2015, he has served as Music Director of Canada’s National Arts Centre Orchestra and Principal Associate Conductor of London’s Royal Philharmonic Orchestra. In April 2023, he was appointed Artistic and Music Director of Artis–Naples in Florida, providing artistic leadership for Naples Philharmonic and the entire multidisciplinary arts organization. The 2024-2025 season is Alexander’s inaugural season in this position.
Additional 2024-2025 season highlights include performances with the City of Birmingham Symphony Orchestra, the Colorado Symphony, the Warsaw Philharmonic, the Seattle Symphony, the Chicago Civic Orchestra and the National Symphony of Ireland. Shelley is a regular guest with some of the finest orchestras of Europe, the Americas, Asia and Australasia, including Leipzig’s Gewandhaus Orchestra, the Konzerthausorchester Berlin, the Orchestre de la Suisse Romande, the Helsinki, Hong Kong, Luxembourg, Malaysian, Oslo, Rotterdam and Stockholm philharmonic orchestras and the Sao Paulo, Houston, Seattle, Baltimore, Indianapolis, Montreal, Toronto, Munich, Singapore, Melbourne, Sydney and New Zealand symphony orchestras.
In September 2015, Shelley succeeded Pinchas Zukerman as Music Director of Canada’s National Arts Centre Orchestra, the youngest in its history. The ensemble has since been praised as “an orchestra transformed ... hungry, bold, and unleashed” (Ottawa Citizen), and his programming is credited for turning the orchestra “almost overnight ... into one of the more audacious orchestras in North America” (Maclean’s). Together, they have undertaken major tours of Canada, Europe and Carnegie Hall, where they premiered Philip Glass’s Symphony No. 13.
They have commissioned ground-breaking projects such as Life Reflected and Encount3rs, released multiple JUNO-nominated albums and, most recently, responded to the pandemic and social justice issues of the era with the NACO Live and Undisrupted video series.
In August 2017, Shelley concluded his eight-year tenure as Chief Conductor of the Nurnberger Symphoniker, a period hailed by press and audiences alike as a golden era for the orchestra.
Shelley’s operatic engagements have included The Merry Widow and Gounod’s Romeo and Juliet (Royal Danish Opera), La bohème (Opera Lyra/National Arts Centre), Louis Riel (Canadian Opera Company/National Arts Centre), lolanta (Deutsche Kammerphilharmonie Bremen), Così fan tutte (Opera National de Montpellier), The Marriage of Figaro (Opera North), Tosca (Innsbruck) and both Le nozze di Figaro and Don Giovanni in semi-staged productions at the NAC.
Winner of the ECHO Music Prize and the Deutsche Grunderpreis, Shelley was conferred with the Cross of the Federal Order of Merit by German President Frank-Walter Steinmeier in April 2023 in recognition of his services to music and culture.
Through his work as Founder and Artistic Director of the Schumann Camerata and their pioneering “440Hz” series in Dusseldorf, as founding Artistic Director of the Deutsche Kammerphilharmonie Bremen’s “Zukunftslabor” and through his regular tours leading Germany’s National Youth Orchestra, inspiring future generations of classical musicians and listeners has always been central to Alexander’s work.
He regularly gives informed and passionate pre- and post-concert talks on his programs, as well as numerous interviews and podcasts on the role of classical music in society. In Nuremberg alone, over nine years, he hosted over half a million people at the annual Klassik Open Air concert, Europe’s largest classical music event.
Born in London in October 1979 to celebrated concert pianists, Shelley studied cello and conducting in Germany and first gained widespread attention when he was unanimously awarded first prize at the 2005 Leeds Conductors’ Competition, with the press describing him as “the most exciting and gifted young conductor to have taken this highly prestigious award.”
The Music Director role is supported by Elinor Gill Ratcliffe, C.M., ONL, LL.D. (hc).
Décrit comme « un communicateur né, sur scène comme dans la vie » (The Telegraph), Alexander Shelley se produit sur six continents avec les plus grands ensembles et solistes de la planète.
Reconnu pour sa technique de direction « impeccable » (Yorkshire Post) et pour « la précision, la distinction et la beauté de sa gestique […] quelque chose que l’on n’a plus vraiment vu depuis Lorin Maazel » (Le Devoir), le maestro est aussi célébré pour la clarté et l’intégrité de ses interprétations et pour la créativité et l’audace de sa programmation. Il a à ce jour dirigé plus de 40 premières mondiales d’envergure, des cycles acclamés des symphonies de Beethoven, de Schumann et de Brahms, des opéras, des ballets et des productions multimédias novatrices.
Il est depuis 2015 directeur musical de l’Orchestre du Centre national des Arts du Canada et premier chef associé de l’Orchestre philharmonique royal de Londres. En avril 2023, il a été nommé directeur artistique et musical d’Artis—Naples en Floride, prenant ainsi les rênes artistiques de l’Orchestre philharmonique de Naples et de tous les volets de cette organisation multidisciplinaire. La saison 2024–2025 est sa première à ce poste.
Alexander Shelley se produira également cette saison avec l’Orchestre symphonique de la Ville de Birmingham, l’Orchestre symphonique du Colorado, l’Orchestre philharmonique de Varsovie, l’Orchestre symphonique de Seattle, le Chicago Civic Orchestra et l’Orchestre symphonique national d’Irlande. Il est régulièrement invité par les plus grands orchestres d’Europe, d’Amérique, d’Asie et d’Australasie, dont l’Orchestre du Gewandhaus de Leipzig, le Konzerthausorchester Berlin, l’Orchestre de la Suisse Romande, les orchestres philharmoniques d’Helsinki, de Hong Kong, du Luxembourg, de Malaisie, d’Oslo, de Rotterdam et de Stockholm et les orchestres symphoniques de Sao Paulo, de Houston, de Seattle, de Baltimore, d’Indianapolis, de Montréal, de Toronto, de Munich, de Singapour, de Melbourne, de Sydney et de Nouvelle-Zélande.
Alexander Shelley a succédé à Pinchas Zukerman à titre de directeur musical de l’Orchestre du Centre national des Arts du Canada en septembre 2015, devenant le plus jeune chef à occuper ce poste dans l’histoire de l’ensemble. Ce dernier a depuis été qualifié de « transformé », « passionné », « ambitieux » et « déchaîné » (Ottawa Citizen) et classé parmi les plus audacieux en Amérique du Nord pour sa programmation (Maclean’s). Le maestro a mené ses troupes dans des tournées d’envergure au Canada, en Europe et au Carnegie Hall, où il a dirigé la première de la Symphonie no 13 de Philip Glass.
À la tête de l’Orchestre du CNA, Alexander Shelley a commandé des œuvres révolutionnaires, dont Réflexions sur la vie et RENCONTR3S, et fait paraître plusieurs albums finalistes aux prix JUNO. En réaction à la pandémie et aux questions de justice sociale qui dominent notre époque, il a lancé les séries vidéo L’OCNA en direct et INCONDITIONNEL.
En août 2017 se concluait le mandat du maestro Shelley à la direction de l’Orchestre symphonique de Nuremberg, période décrite comme un âge d’or par la critique et le public.
Sur la scène lyrique, Alexander Shelley a dirigé La veuve joyeuse et le Roméo et Juliette de Gounod (Opéral royal danois), La bohème (Opera Lyra / Centre national des Arts), Louis Riel (Compagnie d’opéra canadienne / Centre national des Arts), Iolanta (Deutsche Kammerphilharmonie de Brême), Così fan tutte (Opéra Orchestre National Montpellier), Les noces de Figaro (Opera North), Tosca (Innsbruck) ainsi que Les noces de Figaro et Don Giovanni en version semi-scénique au CNA.
Lauréat du prix ECHO et du Deutsche Grunderpreis, le chef s’est vu décerner en avril 2023 la Croix fédérale du Mérite par le président allemand Frank-Walter Steinmeier en reconnaissance de ses services à la musique et à la culture.
À titre de fondateur et directeur artistique de la Schumann Camerata et de sa série avant-gardiste 440Hz à Düsseldorf et de directeur artistique du projet Zukunftslabor de la Deutsche Kammerphilharmonie de Brême, ainsi que par ses nombreuses tournées à la tête de l’Orchestre national des jeunes d’Allemagne, il cherche constamment à inspirer les futures générations d’instrumentistes et d’adeptes de musique classique.
Alexander Shelley fait régulièrement des présentations instructives et passionnées sur ses programmes avant et après les concerts. Il participe aussi à de nombreuses entrevues et produit des balados sur le rôle de la musique classique dans la société. Seulement à Nuremberg, il a accueilli en neuf ans plus d’un demi-million de personnes aux concerts annuels du Klassik Open Air, le plus grand événement de musique classique d’Europe.
Né à Londres en octobre 1979 et fils de célèbres pianistes concertistes, Alexander Shelley a étudié le violoncelle et la direction d’orchestre en Allemagne. Il s’est d’abord signalé en remportant à l’unanimité le premier prix au Concours de direction d’orchestre de Leeds en 2005. La critique l’a décrit comme « le jeune chef d’orchestre le plus passionnant et le plus doué à avoir récolté ce prix hautement prestigieux ».
Le poste de directeur musical bénéficie du soutien d’Elinor Gill Ratcliffe, C.M., O.N.L., LL.D. (hc).
Caroline Ohrt has held a variety of positions in various cultural organizations, acquiring a solid knowledge of the arts ecosystem, management and governance. She has built strong local, national and international professional network which allowed her to present the highest calibre artists from all over the world at the Place des Arts, Danse Danse’s home. While there, she developed many partnerships. She cultivated opportunities for artists and audiences to meet on multiple platforms, whether at the Musée d’art contemporain de Montréal, at the Arsenal art contemporain or virtually. She actively contributed to the growth of the organization and took to heart the support and development of artists, which remains a cornerstone of her work.
She has also held multiple positions in the world of contemporary arts, including with other dance organizations such as Compagnie Marie Chouinard and, more recently, at the Domaine Forget in Saint-Irénée. With a background in art history, Caroline has advised visual arts collectors and carried out assignments at the Montreal Museum of Fine Arts. She is recognized widely as a person in constant dialogue with the forces that shape contemporary creation.
Recognized for her innovative strategic vision, she is actively involved in the community through her participation on prominent boards and juries. She is vice-president of the Conseil des arts de Montréal and a board member of the École de danse contemporaine de Montréal. Her advice is highly valued for her keen understanding of the cultural milieu and artistic realities.
Le parcours de Caroline Ohrt aura forgé chez elle une solide connaissance de la danse, de l’écosystème des arts, de la gestion et de la gouvernance. Elle a su bâtir un réseau professionnel local, national et international qui lui a permis de présenter des artistes de haut calibre provenant de tous les coins du monde sur les différentes scènes de la Place des Arts.
Son passage à Danse Danse aura été marqué par le développement de partenariats structurants. Elle a cultivé des occasions de rencontres pour les artistes et les publics sur de multiples plateformes, que ce soit au Musée d’art contemporain de Montréal, à l’Arsenal art contemporain, ou de façon virtuelle. Elle a activement contribué à la croissance de l’organisme et a à cœur le soutien et le développement des artistes, pierre angulaire de son travail.
Connue dans le milieu des arts contemporains, elle a occupé de multiples fonctions et accompli des mandats auprès d’autres organismes de danse, notamment à la Compagnie Marie Chouinard et, plus récemment, au Domaine Forget de Saint-Irénée. Forte d’une formation en histoire de l’art, Caroline a aussi conseillé des collectionneurs en arts visuels et accompli des mandats au Musée des beaux-arts de Montréal. Elle est connue pour être une personne en constant dialogue avec les forces vives de la création actuelle.
Saluée pour sa vision stratégique novatrice, elle s’implique activement dans la communauté en participant à des conseils d’administration et des jurys de renom. Elle est actuellement vice-présidente du Conseil des arts de Montréal et administratrice de l’École de danse contemporaine de Montréal. Ses conseils sont recherchés pour sa fine compréhension du milieu culturel et des réalités artistiques.
Heather Gibson is responsible for all non-orchestral music curation, and summer and community programming at the National Arts Centre (NAC). Heather and her team work with artists from all backgrounds -- from the most exciting new artists to the all-time greats -- to bring the best of the world to the NAC's stages, and the best of Canada to the world. Since joining the NAC team in 2016, Heather has been connecting and elevating artists via innovative and inclusive programs around the globe, including: EXPO 2020 in Dubai, which showcased the breadth and diversity of Canada’s performing arts community and brought 130 artists to the UAE over six months; COP15, the United Nations' biodiversity conference in Montreal; and the Global Network for Women Music Producers, an initiative to support women and non-binary music producers that so far totals 35 members in six countries, offering an international network for producers and a resource for artists and record labels. Heather’s commitment to the constantly evolving landscape of the arts continues by working to develop emerging performers, and deliver an equitable representation on our stages for women, BIPOC, and LGBTQ2S+ artists. In a direct and immediate response to the Covid-19 pandemic, in March 2020 Heather created the emergency artist relief fund #CanadaPerforms, which provided a season's worth of funding to nearly 700 performing artists and authors, non-profit festivals, and organizations. In the pandemic's first six months, #CanadaPerforms distributed almost a million dollars to arts workers across the country. Originally from Manitoba, Heather built her career in the performing arts in Halifax, where she was a successful artist manager, co-owner of Halifax's iconic queer listening room The Company House, and producer of multiple festivals and special events, including the Halifax Jazz Festival and In the Dead of Winter Music Festival.
Heather Gibson est responsable des activités non orchestrales, ainsi que de la programmation estivale et communautaire au Centre national des Arts (CNA). Entourée de son équipe, Heather travaille avec des artistes de tous horizons – des jeunes espoirs aux grandes vedettes – pour ouvrir la scène du CNA aux artistes du monde entier et faire rayonner les talents canadiens à l’international. Depuis son arrivée au CNA en 2016, Heather s’attache à promouvoir et à épauler les artistes en prenant part à de nombreux programmes novateurs et inclusifs partout dans le monde. Parmi ceux-ci, mentionnons l’EXPO 2020 de Dubaï qui a mis en lumière l’étendue et la diversité du milieu des arts de la scène au Canada avec la venue de 130 artistes aux Émirats arabes unis sur une période de six mois, la Convention sur la diversité biologique à Montréal (COP15) et le Réseau mondial pour productrices musicales, une initiative visant à soutenir les femmes et les personnes non binaires spécialisées en production musicale. En plus d’être une plateforme de réseautage international, cette initiative qui réunit 35 membres de six pays sert de ressource pour les artistes et les maisons de disques. Heather s’est donné pour mission d’appuyer le paysage artistique en constante évolution en cultivant de nouveaux talents et en assurant une représentation équitable sur scène des femmes, et des artistes qui se définissent comme étant noirs, autochtones, de couleur et 2ELGBTQ+. Dès les prémices de la pandémie de COVID-19, Heather a créé en mars 2020 #CanadaEnPrestation, un fonds d’urgence qui a permis d’offrir un soutien financier pendant une saison à près de 700 artistes de scène, auteurs, autrices, festivals sans but lucratif et organisations. Au cours des six premiers mois de la pandémie, #CanadaEnPrestation a versé près d’un million de dollars aux personnes qui œuvrent dans le milieu artistique à l’échelle nationale. Heather est originaire du Manitoba, mais c’est à Halifax qu’elle a bâti sa carrière dans le domaine des arts de la scène où elle a été agente d’artistes, copropriétaire de l’emblématique salle de spectacle queer The Company House, et productrice de nombreux festivals et événements spéciaux, notamment le Festival de jazz d’Halifax et le In The Dead of Winter Music Festival.
Executive Chef Kenton Leier brings enthusiasm, passion, and creativity to the kitchens at Canada’s National Arts Centre.
He is a second-generation chef, born and raised in Saskatoon, in the heart of the prairies. His culinary philosophy relies on the use of sustainable and locally-sourced ingredients of the highest quality, and letting their inherent qualities stand out in his dishes.
Chef Leier led teams in Ottawa’s finest hotel kitchens before moving to the NAC in 2017. He has cooked for celebrities, politicians and dignitaries, won numerous medals nationally and internationally, and taught young cooks at Ottawa’s Algonquin College.
He is committed promoting growth and excellence in his team at the NAC and leads them in their mission to represent the best in Canadian cuisine.
Le chef exécutif Kenton Leier apporte enthousiasme, passion et créativité aux cuisines du Centre national des Arts du Canada.
Il est un chef de deuxième génération, né et élevé à Saskatoon, au cœur des Prairies. Sa philosophie culinaire repose sur l’utilisation d’ingrédients durables et locaux de la plus haute qualité, et sur la mise en valeur de leurs qualités intrinsèques dans ses plats.
Le chef Leier a dirigé des équipes dans les meilleures cuisines d’hôtels d’Ottawa avant de s’installer au CNA en 2017. Il a cuisiné pour des célébrités, des politiciens et des dignitaires, a remporté de nombreuses médailles au niveau national et international et a enseigné à de jeunes cuisinières et cuisiniers au Collège Algonquin d’Ottawa.
Il s’engage à promouvoir la croissance et l’excellence au sein de son équipe au CNA et dirige habilement cette équipe dans sa mission de représenter le meilleur de la cuisine canadienne.
Kevin Loring is an accomplished Canadian playwright, actor and director and was the winner of the Governor General’s Award for English Language Drama for his outstanding play, Where the Blood Mixes in 2009. The play explores the intergenerational effects of the residential school system. It toured nationally and was presented at the National Arts Centre in 2010, when Loring was serving as the NAC’s Playwright in Residence.
A Nlaka’pamux from the Lytton First Nation in British Columbia, Loring created the Songs of the Land project in 2012 in partnership with five separate organizations in his home community. The project explores 100-year-old audio recordings of songs and stories of the N’lakap’amux People. Loring has written two new plays based on his work with the community including Battle of the Birds, about domestic violence and power abuse, and The Boy Who Was Abandoned, about youth and elder neglect.
A versatile artist and leader Loring has served as the co-curator of the Talking Stick Festival, as Artist in Residence at the Vancouver Playhouse Theatre, as Artistic Director of the Savage Society in Vancouver, as a Documentary Producer of Canyon War: The Untold Story, and as the Project Leader/Creator, and Director of the Songs of the Land project in his home community of Lytton First Nation.
Dramaturge, acteur et professeur canadien accompli, M. Loring a remporté le Prix du Gouverneur général pour la dramaturgie de langue anglaise, en 2009, pour sa pièce remarquable intitulée Where the Blood Mixes. L’œuvre se penche sur les effets intergénérationnels du régime des pensionnats autochtones. La pièce a été présentée en tournée dans tout le pays, et notamment au Centre national des Arts en 2010 alors que M. Loring y était l’auteur dramatique en résidence.
Nlaka’pamux de la Première Nation Lytton en Colombie-Britannique, M. Loring a créé le projet Songs of the Land en 2012, en partenariat avec cinq organisations distinctes de sa collectivité natale. Cette initiative puise dans 100 ans d’enregistrements sonores des chants et récits du peuple N’lakap’amux. M. Loring a écrit deux nouvelles pièces basées sur ce travail avec la collectivité : Battle of the Birds, sur la violence familiale et l’abus de pouvoir, et The Boy Who Was Abandoned, sur la négligence à l’égard des jeunes et des aînés.
Artiste et leader polyvalent, Kevin Loring a œuvré comme coorganisateur du Talking Stick Festival, artiste résident au Vancouver Playhouse Theatre, directeur artistique de la Savage Society à Vancouver, producteur du documentaire Canyon War: The Untold Story, et fer de lance, créateur et directeur du projet Songs of the Land dans sa collectivité natale de la Première Nation Lytton.
A 2008 graduate of the National Theatre School of Canada, Mani Soleymanlou has lived in Tehran, Paris, Toronto, Ottawa and Montreal, and has worked with such acclaimed directors as Alice Ronfard (Les pieds des anges), Brigitte Haentjens (L’opéra de quat’sous), Claude Poissant (Rouge gueule, The Dragonfly of Chicoutimi), Serge Denoncourt (Projet Andromaque, Les trois mousquetaires), Olivier Kemeid (Furieux et désespérés), Denis Bernard (Ce moment-là) and Eric Jean (Variations sur un temps).
He is best known as the founding artistic director (2011) of the Montreal-based theatre company Orange Noyée. His distinctive artistic practice investigates notions of community identity (Un/One, Deux/Two, Trois/Three) and social relationships (Ils étaient quatre, Cinq à sept, 8). He pursued this approach more recently in Neuf [working title] and Zéro presented in fall 2019 in Montreal and Ottawa, and also in various artistic collaborations over the years: Lapin blanc, Lapin rouge, Les Lettres arabes II, and À te regarder, ils s’habitueront. Mani Soleymanlou was part of the impressive team behind Gabriel Dumont’s Wild West Show (premiered at the NAC in October 2017), as director and co-artistic director.
Mani Soleymanlou assumed the position of Artistic Director of NAC French Theatre on September 1, 2021.
Mani Soleymanlou est sorti de l’École nationale de théâtre du Canada en 2008. Celui qui a vécu à Téhéran, Paris, Toronto, Ottawa et Montréal joue alors au théâtre sous la direction de metteurs en scène comme Alice Ronfard (Les pieds des anges), Brigitte Haentjens (L’opéra de quat’sous), Claude Poissant (Rouge gueule, The Dragonfly of Chicoutimi), Serge Denoncourt (Projet Andromaque, Les trois mousquetaires), Olivier Kemeid (Furieux et désespérés), Denis Bernard (Ce moment-là) et Eric Jean (Variations sur un temps).
Mais c’est surtout à la tête d’Orange Noyée, compagnie qu’il fonde en 2011, qu’il expose sa démarche singulière, interrogeant l’identité communautaire (Un, Deux, Trois) aussi bien que les interactions sociales (Ils étaient quatre, Cinq à sept, 8). Une démarche qu’il a poursuivi plus récemment dans Neuf [titre provisoire] puis Zéro présenté l’automne dernier à Montréal et Ottawa, mais également à travers différentes collaborations artistiques au fil du temps : Lapin blanc, Lapin rouge, Les Lettres arabes II et À te regarder, ils s’habitueront. Mani Soleymanlou a fait partie de l’imposante équipe du Wild West Show de Gabriel Dumont, créé au CNA en octobre 2017, à titre de metteur en scène et codirecteur artistique.
Mani Soleymanlou assume la direction artistique du Théâtre français du CNA depuis le 1er septembre 2021.
Nina Lee Aquino is a renowned Filipino Canadian director, dramaturg, artistic leader, teacher, and mentor. She previously served as Artistic Director at Cahoots Theatre (2009–2012) and Factory Theatre (2012–2022). Currently, Nina is the Artistic Director of the National Arts Centre English Theatre. She edited the country’s first two-volume Asian Canadian play anthology and co-edited the award-winning inaugural book on Asian Canadian theatre. In addition, she holds an adjunct professorship at York University's Theatre Department and serves on the board of directors for the Professional Association of Canadian Theatres. Her numerous accolades include the Canada Council for the Arts’ John Hirsch Prize for Directing, the Toronto Theatre Critics Award for Best Director, the Toronto Arts Foundation’s Margo Bindhart and Rita Davies Cultural Leadership Award, and three Dora Mavor Moore Awards for Outstanding Direction.
Nina Lee Aquino est une metteuse en scène, conseillère dramaturgique, directrice artistique, pédagogue et mentore d’origine philippino-canadienne. Directrice artistique du Cahoots Theatre de 2009 à 2012 et du Factory Theatre de 2012 à 2022, elle occupe actuellement le poste de directrice artistique du Théâtre anglais du Centre national des Arts. Elle a dirigé la publication des deux tomes de la toute première anthologie de pièces canado-asiatiques et a codirigé celle d’un premier ouvrage primé sur le théâtre canado-asiatique. Elle occupe également un poste de professeure associée au Département de théâtre de l’Université York et siège au conseil d’administration de l’Association professionnelle des théâtres canadiens. Parmi les nombreuses récompenses qui lui ont été décernées, mentionnons le prix John-Hirsch de mise en scène du Conseil des arts du Canada, un Toronto Theatre Critics Award pour la meilleure mise en scène, le prix de leadership culturel Margo Binhardt et Rita Davies de la Toronto Arts Foundation ainsi que trois prix Dora Mavor Moore pour la meilleure mise en scène.
“A natural communicator, both on and off the podium” (The Telegraph), Alexander Shelley performs across six continents with the world’s finest orchestras and soloists.
With a conducting technique described as “immaculate” (Yorkshire Post) and a “precision, distinction and beauty of gesture not seen since Lorin Maazel” (Le Devoir), Shelley is known for the clarity and integrity of his interpretations and the creativity and vision of his programming. To date, he has spearheaded over 40 major world premieres, highly praised cycles of Beethoven, Schumann and Brahms symphonies, operas, ballets and innovative multi-media productions.
Since 2015, he has served as Music Director of Canada’s National Arts Centre Orchestra and Principal Associate Conductor of London’s Royal Philharmonic Orchestra. In April 2023, he was appointed Artistic and Music Director of Artis–Naples in Florida, providing artistic leadership for Naples Philharmonic and the entire multidisciplinary arts organization. The 2024-2025 season is Alexander’s inaugural season in this position.
Additional 2024-2025 season highlights include performances with the City of Birmingham Symphony Orchestra, the Colorado Symphony, the Warsaw Philharmonic, the Seattle Symphony, the Chicago Civic Orchestra and the National Symphony of Ireland. Shelley is a regular guest with some of the finest orchestras of Europe, the Americas, Asia and Australasia, including Leipzig’s Gewandhaus Orchestra, the Konzerthausorchester Berlin, the Orchestre de la Suisse Romande, the Helsinki, Hong Kong, Luxembourg, Malaysian, Oslo, Rotterdam and Stockholm philharmonic orchestras and the Sao Paulo, Houston, Seattle, Baltimore, Indianapolis, Montreal, Toronto, Munich, Singapore, Melbourne, Sydney and New Zealand symphony orchestras.
In September 2015, Shelley succeeded Pinchas Zukerman as Music Director of Canada’s National Arts Centre Orchestra, the youngest in its history. The ensemble has since been praised as “an orchestra transformed ... hungry, bold, and unleashed” (Ottawa Citizen), and his programming is credited for turning the orchestra “almost overnight ... into one of the more audacious orchestras in North America” (Maclean’s). Together, they have undertaken major tours of Canada, Europe and Carnegie Hall, where they premiered Philip Glass’s Symphony No. 13.
They have commissioned ground-breaking projects such as Life Reflected and Encount3rs, released multiple JUNO-nominated albums and, most recently, responded to the pandemic and social justice issues of the era with the NACO Live and Undisrupted video series.
In August 2017, Shelley concluded his eight-year tenure as Chief Conductor of the Nurnberger Symphoniker, a period hailed by press and audiences alike as a golden era for the orchestra.
Shelley’s operatic engagements have included The Merry Widow and Gounod’s Romeo and Juliet (Royal Danish Opera), La bohème (Opera Lyra/National Arts Centre), Louis Riel (Canadian Opera Company/National Arts Centre), lolanta (Deutsche Kammerphilharmonie Bremen), Così fan tutte (Opera National de Montpellier), The Marriage of Figaro (Opera North), Tosca (Innsbruck) and both Le nozze di Figaro and Don Giovanni in semi-staged productions at the NAC.
Winner of the ECHO Music Prize and the Deutsche Grunderpreis, Shelley was conferred with the Cross of the Federal Order of Merit by German President Frank-Walter Steinmeier in April 2023 in recognition of his services to music and culture.
Through his work as Founder and Artistic Director of the Schumann Camerata and their pioneering “440Hz” series in Dusseldorf, as founding Artistic Director of the Deutsche Kammerphilharmonie Bremen’s “Zukunftslabor” and through his regular tours leading Germany’s National Youth Orchestra, inspiring future generations of classical musicians and listeners has always been central to Alexander’s work.
He regularly gives informed and passionate pre- and post-concert talks on his programs, as well as numerous interviews and podcasts on the role of classical music in society. In Nuremberg alone, over nine years, he hosted over half a million people at the annual Klassik Open Air concert, Europe’s largest classical music event.
Born in London in October 1979 to celebrated concert pianists, Shelley studied cello and conducting in Germany and first gained widespread attention when he was unanimously awarded first prize at the 2005 Leeds Conductors’ Competition, with the press describing him as “the most exciting and gifted young conductor to have taken this highly prestigious award.”
The Music Director role is supported by Elinor Gill Ratcliffe, C.M., ONL, LL.D. (hc).
Décrit comme « un communicateur né, sur scène comme dans la vie » (The Telegraph), Alexander Shelley se produit sur six continents avec les plus grands ensembles et solistes de la planète.
Reconnu pour sa technique de direction « impeccable » (Yorkshire Post) et pour « la précision, la distinction et la beauté de sa gestique […] quelque chose que l’on n’a plus vraiment vu depuis Lorin Maazel » (Le Devoir), le maestro est aussi célébré pour la clarté et l’intégrité de ses interprétations et pour la créativité et l’audace de sa programmation. Il a à ce jour dirigé plus de 40 premières mondiales d’envergure, des cycles acclamés des symphonies de Beethoven, de Schumann et de Brahms, des opéras, des ballets et des productions multimédias novatrices.
Il est depuis 2015 directeur musical de l’Orchestre du Centre national des Arts du Canada et premier chef associé de l’Orchestre philharmonique royal de Londres. En avril 2023, il a été nommé directeur artistique et musical d’Artis—Naples en Floride, prenant ainsi les rênes artistiques de l’Orchestre philharmonique de Naples et de tous les volets de cette organisation multidisciplinaire. La saison 2024–2025 est sa première à ce poste.
Alexander Shelley se produira également cette saison avec l’Orchestre symphonique de la Ville de Birmingham, l’Orchestre symphonique du Colorado, l’Orchestre philharmonique de Varsovie, l’Orchestre symphonique de Seattle, le Chicago Civic Orchestra et l’Orchestre symphonique national d’Irlande. Il est régulièrement invité par les plus grands orchestres d’Europe, d’Amérique, d’Asie et d’Australasie, dont l’Orchestre du Gewandhaus de Leipzig, le Konzerthausorchester Berlin, l’Orchestre de la Suisse Romande, les orchestres philharmoniques d’Helsinki, de Hong Kong, du Luxembourg, de Malaisie, d’Oslo, de Rotterdam et de Stockholm et les orchestres symphoniques de Sao Paulo, de Houston, de Seattle, de Baltimore, d’Indianapolis, de Montréal, de Toronto, de Munich, de Singapour, de Melbourne, de Sydney et de Nouvelle-Zélande.
Alexander Shelley a succédé à Pinchas Zukerman à titre de directeur musical de l’Orchestre du Centre national des Arts du Canada en septembre 2015, devenant le plus jeune chef à occuper ce poste dans l’histoire de l’ensemble. Ce dernier a depuis été qualifié de « transformé », « passionné », « ambitieux » et « déchaîné » (Ottawa Citizen) et classé parmi les plus audacieux en Amérique du Nord pour sa programmation (Maclean’s). Le maestro a mené ses troupes dans des tournées d’envergure au Canada, en Europe et au Carnegie Hall, où il a dirigé la première de la Symphonie no 13 de Philip Glass.
À la tête de l’Orchestre du CNA, Alexander Shelley a commandé des œuvres révolutionnaires, dont Réflexions sur la vie et RENCONTR3S, et fait paraître plusieurs albums finalistes aux prix JUNO. En réaction à la pandémie et aux questions de justice sociale qui dominent notre époque, il a lancé les séries vidéo L’OCNA en direct et INCONDITIONNEL.
En août 2017 se concluait le mandat du maestro Shelley à la direction de l’Orchestre symphonique de Nuremberg, période décrite comme un âge d’or par la critique et le public.
Sur la scène lyrique, Alexander Shelley a dirigé La veuve joyeuse et le Roméo et Juliette de Gounod (Opéral royal danois), La bohème (Opera Lyra / Centre national des Arts), Louis Riel (Compagnie d’opéra canadienne / Centre national des Arts), Iolanta (Deutsche Kammerphilharmonie de Brême), Così fan tutte (Opéra Orchestre National Montpellier), Les noces de Figaro (Opera North), Tosca (Innsbruck) ainsi que Les noces de Figaro et Don Giovanni en version semi-scénique au CNA.
Lauréat du prix ECHO et du Deutsche Grunderpreis, le chef s’est vu décerner en avril 2023 la Croix fédérale du Mérite par le président allemand Frank-Walter Steinmeier en reconnaissance de ses services à la musique et à la culture.
À titre de fondateur et directeur artistique de la Schumann Camerata et de sa série avant-gardiste 440Hz à Düsseldorf et de directeur artistique du projet Zukunftslabor de la Deutsche Kammerphilharmonie de Brême, ainsi que par ses nombreuses tournées à la tête de l’Orchestre national des jeunes d’Allemagne, il cherche constamment à inspirer les futures générations d’instrumentistes et d’adeptes de musique classique.
Alexander Shelley fait régulièrement des présentations instructives et passionnées sur ses programmes avant et après les concerts. Il participe aussi à de nombreuses entrevues et produit des balados sur le rôle de la musique classique dans la société. Seulement à Nuremberg, il a accueilli en neuf ans plus d’un demi-million de personnes aux concerts annuels du Klassik Open Air, le plus grand événement de musique classique d’Europe.
Né à Londres en octobre 1979 et fils de célèbres pianistes concertistes, Alexander Shelley a étudié le violoncelle et la direction d’orchestre en Allemagne. Il s’est d’abord signalé en remportant à l’unanimité le premier prix au Concours de direction d’orchestre de Leeds en 2005. La critique l’a décrit comme « le jeune chef d’orchestre le plus passionnant et le plus doué à avoir récolté ce prix hautement prestigieux ».
Le poste de directeur musical bénéficie du soutien d’Elinor Gill Ratcliffe, C.M., O.N.L., LL.D. (hc).
Originating from Bogota, Colombia, and having honed her practice in the territory of Tiohti:áke, Montreal, Andrea Peña is a prolific Latinx artist who has built international renown as a designer, choreographer, and director of the multidisciplinary company AP&A (Andrea Peña & Artists). With a background in design and fashion, Andrea is a definitively multifaceted visionary who works seamlessly across disciplines. Rooted in extensive research and choreographic knowledge, she creates unique living universes that unify bodies and materials in performative, digital, and sculptural environments. Andrea’s artistic rigour has been recognized by numerous awards including the Ballet BC Emily Molnar Emerging Choreographer Award, whilst in 2023 she was the winner of the first international La Biennale di Venezia dance co-production. Complex, vulnerable, and raw, her work has been commissioned by TanzKassel, the National Arts Centre, PHI Centre, SAT, and Ballet Edmonton. She has presented work at prestigious institutions and festivals across the world, including Musée d’art contemporain de Montréal, Mattress Factory Museum Pittsburgh, TANZ Bremen, Tanzmesse, Theater Freiburg, Performing Arts Meeting in Yokohama, Attakkalari India Biennial, Milano Festival, Hong Kong International Choreography Festival, Festival Internacional de Danza de la Ciudad de México, PRISMA - Festival de Danza Contemporánea, AADK Spain, and Ionion Center for the Arts and Culture in Greece, to name a few.
Originaire de Bogota, en Colombie, et ayant perfectionné sa pratique sur le territoire de Tiohti:áke (Montréal), Andrea Peña est une artiste latino très productive qui a acquis une renommée internationale en tant que conceptrice, chorégraphe et directrice de la compagnie multidisciplinaire AP&A (Andrea Peña & Artists). Avec ses antécédents en conception et en mode, cette artiste visionnaire aux multiples facettes évolue avec aisance dans toutes les disciplines. S’appuyant sur des recherches approfondies et des connaissances chorégraphiques, elle crée des univers vivants distinctifs qui unifient les corps et les matériaux dans des environnements performatifs, numériques et sculpturaux. Sa rigueur artistique a été reconnue par de nombreux prix, dont le prix Emily Molnar du Ballet BC à titre de « chorégraphe émergente » et, en 2023, le premier prix pour une coproduction internationale de danse à la Biennale de Venise. Ses œuvres complexes, vulnérables et sans artifices lui ont valu des commandes de TanzKassel, du Centre national des Arts, du Centre PHI, de la SAT (Société des arts technologiques) et du Ballet Edmonton. Elle a présenté son travail dans des institutions et des festivals prestigieux du monde entier : Musée d’art contemporain de Montréal, musée Mattress Factory de Pittsburgh, TANZ Bremen, Tanzmesse, Théâtre de Fribourg, Rencontres universelles scéniques à Tokyo, Biennale indienne d’Attakkalari, Festival de Milan, Festival international chorégraphique de Hong Kong, Festival international de danse de la Ville de Mexico, Festival Prisma du Panama, AADK Espagne et Ionion Center for the Arts and Culture (Grèce), entre autres.
Andrea Peña & Artists is a multidisciplinary company that merges the universes of choreography and design. Based in Montreal, Quebec in the territory of Tiohti:áke, the company merges the body and materiality in performative, digital, and sculptural works to create living arts universes. AP&A’s multifaceted practice explores the peripheries of social imaginaries, as futuring hybrid narratives that nurture the collision of different fields, disciplines, and individuals through AP&A’s collaborating artists.
Andrea Peña, born in Bogota, Colombia, created AP&A after a career as performer with Ballet BC and Les Ballets Jazz Montréal, and is now recognized in Canada and internationally for her creations as critical, alternative, and spatial encounters that break with our notions of a sensitive humanity. With a master’s degree in industrial design from Concordia University, Peña’s work imagines cross-disciplinary approaches that challenge the choreographic practice as a source of collective experimentation and knowledge. As a bi-cultural artist, Peña is known for her complex layered systems that engage in deep encounters between the physical body and a highly conceptual research approach.
From Canada, Japan, USA, Germany, Italy, France, Mexico, Greece, Spain, India, and others, Peña’s works are recognized for her inter-artistic rigour that manifests spatio-material experiences that challenge hybrid practices. Andrea is recognized with numerous awards and commissions for her conceptual creations, most recently the Hong Kong International Choreography Award (2018) and the Banff Centre’s Clifford E. Lee Award (2019) given to an emerging Canadian artist in recognition for her highly rigorous creation 6.58: Manifesto, which was selected to open the internationally renowned Tanzmesse in Dusseldorf (2022). AP&A’s latest large-scale creation, BOGOTA (2023), was the winner of La Biennale di Venezia’s first foreign choreographic co-production.
The company’s most recent works include 6.58: Manifesto (2021), which won the Banff Centre’s Clifford E. Lee Award and opened the 2022 internationally renowned Tanzmesse; and Untitled I (2018) and Untitled I + III (2019), which won the prix Hong Kong International Choreography. AP&A has been presented by the National Arts Centre (2021), Musée d’art contemporain de Montréal (2021), Arsenal Contemporain Art (2016), Usine C (2019), Agora de la Danse (2021), TANZ Bremen (2022), Tanzmesse (2022), Cinars, New Italian Dance Platform (2022), Festival Trajectoires (2022), Theater Freiburg (2021), Performing Arts Meeting in Yokohama (2020), the Canadian Centre for Architecture (2019), Attakkalari India Biennial (2018), MILANoLTRE Festival (2022), Festival Quartiers Danses (2022), Hong Kong International Choreography Festival (2018), Festival Internacional de Danza de la Ciudad de México (2017), PRISMA - Festival de Danza Contemporánea (2016), AADK Spain (2017), and Ionion Center for the Arts and Culture (2016), among others. Andrea’s work has been commissioned by the PHI Centre, Laval Symphony Orchestra, Ballet Edmonton, the 375th Anniversary of Montreal, Pro Arte Danse, École de danse contemporaine de Montréal, Transformation, and Springboard Program.
Andrea Peña & Artists est une compagnie multidisciplinaire qui mêle chorégraphie et design. Basée à Montréal, au Québec, sur le territoire de Tiohti:áke, la compagnie allie le corps et la matérialité dans des œuvres à la croisée de la performance, du numérique et de la sculpture pour créer des univers artistiques vivants. L’approche à multiples facettes d’AP&A explore la périphérie des imaginaires sociaux sous forme de récits hybrides futuristes qui encouragent la fusion de plusieurs domaines, disciplines et individus grâce aux collaborations avec plusieurs artistes.
Originaire de Bogotá, en Colombie, Andrea Peña a créé AP&A après une carrière en tant qu’interprète au Ballet BC et aux Ballets Jazz Montréal. Elle est aujourd’hui reconnue au Canada et dans le monde pour ses créations propices aux échanges critiques, alternatifs et spatiaux qui rompent avec notre conception de l’humanité sensible. Titulaire d’une maîtrise en design industriel de l’Université Concordia, elle imagine dans ses travaux des approches interdisciplinaires qui bouleversent les pratiques chorégraphiques comme source d’expérimentations et de connaissances collectives. Artiste biculturelle, Andrea Peña est connue pour ses systèmes complexes à plusieurs couches qui explorent en profondeur corporéité et conscience grâce à une approche alimentée par des recherches conceptuelles.
Du Canada au Japon, en passant par les États-Unis, l’Allemagne, l’Italie, la France, le Mexique, la Grèce, l’Espagne, l’Inde et d’autres encore, tout le monde s’accorde à reconnaître la rigueur interdisciplinaire d’Andrea Peña, qui donne lieu à des expériences spatio-matérielles défiant les pratiques hybrides. L’artiste a reçu de nombreux prix et commandes pour ses créations conceptuelles : elle a remporté le prix international de chorégraphie de Hong Kong (2018) et le prix de la chorégraphie Clifford E. Lee du Centre des arts de Banff (2019) – décerné à un artiste émergent ou une artiste émergente du Canada – pour 6.58: Manifesto, création d’une grande rigueur artistique qui a été choisie pour inaugurer le célèbre festival Tanzmesse à Düsseldorf (2022). La dernière création à grande échelle d’AP&A, BOGOTÁ (2023), a remporté le prix de la meilleure coproduction chorégraphique étrangère à la Biennale de Venise.
Parmi les productions les plus récentes de la compagnie, on peut citer Untitled I (2018) et Untitled I + III (2019), qui ont toutes deux remporté le prix international de chorégraphie de Hong Kong. Les œuvres d’AP&A ont été présentées sur de nombreuses scènes : Centre national des Arts (2021), Musée d’art contemporain (2021), Arsenal art contemporain (2016), Usine C (2019), Agora de la danse (2021), TANZ Bremen (2022), Tanzmesse (2022), Cinars, New Italian Dance Platform (2022), Festival Trajectoires (2022), Théâtre de Fribourg (2021), Tokyo Performing Arts Meeting (2020), Centre canadien d’architecture (2019), Attakkalari India Biennial (2018), Festival MILANoLTRE (2022), Festival Quartiers Danses (2022), Festival international de chorégraphie de Hong Kong (2018), Festival international de danse de la Ville de Mexico (2017), Festival Prisma du Panama (2016), AADK Spain (2017) et Ionion Center for the Arts and Culture (Grèce, 2016), entre autres. Le Centre PHI, l’Orchestre symphonique de Laval, le Ballet Edmonton, le 375e anniversaire de Montréal, ProArteDanza, l’École de danse contemporaine de Montréal, Transformation et le programme Springboard lui ont commandé des œuvres.
Born and raised in Montreal, Canada, Bobby León is a self-taught director and photographer. Having spent many years in dance studios with the Canadian company AP&A, she developed a profound love and admiration for movement, which took her to all corners of the world, touring with the company as their visual director and board member, and influencing her artistic approach.
From advertising to music videos, short films and fashion films, or projection designs for the stage, Bobby’s interests are varied, making her a prolific and curious artist, always seeking to make space for humanness and difference in front of the camera.
Her work, a true reflection of her talent, has been showcased at the prestigious Venice Biennale in 2023; nominated at Les Victoires de la Musique in 2024; and has received numerous accolades and awards, notably at the Independent Shorts Awards (LA), Berlin Indie Film Festival, Mirada Cortada, Berlin Fashion Film Festival, and Tokyo Cinema Awards, solidifying her international recognition. She also has been selected as one of Canada’s top emerging directors to keep an eye on by LBBOnline.
She currently lives in London, UK, and frequently travels between London, Paris, and Canada for projects.
Originaire de Montréal, Bobby León est une réalisatrice et photographe autodidacte. Au fil de nombreuses années passées dans les studios de danse de la compagnie canadienne AP&A, elle a nourri une passion et une admiration sans faille pour le mouvement. Cela a influencé son approche artistique et l’a menée en tournée aux quatre coins du monde en tant que directrice visuelle et membre du conseil d’administration de la compagnie.
Publicités, vidéoclips, courts-métrages, films de mode, projections sur scène : Bobby León est une touche-à-tout. C’est une artiste prolifique et curieuse, qui s’efforce en permanence de montrer à l’écran l’humanité et la différence.
Preuve de son talent, ses travaux ont été présentés à la prestigieuse Biennale de Venise en 2023 et elle a été finaliste aux Victoires de la Musique en 2024, en plus de recevoir plusieurs récompenses et prix (Independent Shorts Awards de Los Angeles, festival du film indépendant de Berlin, festival Mirada Cortada, festival du film de mode de Berlin et Tokyo Cinema Awards), qui lui ont permis d’asseoir sa réputation à l’international. Elle figurait également au classement de LBB Online des réalisatrices et réalisateurs de la relève à suivre au Canada.
Ses projets l’amènent à voyager régulièrement entre le Canada, Paris et Londres, où elle vit actuellement.
Canada's most-visited museum presents the events, people and objects that have shaped the nation. This architectural gem is located in Gatineau, Quebec, directly across the Ottawa River from Parliament Hill. Marvel at the world's largest indoor collection of totem poles in the Grand Hall (which also offers a spectacular view of Parliament Hill) and learn about the traditions and achievements of Canada's Indigenous nations in the First Peoples Hall. In the Canadian History Hall - the largest and most comprehensive exhibition about Canadian history ever created - you can explore the diverse experiences and perspectives of real people. Take the kids on an interactive adventure at the on-site Canadian Children's Museum, and thrill to spectacular 2D and 3D movies on the giant screens at CINÉ+. The Canadian Museum of History also hosts temporary exhibitions that illuminate fascinating stories from Canada and around the world.
Le musée le plus visité au Canada présente les événements, les personnes et les objets qui ont façonné la nation. Ce joyau architectural est situé à Gatineau, au Québec, directement en face de la colline du Parlement, de l'autre côté de la rivière des Outaouais. Émerveillez-vous devant la plus grande collection intérieure de totems au monde, dans la Grande Galerie, qui offre également une vue spectaculaire sur la Colline du Parlement, et découvrez les traditions et les réalisations des nations autochtones du Canada dans la salle des Premiers Peuples. Dans la Salle de l'Histoire canadienne — la plus importante et exhaustive exposition sur l'histoire du Canada — vous pouvez explorer les diverses expériences et perspectives de personnes réelles. Emmenez les enfants vivre une aventure interactive au Musée canadien des enfants, situé sur place, et découvrez des films spectaculaires en 2D et en 3D sur les écrans géants de CINÉ+. Le Musée canadien de l'histoire accueille également des expositions temporaires qui mettent en lumière des histoires fascinantes du Canada et du monde entier.
The Capital Chamber Choir (CCC) is an auditioned ensemble of experienced choral singers from the National Capital Region. The choir and Artistic Director, Jamie Loback, are committed to bringing a diverse range of choral music—in particular, modern, Canadian, and local works—to audiences through high-calibre and engaging performances. Founded in 2009 by Dr. Sara Brooks, the choir is a true collaboration, emphasizing the importance of collegiality in generating an integrated choral sound. CCC is a volunteer-led organization, drawing Executive Board and Committee members from within the ensemble itself.
Each season, CCC presents its own concert series in addition to undertaking collaborative projects with other musicians. The choir has collaborated with notable ensembles including the National Arts Centre Orchestra, Thirteen Strings Chamber Orchestra, Elmer Iseler Singers, and Canadian Chamber Choir, and has hosted masterclasses or performances with composers including John Rutter, Morten Lauridsen, Ola Gjeilo, and Ēriks Ešenvalds.
CCC released its all-Canadian debut album, The Delight of Paradise, in April 2017. In 2018, the choir performed a Spotlight concert in St. John’s, Newfoundland as part of the Podium Choral Conference & Festival. CCC won second prize in the Mixed-Voice Adult Choirs category of the National Competition for Canadian Amateur Choirs in 2019 and was invited to perform at Rideau Hall for recipients of the Order of Canada.
Though the COVID-19 pandemic put a halt to live performances in 2020 and 2021, CCC took advantage of the break to record two series of video sessions on YouTube. The choir re-emerged on stage in Fall 2021 and has since been building up to consistent seasons! CCC is looking forward to a full 2024–25 season program including innovative works on the National Arts Centre stage, exploring soundscapes with a local connection, a revival concert, and celebrating our 15th anniversary!
Le Capital Chamber Choir (CCC) est un ensemble d’interprètes de niveau avancé de la région de la capitale nationale qui recrute ses membres sur audition. Le chœur et son directeur artistique, Jamie Loback, s’attachent à présenter au public un éventail diversifié de musique chorale – en particulier des œuvres modernes, canadiennes et locales – en offrant des prestations attrayantes et de haut calibre. Fondé par Sara Brooks en 2009, le chœur s’appuie sur une véritable collaboration, qui met l’accent sur l’importance de la collégialité pour produire un son choral intégré. Le CCC est une organisation dirigée par des bénévoles, dont les membres du conseil d’administration et de ses comités proviennent de l’ensemble lui-même.
Chaque saison, le CCC présente sa propre série de concerts en plus d’entreprendre des projets de collaboration avec d’autres interprètes. Le chœur a collaboré avec des ensembles prestigieux, dont l’Orchestre du Centre national des Arts, l’Orchestre de chambre Thirteen Strings, les Elmer Iseler Singers et le Chœur de chambre canadien, et a organisé des classes de maître ou des concerts avec des compositeurs comme John Rutter, Morten Lauridsen, Ola Gjeilo et Ēriks Ešenvalds.
Le CCC a lancé son premier album entièrement canadien, The Delight of Paradise, en avril 2017. L’année suivante, le chœur a donné un concert Spotlight à St. John’s (Terre-Neuve) dans le cadre du Podium Choral Conference & Festival. Le CCC a remporté le deuxième prix dans la catégorie « chœurs d’adultes, voix mixtes » du Concours national pour chœurs amateurs canadiens en 2019, et il a été invité à se produire à Rideau Hall pour les récipiendaires de l’Ordre du Canada.
Bien que la pandémie de COVID-19 ait mis un terme aux concerts en direct en 2020 et 2021, le CCC a profité de cette pause pour produire deux séries d’enregistrements vidéo diffusées sur YouTube. Le chœur est remonté sur scène à l’automne 2021 et n’a cessé depuis d’enchaîner les saisons. Le CCC se réjouit à la perspective de présenter une programmation complète pour la saison 2024-2025, comprenant des œuvres novatrices sur la scène Southam du Centre national des Arts, des explorations sonores avec une connexion locale, un concert reprise, et la célébration de notre 15e anniversaire!
Caroline Ohrt has held a variety of positions in various cultural organizations, acquiring a solid knowledge of the arts ecosystem, management and governance. She has built strong local, national and international professional network which allowed her to present the highest calibre artists from all over the world at the Place des Arts, Danse Danse’s home. While there, she developed many partnerships. She cultivated opportunities for artists and audiences to meet on multiple platforms, whether at the Musée d’art contemporain de Montréal, at the Arsenal art contemporain or virtually. She actively contributed to the growth of the organization and took to heart the support and development of artists, which remains a cornerstone of her work.
She has also held multiple positions in the world of contemporary arts, including with other dance organizations such as Compagnie Marie Chouinard and, more recently, at the Domaine Forget in Saint-Irénée. With a background in art history, Caroline has advised visual arts collectors and carried out assignments at the Montreal Museum of Fine Arts. She is recognized widely as a person in constant dialogue with the forces that shape contemporary creation.
Recognized for her innovative strategic vision, she is actively involved in the community through her participation on prominent boards and juries. She is vice-president of the Conseil des arts de Montréal and a board member of the École de danse contemporaine de Montréal. Her advice is highly valued for her keen understanding of the cultural milieu and artistic realities.
Le parcours de Caroline Ohrt aura forgé chez elle une solide connaissance de la danse, de l’écosystème des arts, de la gestion et de la gouvernance. Elle a su bâtir un réseau professionnel local, national et international qui lui a permis de présenter des artistes de haut calibre provenant de tous les coins du monde sur les différentes scènes de la Place des Arts.
Son passage à Danse Danse aura été marqué par le développement de partenariats structurants. Elle a cultivé des occasions de rencontres pour les artistes et les publics sur de multiples plateformes, que ce soit au Musée d’art contemporain de Montréal, à l’Arsenal art contemporain, ou de façon virtuelle. Elle a activement contribué à la croissance de l’organisme et a à cœur le soutien et le développement des artistes, pierre angulaire de son travail.
Connue dans le milieu des arts contemporains, elle a occupé de multiples fonctions et accompli des mandats auprès d’autres organismes de danse, notamment à la Compagnie Marie Chouinard et, plus récemment, au Domaine Forget de Saint-Irénée. Forte d’une formation en histoire de l’art, Caroline a aussi conseillé des collectionneurs en arts visuels et accompli des mandats au Musée des beaux-arts de Montréal. Elle est connue pour être une personne en constant dialogue avec les forces vives de la création actuelle.
Saluée pour sa vision stratégique novatrice, elle s’implique activement dans la communauté en participant à des conseils d’administration et des jurys de renom. Elle est actuellement vice-présidente du Conseil des arts de Montréal et administratrice de l’École de danse contemporaine de Montréal. Ses conseils sont recherchés pour sa fine compréhension du milieu culturel et des réalités artistiques.
Chief Lady Bird is a Chippewa and Potawatomi artist from Rama First Nation and Moosedeer Point First Nation. She graduated from OCAD University in 2015 with a BFA in Drawing and Painting and a minor in Indigenous Visual Culture. She uses street art, community-based workshops, digital illustration and mixed media work to empower and uplift Indigenous people through the subversion of colonial narratives, shifting focus to both contemporary realities and Indigenous Futurisms by creating space to discuss the nuances of our experiences.
Chief Lady Bird est une artiste Chippewa et Potawatomi de la Première Nation de Rama et de la Première Nation de Moosedeer Point. Elle est diplômée de l'Université OCAD en 2015 avec un BFA en dessin et peinture et une mineure en culture visuelle autochtone. Elle utilise le street art, les ateliers communautaires, l’illustration numérique et le travail en techniques mixtes pour responsabiliser et élever les peuples autochtones à travers la subversion des récits coloniaux, en se concentrant à la fois sur les réalités contemporaines et sur les futurismes autochtones en créant un espace pour discuter des nuances de nos expériences.
Chloé Savard est une microbiologiste de Montréal qui a découvert le monde de la microscopie il y a 4 ans seulement. Musicienne de formation, Chloé s’est lancée en microbiologie afin d’élargir ses horizons. Apparaissant sous le nom de @tardibabe sur Instagram (1.1M abonnés), Tiktok et YouTube, elle transforme l’imperceptible en œuvre d’art tout en éduquant et sensibilisant son audience à la fragilité de ces minuscules écosystèmes. N’utilisant que son iPhone et son microscope pour créer ses œuvres, Chloé peut transformer une simple goutte d’eau provenant d’un marais en paysage qui semble provenir directement d’une autre planète. Elle adore aussi expérimenter avec des aliments et objets de notre quotidien.
Chloé Savard, also known as @tardibabe on Instagram, is a microbiologist from Montreal who discovered the world of microscopy 4 years ago. Formally trained as a musician (she plays the drums), Chloe decided to study microbiology to broaden her horizons and to answer some existential questions she had since childhood. Tardibabe strives to transform the imperceptible into art while educating and raising awareness about the fragility of microscopic ecosystems. She also loves to experiment with various foods and everyday items.
An inspired actor and writer, Christine Beaulieu has been impressing audiences with her versatility since 2003. She has appeared in some two dozen plays and movies, notably Ricardo Trogi’s film Le mirage, for which she earned two award nominations (Canadian Screen Awards and Gala du cinéma québécois) for her portrayal of Roxane.
She also played the lead in Sarah Fortin’s Nouveau-Québec, and was nominated at the Iris Gala in the Best Supporting Actress category for her role as Anne-Marie Boisvert in Maxime Giroux’s Norbourg. She shone in Louis Godbout’s Les tricheurs, Myriam Bouchard’s 23 décembre, and Guy Édoin’s Frontières. In 2020, she won the Bayard for Best Performance at the Festival international du film francophone de Namur (FIFF Namur) for her performance in the short film Un jour de fête. In 2023, she returned to the big screen in Monia Chokri’s Simple comme Sylvain, and played the lead in François Péloquin’s La fonte des glaces. The feature film Le cyclone de Noël, in which she plays Isabelle Gagnon, will open in theatres on November 8, 2024.
In 2015, she premiered her first play, J’aime Hydro, for which she won the Prix Michel-Tremblay; the show was presented by NAC French Theatre in November 2019. In 2021, she presented her second play, Les saumons de la Mitis, which she has since performed throughout Quebec.
On television, she has appeared in the series Hubert et Fanny, Les Simone, and Cérébrum. She won a Prix Gémeaux for her role as Josiane in Lâcher prise (2020). Since February 2021, she has starred as Isabelle Gagnon in Radio-Canada’s L’œil du cyclone, for which she won two Prix Gémeaux (2021 and 2023) for Best Leading Actress: Comedy.
A gifted and committed artist, Christine Beaulieu is also an ambassador for the tourist attractions in her home town of Trois-Rivières, and a spokesperson for the national Running Electric electric vehicle awareness campaign.
Actrice et autrice inspirée, Christine Beaulieu a su, depuis 2003, nous épater par sa polyvalence. Elle a participé à plus d’une vingtaine de pièces de théâtre et de films. Elle s’est révélée dans Le mirage de Ricardo Trogi, pour lequel elle a reçu deux nominations (Prix Écrans Canadiens et Gala du cinéma québécois) pour son rôle de Roxane.
On l’a également vue dans le rôle-titre de Nouveau-Québec de Sarah Fortin et elle décroche une nomination au gala des Iris dans la catégorie « Meilleure interprétation féminine/Rôle de soutien » pour son rôle d’Anne-Marie Boisvert dans Norbourg de Maxime Giroux. Elle a brillé dans les films Les tricheurs de Louis Godbout, 23 décembre de Myriam Bouchard et Frontières de Guy Édoin. En 2020, elle remporte le Bayard de la meilleure interprétation au Festival international du film francophone (FIFF) de Namur pour sa performance dans le court-métrage Un jour de fête. En 2023, elle revient au grand écran dans Simple comme Sylvain de Monia Chokri et tient le rôle-titre du film La fonte des glaces de François Péloquin. Le long-métrage Le cyclone de Noël, dans lequel elle incarne Isabelle Gagnon, sortira en salle le 8 novembre 2024.
Depuis 2015, elle présente sur scène son premier texte de théâtre, J’aime Hydro, pour lequel elle reçoit le prix Michel-Tremblay; le spectacle est à l’affiche au Théâtre français du CNA en novembre 2019. Elle crée en 2021 Les saumons de la Mitis, son deuxième texte qu’elle présente depuis un peu partout au Québec.
À la télé, nous l’avons vu exceller dans les séries Hubert et Fanny, Les Simone et Cérébrum. Elle a remporté un prix Gémeaux pour son rôle de Josiane dans Lâcher prise (2020). Depuis février 2021, elle est au centre de L’œil du cyclone à Radio-Canada avec son rôle d’Isabelle Gagnon, pour lequel elle a gagné deux prix Gémeaux (2021 et 2023) comme « Meilleur premier rôle féminin : comédie ».
Artiste douée et engagée, Christine Beaulieu est aussi ambassadrice des attraits touristiques de sa ville natale, Trois-Rivières, et porte-parole de la campagne nationale Roulons Électrique.
Chef Chris Commandant is Kanien’keha:ka of the Wahta Mohawks First Nations community, located outside of Bala Ontario. Dedicated to preserving Indigenous culinary traditions and teachings, he shares his knowledge with the community on topics like Indigenous food sovereignty, food security, and traditional ways of cooking. His classical training has allowed him to fuse the food of the Haudenosaunee with modern cooking techniques to create wonderful representations of some of his favourite memories of the Muskoka region.
A graduate of Le Cordon Bleu culinary program, he has 25 years of industry experience in some of Toronto and Ottawa’s most prestigious restaurants. Using his vast experience and rich culinary history, Chris has been an educator at the High School and College levels, creating and delivering education with an Indigenous focus, and inspiring a younger generation of cooks.
Chef Chris joined the National Arts Centre team and progressed through the ranks to his current role of Sous Chef. Bringing with him a love and passion for food, he enjoys sharing his continued learning of Indigenous food and its culture with a team of talented culinary professionals.
Le chef Chris Commandant est kanien’kehá:ka de la Première Nation mohawk de Wahta, située près de Bala, en Ontario. Fervent défenseur des enseignements et traditions culinaires autochtones, il partage son savoir avec la communauté, notamment tout ce qui a trait à la souveraineté alimentaire des peuples autochtones, à la sécurité alimentaire et à la cuisine traditionnelle. De formation classique, il se démarque par sa cuisine fusion qui allie la gastronomie moderne aux saveurs de la cuisine de la communauté Haudenosaunee, pour concocter de délicieux plats qui lui rappellent son enfance dans la région de Muskoka.
Diplômé du programme culinaire Le Cordon Bleu, le chef Commandant a travaillé pendant vingt-cinq ans dans les cuisines de certains des plus grands restaurants de Toronto et d’Ottawa. Dans un esprit de transmission, il met sa connaissance du milieu et son bagage d’expérience au profit des jeunes aux niveaux secondaire et collégial pour faire connaître son métier – avec un éclairage autochtone –, et inspirer la prochaine génération de cuisiniers et cuisinières.
Le chef Commandant s’est joint à l’équipe de restauration du Centre national des Arts au sein de laquelle il a gravi les échelons jusqu’à occuper le poste de sous-chef. Cet amoureux de la gastronomie fait profiter de sa passion pour la cuisine et la culture autochtones à la talentueuse brigade du 1 Elgin.
Corey Payette is an interdisciplinary storyteller, writer, composer, singer, hand drummer, and director in music, theatre, and film. He is a member of the Mattagami First Nations, with French Canadian and Irish ancestry. Known for his deeply moving, large-scale original musical creations, Payette’s work challenges the public’s notion of what musicals can be, inserting Indigenous perspectives and narratives into mainstream spaces, igniting conversations that inspire social change. Payette’s work explores themes of colonization, Indigenous language revitalization, cultural healing, reconciliation between Indigenous and non-Indigenous peoples, and the complexity of historic and contemporary Indigenous experiences across music, theatre, and film. His musicals Children of God, Les Filles du Roi, Sedna, and Starwalker have won multiple awards and have toured extensively across Canada and those musical albums are available to stream and purchase online. He’s also performed his music in concerts around the world and made his Carnegie Hall debut in New York City in 2023. He has won numerous awards for his writing, direction, and music compositions and received the inaugural BC Reconciliation Award, created to honour those who have demonstrated exceptional leadership, integrity, respect, and commitment to furthering reconciliation with Indigenous peoples in the province of British Columbia. Corey has a long connection to the NAC, having attended the Canterbury School for the Arts in Ottawa and performed on the Fourth stage when he was 16 years old, was an artist-in-residence with English Theatre at the NAC directing Moonlodge (2016) and Children of God (2017), and associate artist in supporting the Indigenous Cycle which led to the creation of NAC’s Indigenous Theatre.
Corey Payette est un conteur, auteur, compositeur, chanteur, joueur de tambour à main et metteur en scène œuvrant en musique, en théâtre et en cinéma. Membre de la Première Nation Mattagami, il a également des racines canadiennes-françaises et irlandaises. Connu pour ses bouleversantes créations originales d’envergure, il élargit la définition de ce que peut être une comédie musicale, introduisant le grand public à des perspectives et des récits autochtones et suscitant le dialogue pour inciter au changement. Dans ses œuvres musicales, théâtrales et cinématographiques, il se penche sur les thèmes de la colonisation, de la revitalisation des langues autochtones, de la guérison culturelle, de la réconciliation entre les peuples autochtones et allochtones et de la complexité des expériences autochtones passées et présentes. Ses comédies musicales Children of God, Les Filles du Roi, Sedna et Starwalker ont reçu de nombreuses distinctions et tourné partout au Canada. Les albums qui en ont été tirés peuvent être achetés et écoutés en ligne. Corey Payette a aussi interprété ses compositions en concert dans le monde entier et a fait ses débuts au Carnegie Hall de New York en 2023. Il a été couronné de nombreux prix pour son écriture, sa mise en scène et ses compositions musicales et a reçu le tout premier prix BC Reconciliation, créé pour honorer les personnes faisant preuve d’un leadership, d’une intégrité, d’un respect et d’un dévouement exceptionnels dans le cadre du processus de réconciliation avec les peuples autochtones en Colombie-Britannique. Corey Payette entretient des liens de longue date avec le CNA, ayant été étudiant au programme de spécialisation en arts de l’école secondaire Canterbury à Ottawa et s’étant produit sur la scène de la Quatrième Salle à l’âge de 16 ans. Il a également été artiste en résidence pour le Théâtre anglais du CNA, où il a mis en scène Moonlodge (2016) et Children of God (2017), et artiste associé du Cycle autochtone, initiative qui a mené à la création du Théâtre autochtone du CNA.
David Maggs carries on an active career as an interdisciplinary artist and researcher focused on arts, climate change, and sustainability. He is the founder and pianist for Dark by Five, has written works for the stage, and created augmented reality and virtual reality projects which have been included in the UK’s Future of Live Performance Spotlight Gallery. David is the artistic director of the rural Canadian interarts organization Camber Arts. He initiated and co-produced the CBC doc channel film The Country, exploring the Canadian government’s handling of Indigenous identity in Newfoundland. As a fellow at the University of Toronto’s Munk School for Global Affairs, David co-authored Sustainability in an Imaginary World (Routledge Press, 2020) with mentor and longtime collaborator John Robinson, exploring the relationship between art and sustainability. He is former senior fellow at the Institute for Advanced Studies in Sustainability in Potsdam, Germany, where he led work on culture and climate change.
Following the publication of Art and the World After This, David became the inaugural Fellow on Art and Society at the Metcalf Foundation. In collaboration with the UK Innovation Foundation NESTA, he co-authored Impact Investing in the Cultural and Creative Sectors: Insights from an emerging field, a report on groundbreaking work on impact investing in cultural and creative industries. David has been a featured speaker at the Canadian Arts Summit, The International Transdisciplinarity Conference (Leuphana), The American Association for the Advancement of Science (Vancouver), Swiss Federal Institute of Technology (Zurich), the International Association for Analytical Psychology (Berlin), The Arts of Living with Nature (Kyoto), and is the upcoming keynote speaker at the International Society of Music Educators this July in Helsinki.
David Maggs fait activement carrière en tant qu’artiste interdisciplinaire et chercheur spécialisé en art, changements climatiques et durabilité. Il est le fondateur et le pianiste de l’ensemble Dark by Five (page en anglais), a écrit des œuvres pour la scène et a créé des projets de réalité virtuelle et augmentée présentés dans le cadre de la galerie Spotlight: Future of Live Performance au Royaume-Uni. Il est le directeur artistique de l’organisation interdisciplinaire canadienne en milieu rural Camber Arts (page en anglais), et a conçu et coproduit le film documentaire de la CBC The Country, qui explore le traitement des questions d’identité autochtone à Terre-Neuve par le gouvernement canadien. En tant que boursier de l’École Munk des affaires internationales de l’Université de Toronto, David Maggs a coécrit avec son mentor et collaborateur de longue date John Robinson Sustainability in an Imaginary World (Routledge Press, 2020, page en anglais), qui explore les liens entre art et durabilité. Il a été agrégé supérieur à l’Institut d’études supérieures en durabilité de Potsdam, en Allemagne, où il a dirigé des projets sur la culture et les changements climatiques.
Après la publication de Art and the World After This (page en anglais), David Maggs est devenu le premier boursier en arts et société de la Fondation Metcalf. En collaboration avec la fondation d’innovation britannique NESTA, il a coécrit Impact Investing in the Cultural and Creative Sectors: Insights from an emerging field (page en anglais), un rapport présentant des travaux révolutionnaires sur les investissements à retombées sociales et environnementales dans les secteurs de la culture et de la création. Il a été conférencier pour le Sommet canadien des arts, la Conférence internationale sur la transdisciplinarité (Université Leuphana), l’American Association for the Advancement of Science (Vancouver), l’École polytechnique fédérale (Zürich), l’Association internationale de psychologie analytique (Berlin) et le symposium The Arts of Living with Nature (Kyoto); il sera également le conférencier principal lors du congrès de l’International Society of Music Educators en juillet à Helsinki.
In 2014, after 12 years of living abroad, violist David Marks returned to Canada to accept the position of Associate Principal Viola with the NAC Orchestra. Born in Vancouver, David grew up in Virginia in the heart of a musical family. He experimented with composing, writing, drawing, and painting from an early age. These passions have resulted in dozens of original songs, paintings, and murals. His viola studies took him across the U.S. and Europe for lessons with Roberto Diaz, Atar Arad, Karen Tuttle, Gerard Caussé, Thomas Riebl, and Nobuko Imai; to the Banff Centre; L’Académie de Musique Tibor Varga; and Prussia Cove.
In Europe, David performed as Principal Viola with L’Orchestre de Montpellier and L’Opera de Bordeaux, La Orquesta de la Ciudad de Granada, Holland Symfonia, and Amsterdam Sinfonietta. He was Principal Viola of the London Philharmonic Orchestra under the batons of Vladimir Jurowski, Christoph Eschenbach, Yannick Nézet-Séguin, and Marin Alsop. As a fixture on the contemporary music scene, he performed across Europe with the Asko/Schonberg Ensemble, Ensemble Modern, the Mondriaan Quartet, Fabrica Musica, and Nieuw Amsterdamse Peil. He was a member of the avant-garde Dutch contemporary music group Nieuw Ensemble, with whom he toured China and recorded over 40 works.
As a folk musician, David has toured Latvia, Lithuania, and Estonia, singing his songs with The History of Dynamite. His folk opera The Odyssey was performed at the Banff Centre and subsequently at Theater de Cameleon in Amsterdam. He plays fiddle and guitar and has performed with Van Dyke Parks, Bill Frisell, and Patrick Watson.
He lives with his wife and four children in Wakefield, Quebec.
En 2014, après 12 ans à l’étranger, l’altiste David Marks est revenu au Canada pour accepter le poste d’alto solo associé au sein de l’Orchestre du CNA. Né à Vancouver, David a grandi en Virginie dans une famille musicale. Dès un jeune âge, il s’adonne à la composition, à l’écriture, au dessin et à la peinture; ces passions ont donné lieu à des dizaines de chansons originales, de toiles et de murales. Ses études d’alto l’ont mené à travers les États-Unis et l’Europe pour apprendre auprès de Roberto Diaz, Atar Arad, Karen Tuttle, Gerard Caussé, Thomas Riebl et Nobuko Imai, ainsi qu’au Banff Centre, à l’Académie de Musique Tibor Varga et à Prussia Cove.
En Europe, David a été alto solo pour l’Orchestre de Montpellier et l’Opéra de Bordeaux, La Orquesta de la Ciudad de Granada, Holland Symfonia et Amsterdam Sinfonietta. Il a été alto solo de l’Orchestre philharmonique de Londres sous les baguettes de Vladimir Jurowski, Christoph Eschenbach, Yannick Nézet-Séguin, et Marin Alsop. Un incontournable de la scène musicale contemporaine, il s’est produit à travers l’Europe avec l’Ensemble Asko/Schonberg, l’Ensemble Moderne, le Mondriaan Quartet, Fabrica Musica et Nieuw Amsterdamse Peil. Il a été membre du groupe de musique contemporaine d’avant-garde danois Nieuw Ensemble, avec qui il a tourné en Chine et enregistré plus de 40 œuvres.
En tant que musicien folk, David a tourné en Lettonie, en Lithuanie et en Estonie avec ses chansons de The History of Dynamite. Son opéra folk The Odyssey a été interprété au Banff Centre et subséquemment au Theater de Cameleon à Amsterdam. Il joue du violon et de la guitare, et a déjà accompagné Van Dyke Parks, Bill Frisell et Patrick Watson.
Il habite à Wakefield, au Québec, avec sa conjointe et leurs quatre enfants.
Dr. Alizé Carrère is a scientist and filmmaker who researches and documents human adaptations to environmental change. After starting with projects related to agriculture, her work evolved into broader storytelling and education about human resilience. She brings her social science background and extensive field experience to her filmmaking, with the goal of elevating the human dimensions of climate change. She recently completed her doctorate at the University of Miami where she examined the burgeoning relationship between architecture, climate change, and ecological urban utopias.
Alizé Carrère est une scientifique et cinéaste qui étudie et documente les adaptations humaines aux changements environnementaux. Après avoir débuté avec des projets liés à l’agriculture, son travail a évolué vers une narration et une éducation plus larges sur la résilience humaine. Elle apporte sa formation en sciences sociales et sa vaste expérience de terrain à sa réalisation cinématographique, dans le but de mettre en valeur les dimensions humaines du changement climatique. Elle a récemment terminé son doctorat à l’Université de Miami où elle a examiné la relation naissante entre l’architecture, le changement climatique et les utopies urbaines écologiques.
Edward Burtynsky is regarded as one of the world’s most accomplished contemporary photographers. His remarkable photographic depictions of global industrial landscapes represent over 40 years of his dedication to bearing witness to the impact of humans on the planet. Burtynsky’s photographs are included in the collections of over 80 major museums around the world. Major (touring) exhibitions include: Anthropocene (2018); Water (2013) organized by the New Orleans Museum of Art & Contemporary Art Center, Louisiana; Oil (2009) at the Corcoran Gallery of Art in Washington, DC; China (2005 five-year tour); and Manufactured Landscapes (2003) at the National Gallery of Canada. Burtynsky’s distinctions include the inaugural TED Prize in 2005, which he shared with Bono and Robert Fischell; the Governor General’s Awards in Visual and Media Arts; the Outreach Award at the Rencontres d’Arles; the Roloff Beny Book Award; and the 2018 Photo London Master of Photography Award. In 2019 he was the recipient of the Arts & Letters Award at the Canadian Association of New York’s annual Maple Leaf Ball and the 2019 Lucie Award for Achievement in Documentary Photography. In 2020 he was awarded a Royal Photographic Society Honorary Fellowship and in 2022 was honoured with the Outstanding Contribution to Photography Award by the World Photography Organization. In 2022 he was inducted into the International Photography Hall of Fame and was named the 2022 recipient for the annual Pollution Probe Award. Most recently he received the 2023 PHotoESPAÑA Award for Professional Career and was awarded with the 25th edition of the Pino Pascali Prize. Burtynsky was also a key production figure in the award-winning documentary trilogy Manufactured Landscapes (dir. Jennifer Baichwal, 2006), Watermark (dir. Baichwal and Burtynsky, 2013), and ANTHROPOCENE: The Human Epoch (dir. Baichwal, Nicholas de Pencier, and Burtynsky, 2018). All three films continue to play in festivals around the world. Burtynsky currently holds eight honorary doctorate degrees.
Edward Burtynsky est considéré comme l’un des photographes contemporains les plus accomplis au monde. Ses remarquables photographies de paysages industriels du monde entier témoignent de plus de 40 ans consacrés à immortaliser les répercussions des activités humaines sur la planète. Ses œuvres enrichissent les collections de plus de 80 grands musées aux quatre coins du monde. Parmi ses principales expositions (itinérantes), on peut citer : Anthropocene (2018), Water (2013), organisée par le New Orleans Museum of Art et le Contemporary Art Center, en Louisiane, Oil (2009) à la galerie d’art Corcoran de Washington, China (2005, tournée de cinq ans) et Paysages manufacturés (2003), au Musée des beaux-arts du Canada. Il a reçu plusieurs récompenses, dont le premier prix TED en 2005, qu’il a partagé avec Bono et Robert Fischell, le Prix du Gouverneur général en arts visuels et en arts médiatiques, le prix Dialogue de l’humanité aux Rencontres d’Arles, le prix du livre Roloff Beny et le prix Master of Photography de Photo London (2018). En 2019, on lui a décerné le prix des arts et des lettres lors du bal annuel Maple Leaf de l’Association canadienne de New York et le prix Lucie pour ses réalisations en photographie documentaire. En 2020, il est devenu membre honoraire de la Royal Photographic Society et en 2022, il a reçu un prix de la World Photography Organization pour sa contribution exceptionnelle au domaine. La même année, il a été intronisé au Panthéon international de la photographie et a obtenu le prix annuel Pollution Probe. Plus récemment, on lui a remis le prix PHotoESPAÑA 2023 pour l’ensemble de sa carrière ainsi que le 25e prix Pino Pascali. Edward Burtynsky a également joué un rôle essentiel dans la production de la trilogie documentaire primée Manufactured Landscapes (réal. Jennifer Baichwal, 2006), Watermark (réal. Jennifer Baichwal et Edward Burtynsky, 2013) et ANTHROPOCENE: The Human Epoch (réal. Jennifer Baichwal, Nicholas de Pencier et Edward Burtynsky, 2018). Ces trois films sont toujours diffusés dans des festivals partout dans le monde. Edward Burtynsky détient actuellement huit doctorats honorifiques.
Named Radio-Canada’s “Révélation” (“discovery”) in classical music for the 2023–24 season, soprano Elisabeth St-Gelais graduated from McGill University’s Schulich School of Music in April 2023 with a Master of Music degree in voice and opera. An Innu from the community of Pessamit, she has made sharing her culture part of her mission as an artist. In 2022, Elisabeth received McGill University’s prestigious Wirth Vocal Prize, won the Grand Prize in the 19-30 age group at the Canimex Canadian Music Competition, and was named to the prestigious #CBC30under30 list, recognizing her as a leading Indigenous opera artist under the age of 30. In 2023, she won first prize in the age 26–30 category at the Festival Classival, the Prix d’Europe awarded at the Conservatoire de musique de Montréal, and first prize and the Audience Choice Award at the Canadian Opera Company’s annual Centre Stage competition. In November 2023, at the Metropolitan Opera Laffont Competition, she placed first in the Western Canada District and won the Northwest Regionals Encouragement Award. Elisabeth is also active in her Montreal musical community, and has been a member of the board of directors of the Conseil québécois de la musique since April 2023. She has performed across Canada as a guest of the Canadian Opera Company, the Orchestre de l’Agora, the Orchestre symphonique des jeunes de Montréal, I Musici, the Orchestre symphonique de Québec, the Orchestre symphonique de la Côte-Nord, the Orchestre classique de Montréal, the Toronto Summer Music Festival, Cecilia Concerts, the Festival d’opéra de Québec, and many others. As an Indigenous artist, Elisabeth St-Gelais is committed to the reconciliation of Canada’s Indigenous Peoples and a proud representative of her nation, the Innu of the Côte-Nord.
Nommée Révélation Radio-Canada en musique classique pour la saison 2023-2024, Elisabeth St-Gelais a obtenu une maîtrise en musique spécialisée en interprétation opéra et chant de l’École de musique Schulich de l’Université McGill en avril 2023. Innue de la communauté de Pessamit, elle accorde une grande importance à la transmission de sa culture à travers son rôle d’artiste. Elisabeth St-Gelais a été la grande gagnante du prestigieux prix de chant Wirth de l’Université McGill en mars 2022 et du Grand prix chez les 19 à 30 ans au Concours de musique du Canada Canimex en juin 2022. La même année, elle est nommée dans la prestigieuse liste #CBC30under30 où elle se démarque comme artiste lyrique autochtone en vue sous la barre des 30 ans. Elle remporte le premier prix dans la catégorie 26 à 30 ans au Festival Classival en avril 2023. Le 11 juin de cette même année, elle remporte le Prix d’Europe au Conservatoire de musique de Montréal et est la gagnante du premier prix et du choix du public au concours annuel de la Compagnie d’opéra canadienne, Centre Stage édition 2023. En novembre 2023, dans le cadre du concours Laffont du Metropolitan Opera, elle se classe en première place dans l’Ouest canadien et obtient un prix d’encouragement dans le championnat régional du Nord-ouest. Également engagée dans sa communauté musicale montréalaise, la soprano siège au conseil d’administration du Conseil québécois de la musique depuis avril 2023. Elle accumule les prestations partout au Canada, invitée par la Compagnie d’opéra canadienne, l’Orchestre de l’Agora et l’Orchestre symphonique des jeunes de Montréal, I Musici, l’Orchestre symphonique de Québec, l’Orchestre symphonique de la Côte-Nord, l’Orchestre classique de Montréal, le Festival de musique d’été de Toronto, Cecilia Concerts, le Festival d’opéra de Québec et plus encore. Elisabeth St-Gelais est une artiste autochtone qui œuvre pour la réconciliation des peuples autochtones du Canada et s’affiche comme fière représentante des Innus de la Côte-Nord, sa nation.
Through her work in inclusive dance, cross-disciplinary collaboration and broad learning from multiple perspectives, Elizabeth has sought to redefine what dance looks and feels like for herself, and to allow space for others to do so as well.
An independent franco-ontarian dance artist from traditional unceded Algonquin Anishinaabe territory (Orléans ON), she creates/performs/collaborates through connections between people/places/artforms from accessible, intersectional feminist perspectives. An alumni of the Quinte Ballet School, The School of Dance, DecidedlyJazz Danceworks’ Professional Training Program and the Banff Centre for the Arts, Elizabeth has also trained extensively in inclusive dance techniques/teaching through Propeller Dance, Candoco (UK), AXIS Dance Company (US) and Stopgap Dance Company (UK). She was mentored by Tedd Robinson from 2021-2022.
Elizabeth is currently entering her fifth season as a company dancer for Propeller Dance, working on a project with 10 Gates Dancing and was commissioned by Ottawa Dance Directive to create a new duet for their Series Dance 10 in September 2023. She is a member of multidisciplinary group Ghost Rooster Collective, supported by Canada Council of the Arts, the City of Ottawa and Digital Arts Resource Centre. She creates dance works, films and interdisciplinary collaborations that have been supported/commissioned by a wide range of organizations and arts councils, including the National Arts Centre, CPAMO, TACTICS, Théâtre Wakefield, Theatre 4.669, Dark Horse Dance Projects, Ottawa Dance Directive, Free Flow Dance Theatre, Dancers Studio West, Lisbon Dance Platform (Portugal), Skylines Dance & Film Series, HUFF Festival, NextFest and Social Distancing Festival, the City of Ottawa, Ontario Arts Council, Canada Council and Bourse Tontine.
Her community practice includes working with Amethyst Women’s Addiction Centre, the City of Ottawa, creating and co-facilitating Conversations, a discussion series for and by Ottawa-Gatineau dance artists, and INTERFACE, a research intensive for emerging Adawe-area dance artists. Elizabeth has danced for Ottawa Dance Directive, Allison Burns, Lois Chan, Kaja Irwin, Shara Weaver, Chelsea Passmore, Par B.L.eux, Corps Bara Dance Theatre, Pixie Cram/Tina Le Moine, Tara Luz Danse and The Ghomeshi Effect, among others. She has served as rehearsal director/outside eye for Propeller Dance and Allison Burns.
À travers son travail dans la danse inclusive, la collaboration interdisciplinaire et l'apprentissage à partir de multiples perspectives, Elizabeth a cherché à redéfinir ce que la danse représente pour elle et à laisser de l'espace pour les autres à faire de même.
Artiste de danse franco-ontarienne indépendante originaire du territoire traditionnel non cédé algonquin anishinaabe (Orléans, ON), elle crée, interprète et collabore en mettant en relation des personnes, des lieux et des formes artistiques avec des perspectives féministes intersectionnelles et accessibles. Ancienne élève de l'École de ballet Quinte, de l'École de danse, du Programme de formation professionnelle de Decidedly Jazz Danceworks et du Banff Centre for the Arts, Elizabeth s'est également formée de manière approfondie aux techniques/d'enseignement de la danse inclusive auprès de Propeller Dance, Candoco (Royaume-Uni), AXIS Dance Company (États-Unis) et Stopgap Dance Company (Royaume-Uni). Elle a été mentorée par Tedd Robinson de 2021 à 2022.
Elizabeth entame actuellement sa cinquième saison en tant que danseuse de la compagnie Propeller Dance, travaillant sur un projet avec 10 Gates Dancing et a été commissionnée par Ottawa Dance Directive pour créer un nouveau duo pour leur Série Dance 10 en septembre 2023. Elle est membre du collectif multidisciplinaire Ghost Rooster Collective, soutenu par le Conseil des arts du Canada, la Ville d'Ottawa et le Centre des ressources en arts numériques. Elle crée des œuvres de danse, des films et des collaborations interdisciplinaires qui ont été soutenus/commissionnés par un large éventail d'organisations et de conseils des arts, notamment le Centre national des arts, CPAMO, TACTICS, Théâtre Wakefield, Theatre 4.669, Dark Horse Dance Projects, Ottawa Dance Directive, Free Flow Dance Theatre, Dancers Studio West, Lisbon Dance Platform (Portugal), Skylines Dance & Film Series, HUFF Festival, NextFest et Social Distancing Festival, la Ville d'Ottawa, le Conseil des arts de l'Ontario, le Conseil des arts du Canada et la Bourse Tontine.
Sa pratique communautaire inclut le travail avec le Centre d'addiction des femmes Amethyst, la Ville d'Ottawa, la création et la co-animation de Conversations, une série de discussions pour et par les artistes de danse d'Ottawa-Gatineau, et INTERFACE, une recherche intensive pour les artistes de danse émergents de la région d'Adawe. Elizabeth a dansé pour Ottawa Dance Directive, Allison Burns, Lois Chan, Kaja Irwin, Shara Weaver, Chelsea Passmore, Par B.L.eux, Corps Bara Dance Theatre, Pixie Cram/Tina Le Moine, Tara Luz Danse et The Ghomeshi Effect, entre autres. Elle a également été directrice de répétition/œil extérieur pour Propeller Dance et Allison Burns.
Toronto-born violinist Emily Kruspe has a great love for musical collaborations, chamber music, harmony, and rhythmic groove. She has performed extensively throughout North America and Europe, most notably with the Rolston String Quartet from 2018 to 2020. Emily regularly performs with the Toronto-based ARC Ensemble and is featured on its newest CD, Chamber Works by Alberto Hemsi. Her love of chamber music stems from festivals she attended in her youth: Yellow Barn, the Kneisel Hall Chamber Music Festival, the Banff Centre, and the Domaine Forget Chamber Music Festival. As an orchestral musician, Emily has performed with the Toronto Symphony Orchestra, the National Ballet Orchestra of Canada, and the Canadian Opera Company Orchestra. She was a winner of the Glenn Gould School’s Concerto Competition and the University of Toronto Concerto Competition, a recipient of the Orford String Quartet Scholarship, and was previously a CBC Young Artist. In 2018, she was named one of CBC’s hot Canadian classical musicians under 30.
Emily completed her undergraduate studies at the University of Toronto under Erika Raum, received an Artist Diploma from the Glenn Gould School under Paul Kantor and Barry Shiffman, and studied at the Colburn School with Martin Beaver. She was a 2017–2018 fellow of the Rebanks Family Fellowship and International Performance Residency Program at the Royal Conservatory in Toronto and was subsequently awarded a violin from the Canada Council for the Arts Musical Instrument Bank. Emily has been a proud member of the National Arts Centre Orchestra since October 2022 and regularly plays with the Ironwood Quartet, composed of NACO colleagues Jessica Linnebach, Carissa Klopoushak, and Rachel Mercer. When she isn’t playing music, she can be found cycling, teaching, and walking her cats, Figaro and Rosie, around the perimeter of her house, repeatedly.
Originaire de Toronto, la violoniste Emily Kruspe nourrit une passion pour les collaborations musicales, la musique de chambre, l’harmonie et le sens du rythme. Elle s’est produite à maintes reprises en Amérique du Nord et en Europe, notamment avec le Quatuor Rolston de 2018 à 2020. Elle se produit régulièrement avec l’ARC Ensemble de Toronto et a participé au dernier album de la formation, Chamber Works by Alberto Hemsi. Son amour de la musique de chambre lui vient des festivals auxquels elle a pris part dans sa jeunesse : Yellow Barn, le Festival de musique de chambre de Kneisel Hall, le festival du Centre des arts de Banff et le Festival de musique de chambre du Domaine Forget. Comme musicienne d’orchestre, Emily a joué avec l’Orchestre symphonique de Toronto, l’Orchestre du Ballet national du Canada et l’Orchestre de la Compagnie d’opéra canadienne. Elle a été lauréate du concours de concertos de l’École Glenn Gould et de celui de l’Université de Toronto, titulaire de la bourse du Quatuor à cordes Orford et a été nommée Jeune artiste de la CBC. Elle a également été nommée l’une des musiciennes classiques canadiennes de moins de 30 ans les plus en vue par la CBC en 2018.
Emily a fait ses études de premier cycle à l’Université de Toronto sous la direction d’Erika Raum, a obtenu un diplôme d’artiste à l’École Glenn Gould sous la direction de Paul Kantor et de Barry Shiffman, et a étudié à Colburn avec Martin Beaver. Elle a également été titulaire en 2017-2018 de la Bourse de la famille Rebanks et a obtenu une résidence en interprétation internationale au Conservatoire royal de Toronto, puis un violon de la Banque d’instruments de musique du Conseil des arts du Canada. Elle est membre de l’Orchestre du Centre national des Arts depuis octobre 2022 et se produit régulièrement avec le quatuor Ironwood, composé de ses collègues de l’OCNA Jessica Linnebach, Carissa Klopoushak et Rachel Mercer. Dans ses temps libres, elle aime faire du vélo, enseigner, et promener à répétition ses chats Figaro et Rosie autour de sa demeure.
Emily Rose Michaud is an interdisciplinary artist and educator working at the crossroads of community organization, ecology and civic participation. Her body of work encompasses land-based art, installation, drawing, writing, performance and intervention. Emily has been leading art workshops independently since 2004, and offers workshops in and out of institutional settings. A certified teacher with the Ontario College of Teachers, in 2019 she became a member of the Multicultural Arts for School & Communities (MASC) and of the English Language Arts Network (ELAN)’s Artists Inspire program. Emily has worked with youngsters, teenagers, adults and seniors in all media, for leisure, education and portfolio development. She is fluent in English and French and works in a variety of settings on both sides of the river throughout the National Capital Region.
Emily’s workshops are designed to meet the specific needs of groups, their interests, skills and talents. Media used include painting, drawing, mixed media, land art, and projects for public spaces. You can view her most recent workshop offerings here: Programs + Newsletter.
Emily Rose Michaud est une artiste et éducatrice interdisciplinaire qui travaille au carrefour de l’organisation communautaire, de l’écologie et de la participation civique. Son travail englobe l’art terrestre, l’installation, le dessin, l’écriture et la performance/intervention. Depuis 2004, Emily propose des ateliers d’art de manière indépendante, et offre des ateliers dans et hors de l’institution. En 2019, elle est devenue membre du Multicultural Arts for School & Communities (MASC), du programme Artists Inspire du réseau English Language Arts Network (ELAN). Elle a travaillé avec des jeunes, des adolescents, des adultes et des personnes âgées dans tous les médias, pour les loisirs, l’éducation et le développement de portefeuille. Emily est également une enseignante agréée par l’Ordre des enseignantes et des enseignants de l’Ontario (OEO). Elle parle couramment l’anglais et le français et travaille dans divers environnements des deux côtés de la rivière, dans toute la région de la capitale nationale.
Les ateliers d’Emily sont conçus pour répondre aux besoins spécifiques des groupes, à leurs intérêts, à leurs compétences et à leurs talents. Les médias utilisés comprennent la peinture, le dessin, les techniques mixtes, le land art et les projets pour les espaces publics. Vous pouvez consulter ses offres d’ateliers les plus récentes ici : Programmes + Infolettre.
Canadian violinist Emily Westell has established herself as a versatile musician. Since her debut as a soloist with the Calgary Philharmonic Orchestra at age 15, she has performed as soloist and conductor with the Orchestre de chambre de Paris and has played concerti with the Tanglewood, Banff Festival, and University of Calgary orchestras. A winner of the 2012 Canada Council for the Arts Musical Instrument Bank Competition (loan of the 1717 Windsor-Weinstein Stradivari), she was awarded the 2013 Astral Artist Prize from Canada’s National Arts Centre. Emily has performed chamber music and solo recitals in Paris (Cité de la Musique), New York (Carnegie’s Weill Recital Hall), Boston (Jordan Hall), and the Netherlands (International Holland Music Sessions). Her concerts have been broadcast on CBC and Radio-Canada.
Emily has performed at the festivals of Prussia Cove, Norfolk, Spoleto USA, Orford, Meadowmount, and Lanaudiere. An advocate for new music, Emily has performed with the Harvard Group for New Music, Columbia Composers, Boston’s Callithumpian Consort, and on the Land’s End Chamber Ensemble CD, Rollin’ Down #1, winner of the Western Canada Music Award for Outstanding Classical Album. She is a former instructor of violin and chamber music at McGill University.
Emily recently completed post-doctoral professional studies with Pinchas Zukerman in the Manhattan School of Music’s prestigious Zukerman Performance Program with a President’s Award. Her previous teachers include Edmond Agopian, Miriam Fried, and Jonathan Crow. She holds a Doctor of Music from McGill University (where she was an SSHRC Doctoral Fellow), a master’s degree from the New England Conservatory, and the Fine Arts gold medal from the University of Calgary for the top graduate.
La violoniste canadienne Emily Westell est reconnue pour sa polyvalence. Après des débuts comme soliste avec l’Orchestre philharmonique de Calgary à 15 ans, elle s’est produite avec l’Orchestre de chambre de Paris (comme soliste et chef d’orchestre) ainsi qu’avec les orchestres de Tanglewood, du festival de Banff et de l’Université de Calgary. Lauréate 2012 du concours de la Banque d’instruments de musique du Conseil des arts du Canada (pour le prêt du violon Stradivarius Windsor-Weinstein de 1717), elle a aussi reçu le prix Artiste Astral du Centre national des Arts en 2013. Elle a donné des concerts de musique de chambre et des récitals solos à Paris (Cité de la Musique), à New York (salle Weil de Carnegie Hall), à Boston (Jordan Hall) et aux Pays-Bas (International Holland Music Sessions). Ses concerts ont été diffusés sur les ondes de CBC et Radio-Canada.
Emily a participé aux festivals de Prussia Cove (Angleterre), de Norfolk, Spoleto et Meadowmount (É.-U.) ainsi que d’Orford et de Lanaudière (Québec). Passionnée de musique contemporaine, elle s’est produite avec le Harvard Group for New Music, les Columbia Composers et le Callithumpian Consort de Boston. On peut également l’entendre sur le CD Rollin’ Down #1 de l’ensemble de musique de chambre Land’s End, lauréat d’un Western Canada Music Award dans la catégorie « Album classique exceptionnel ». Mme Westell a aussi enseigné le violon et la musique de chambre à l’Université McGill.
Emily a récemment terminé des études postdoctorales auprès de Pinchas Zukerman au prestigieux programme Zukerman de la Manhattan School of Music, où elle a obtenu une Bourse du président. Figurent également au nombre de ses anciens maîtres Edmond Agopian, Miriam Fried et Jonathan Crow. Emily détient un doctorat en musique de l’Université McGill (où elle était boursière du CRSH), une maîtrise du Conservatoire de musique de la Nouvelle-Angleterre et la médaille d’or remise par la Faculté des beaux-arts de l’Université de Calgary pour les meilleurs résultats scolaires.
Eƨƨe Ran is an uprising techno producer and DJ from Montreal and owner of Humidex Records. He started outputting techno into the form of hardware live set with his duo Musique Nouvelle (alongside S.Chioini, cofounder of Humidex Records). From 2017 until 2019, they not only flooded the underground Montreal rave scene, but also played in international festivals such as Mutek Mexico, Mutek Buenos Aires, and Mutek Montreal.
In 2020 Eƨƨe Ran released his first EP on vinyl under his previous alias, Absurde. Since then, he has produced two surprisingly creative textured techno EPs: Derelict Memories and Constant Decay, on his own label.
At the beginning of 2023, he completed a DJ tour in Tokyo, playing in one of the most important clubs of Shibuya: ENTER.
He started collaborating with Andrea Peña at the beginning of 2024. UAQUE is their second collaboration in which he takes the electronic music composition part.
Eƨƨe Ran est un producteur et DJ techno montréalais en pleine ascension, propriétaire de Humidex Records. Il a commencé à produire de la techno sous forme de concerts sur ordinateur avec son duo Musique Nouvelle (aux côtés de S. Chioini, cofondateur de Humidex Records). De 2017 à 2019, ils ont inondé la scène rave underground montréalaise, mais également joué dans des festivals internationaux tels que MUTEK Mexico, MUTEK Buenos Aires et MUTEK Montréal.
En 2020, Eƨƨe Ran a lancé son premier microalbum sur vinyle sous son ancien alias, Absurde. Depuis, il a produit deux microalbums techno texturés étonnamment créatifs : Derelict Memories et Constant Decay, sous sa propre étiquette.
Au début de l’année 2023, il a effectué une tournée de DJ à Tokyo en jouant dans l’un des clubs les plus en vue de Shibuya : ENTER.
Il a commencé à collaborer avec Andrea Peña au début de l’année 2024. UAQUE marque leur deuxième collaboration dans laquelle il s’occupe de la composition de la musique électronique.
Frédéric Auger has been designing immersive sound environments and music for the performing arts for about 20 years. He is interested in creating dynamic sound material for live performance, and adapting sound for use in a performance context. He uses sampling, reproduction, and dynamic processing, as well as the possibilities of spatialization and live transformation of sound objects and elements (voice, instruments, or fixed media). His practice is organically integrated into the dramaturgy and creative and experimental process of the artists with whom he works.
He frequently collaborates with the Orchestre d’hommes-orchestres (Joue à Tom Waits, Cabaret brise-jour, Kitchen Chicken), Bureau de l’APA (Entrez nous sommes ouverts, Les oiseaux mécaniques), Théâtre Rude Ingénierie (Dreamland), Système Kangourou (Dérive de nuit, Bermudes (dérive), Fantômes), the documentary theatre company Porte Parole (Rose and the Machine, J’aime Hydro), Sibyllines/Brigitte Haentjens (Rome, Sang, Rêve et folie, Parce que la nuit), Onishka/Émilie Monnet (This Time Will Be Different, Marguerite : le feu), and Marie Brassard (La fureur de ce que je pense, La vie utile). He has also worked as a sound designer or sound engineer on productions by François Girard, Robert Lepage, Claude Poissant, and Philippe Cyr.
Frédéric Auger conçoit des environnements sonores immersifs et de la musique pour les arts vivants depuis une vingtaine d’années. Il s’intéresse à la création d’une matière sonore vivante, interprétée en direct, et à la mise en espace du son en contexte performatif. Il utilise l’échantillonnage, la reproduction, le traitement dynamique ainsi que les possibilités de spatialisation et de transformation en direct des objets et des corps sonores (voix, instruments ou médiums fixes). Sa pratique se veut intégrée organiquement à la dramaturgie et au processus créatif et expérimental des artistes avec qui il s’associe.
Il est un collaborateur régulier de l’Orchestre d’hommes-orchestres (Joue à Tom Waits, Cabaret brise-jour, Kitchen Chicken), du Bureau de l’APA (Entrez nous sommes ouverts, Les oiseaux mécaniques), du Théâtre Rude Ingénierie (Dreamland), de Système Kangourou (Dérive de nuit, Bermudes (dérive), Fantômes), de la compagnie de théâtre documentaire Porte Parole (Rose et la machine, J’aime Hydro), de Sibyllines/Brigitte Haentjens (Rome, Sang, Rêve et folie, Parce que la nuit), d’Onishka/Émilie Monnet (This Time Will be Different, Marguerite: le feu), de Marie Brassard (La fureur de ce que je pense, La vie utile). Par le passé, il a eu la chance, en tant que concepteur sonore ou sonorisateur, de s’associer aux créations de François Girard, Robert Lepage, Claude Poissant et Philippe Cyr.
Ian Cusson (b. 1981) is a composer of art song, opera, and orchestral work. Of Métis (Georgian Bay Métis Community) and French-Canadian descent, his work explores Canadian Indigenous experience including the history of the Métis people, the hybridity of mixed-racial identity, and the intersection of Western and Indigenous cultures.
He studied composition with Jake Heggie and Samuel Dolin, and piano with James Anagnoson at the Glenn Gould School. He is the recipient of numerous awards and grants including the Chalmers Professional Development Grant, the National Aboriginal Achievement Foundation Award, and several grants through the Canada Council, the Ontario Arts Council, and the Toronto Arts Council.
Ian was an inaugural Carrefour Composer-in-Residence with the National Arts Centre Orchestra for 2017–2019 and was Composer-in-Residence for the Canadian Opera Company for 2019–2021. He was a Co-artistic Director of Opera in the 21st Century at the Banff Centre and the recipient of the 2021 Jan V. Matejcek Classical Music Award from SOCAN and the 2021 Johanna Metcalf Performing Arts Prize. Ian is an Associate Composer of the Canadian Music Centre and a member of the Canadian League of Composers.
He lives in Oakville with his wife and four children.
Ian Cusson (né en 1981) est un compositeur canadien de mélodies, d’opéras et de pièces orchestrales. D’origine métisse (communauté métisse de la Baie Georgienne) et canadienne-française, il explore, dans son œuvre, l’expérience autochtone au Canada, en particulier l’histoire du peuple métis, l’union des identités raciales mixtes et la rencontre des cultures occidentales et autochtones.
Il a étudié la composition auprès de Jake Heggie et Samuel Dolin ainsi que le piano sous la houlette de James Anagnoson à l’École Glenn-Gould. Lauréat d’un Prix national d’excellence décerné aux Autochtones, il a obtenu de nombreuses subventions, y compris une bourse des Projets Chalmers de perfectionnement professionnel et plusieurs bourses des conseils des arts du Canada, de l’Ontario et de Toronto.
Ian Cusson a été l’un des deux premiers compositeurs en résidence à l’Orchestre du Centre national des Arts dans le cadre du programme Carrefour (2017-2019). Il a également été compositeur en résidence à la Compagnie d’opéra canadienne (2019-2021). Il a été co-directeur artistique du programme L’opéra au XXIe siècle du Centre Banff et lauréat, en 2021, du Prix Jan V. Matejcek pour la nouvelle musique classique de la SOCAN et d’un Prix Johanna-Metcalf des arts de la scène. Compositeur agréé du Centre de musique canadienne, il est aussi membre de la Ligue canadienne des compositeurs.
Ian Cusson réside à Toronto avec sa femme et leurs quatre enfants.
Polaris Prize winner Jeremy Dutcher is a classically trained operatic tenor and composer who takes every opportunity to blend his Wolastoq First Nation roots into the music he creates, blending distinct musical aesthetics that shape-shift between classical, traditional, and pop to form something entirely new. Dutcher’s debut release, Wolastoqiyik Lintuwakonawa, involves the rearrangement of early 1900s wax cylinder field recordings from his community. “Many of the songs were lost because our musical tradition was suppressed by the Canadian government. I’m doing this work as there’s only about a hundred Wolastoqey speakers left. It’s crucial that we’re using our language because, if you lose the language, you’re losing an entire distinct way of experiencing the world.”
Lauréat d’un prix Polaris, Jeremy Dutcher est un ténor et un compositeur lyrique de formation classique. Pour créer sa musique, il puise dans ses racines autochtones wolastoqiyik et fusionne différentes esthétiques musicales – qui vont du classique, au traditionnel en passant par la pop – pour faire advenir quelque chose de complètement nouveau. Son premier album, Wolastoqiyik Lintuwakonawa, revisite des enregistrements de chants traditionnels en wolastoq sur cylindres de cire datant du début du 20e siècle. « Plusieurs de ces chants avaient été oubliés parce que notre tradition musicale a été réprimée par le gouvernement canadien. Je fais ce travail alors qu’il ne reste qu’une centaine de locuteurs de wolastoq. Nous devons continuer à utiliser notre langue, car perdre sa langue, c’est perdre une façon particulière de voir et d’explorer le monde. »
Jeremy Mastrangelo has performed regularly with the National Arts Centre Orchestra since the end of 2011 and was appointed a full-time member in 2014.
Previously, Jeremy was the associate concertmaster of the Syracuse Symphony Orchestra from 2001 until 2011 and was designated the orchestra’s next concertmaster in 2010. During his tenure with the SSO, he was a featured soloist on multiple occasions, including for performances of Bach’s Concerto for two violins with Jaime Laredo, Brahms’s “Double Concerto,” the Sibelius violin concerto, and Vivaldi’s The Four Seasons. He has been a guest concertmaster with the Kalamazoo Symphony Orchestra, Fort Wayne Philharmonic, Omaha Symphony, Oregon Symphony, and the National Ballet of Canada. Before his work in Syracuse, Jeremy was co-concertmaster of the New World Symphony in Miami. Jeremy has been a finalist in the Stulberg International String Competition and was the top prize winner in the National Federation of Music Clubs student auditions. In addition to his orchestral career, Jeremy performs frequently in solo recitals and chamber music concerts and has been featured in the Syracuse Friends of Chamber Music series on several occasions. He has also performed with the Chamber Players of Canada and Kathleen Battle and in the NAC Orchestra’s Music for a Sunday Afternoon series. From 2004 to 2009, he was an Affiliate Artist faculty member at Syracuse University.
Jeremy spent seven summers performing at festivals in Colorado with his wife Sara, who is also a violinist. First, as a quartet musician at the Steamboat Springs’ Strings Music Festival, and for the next six years, he performed with the Breckenridge Music Festival Orchestra under conductor Gerhardt Zimmerman. For his final two summers, he served as concertmaster for the BMF, and in that capacity, he soloed with the orchestra and was featured on a recording of Piazzolla’s Four Seasons of Buenos Aires. Jeremy holds degrees from the Cleveland Institute of Music and the University of Michigan, where he studied with William Preucil and Paul Kantor. Jeremy resides in Ottawa with his wife and two children, both of whom play piano and violin, in addition to their interests in baseball, basketball, dance, art, and most anything Star Wars–related.
Jeremy Mastrangelo a obtenu sa permanence à l’Orchestre du Centre national des Arts du Canada en 2014, après avoir joué régulièrement avec l’ensemble depuis la fin 2011.
Il a été auparavant violon solo associé de l’Orchestre symphonique de Syracuse de 2001 à 2011, et désigné en 2010 pour devenir le prochain violon solo de l’ensemble. Durant ses années au sein de cette formation, il s’est produit comme soliste à de multiples occasions, notamment dans le Concerto pour deux violons de Bach, avec Jaime Laredo, le Concerto « double » de Brahms, le Concerto pour violon de Sibelius et Les Quatre saisons de Vivaldi. Il a été violon solo invité des orchestres symphoniques de Kalamazoo, d’Omaha et de l’Oregon, de l’Orchestre philharmonique de Fort Wayne et de l’orchestre du Ballet national du Canada. Avant d’entrer en poste à Syracuse, il a été co-violon solo du New World Symphony à Miami. Jeremy a par ailleurs été finaliste au Concours international de cordes de Stulberg et a récolté les grands honneurs aux auditions pour étudiants de la National Federation of Music Clubs. En plus de sa carrière de musicien d’orchestre, Jeremy donne souvent des récitals et collabore à des concerts de musique de chambre; il s’est produit à plusieurs occasions dans le cadre des séries Syracuse Friends of Chamber Music et Musique pour un dimanche après-midi au CNA. Il a aussi partagé la scène avec les Chamber Players of Canada et Kathleen Battle. De 2004 à 2009, il a été Artiste affilié de la faculté de Musique de l’Université de Syracuse.
Avec sa femme Sara, violoniste elle aussi, Jeremy a passé sept étés à jouer dans des festivals au Colorado, la première année au sein d’un quatuor au Steamboat Springs’ Strings Music Festival, et les six étés suivants dans les rangs du Breckenridge Music Festival Orchestra, sous la direction de Gerhardt Zimmerman. Les deux derniers étés, il était violon solo de ce dernier ensemble, avec lequel il a joué comme soliste et a collaboré à un enregistrement des Quatre saisons de Buenos Aires de Piazzolla. Jeremy est diplômé du Cleveland Institute of Music et de l’Université du Michigan, où il a eu respectivement pour maîtres William Preucil et Paul Kantor. Il vit aujourd’hui à Ottawa avec sa femme et leurs deux enfants, Lia et Joel, tous deux musiciens en herbe (piano et violon), qui s’adonnent aussi au baseball, à la danse, à la gymnastique, aux arts et sont passionnés de tout ce qui touche l’univers de Star Wars.
Canadian violinist of German and Lebanese ancestry, Jessica Linnebach, has established herself as an accomplished artist with a thriving multi-faceted career encompassing solo, chamber, and orchestral performances.
Known for her “burnt caramel sound, utterly fearless virtuosity…and romantic lyricism” (Artsfile), Jessica has performed as a soloist with orchestras around the world. A passionate chamber musician, Jessica is a member of the Ironwood String Quartet along with her NAC Orchestra colleagues Emily Kruspe, Carissa Klopoushak, and Rachel Mercer. They are frequent performers at various chamber music series and festivals, including the NAC’s WolfGANG and Music for a Sunday Afternoon series and Ottawa Chamberfest, Pontiac Enchanté, Ritornello, and Classical Unbound festivals. As part of a commitment to reaching broader audiences, Jessica is one of the Artistic Directors of the Classical Unbound Festival, a chamber music festival in Prince Edward County, Ontario.
Accepted to the world-renowned Curtis Institute of Music in Philadelphia at age ten, Jessica remains one of the youngest-ever Bachelor of Music graduates in the school’s history. While there, Jessica’s primary teachers were Aaron Rosand, Jaime Laredo, and Ida Kavafian. At 18, she received her Master of Music from the Manhattan School of Music in New York City, where she studied with Pinchas Zukerman and Patinka Kopec.
Jessica resides in Ottawa, where she has been Associate Concertmaster with the NAC Orchestra since 2010. A natural leader, Jessica has performed numerous times as guest concertmaster with the Pittsburgh Symphony Orchestra, the Indianapolis Symphony Orchestra, and the Buffalo Philharmonic Orchestra.
Jessica plays a circa 1840 Jean-Baptiste Vuillaume (Guarnerius del Gésu 1737) violin. Her bows are crafted by Ron Forrester and Michael Vann.
Violoniste canadienne d’ascendance allemande et libanaise, Jessica Linnebach est une artiste accomplie menant une carrière riche et diversifiée de soliste, de chambriste et de musicienne d’orchestre.
Reconnue pour sa « sonorité évoquant le caramel brûlé, sa virtuosité téméraire […] et son lyrisme romantique » (Artsfile), Jessica s’est produite comme soliste avec des orchestres du monde entier. Chambriste passionnée, elle fait partie du quatuor à cordes Ironwood avec ses collègues de l’Orchestre du CNA Emily Kruspe, Carissa Klopoushak et Rachel Mercer. L’ensemble participe à de nombreuses séries de concerts, telles les Sessions WolfGANG et Musique pour un dimanche après-midi au CNA, et à des festivals de musique de chambre, comme le Chamberfest d’Ottawa, Pontiac Enchanté, Ritornello et Classical Unbound. S’employant à atteindre un vaste public, Jessica est membre de la direction artistique de Classical Unbound, le festival de musique de chambre du comté de Prince Edward.
Acceptée au prestigieux Institut de musique Curtis de Philadelphie à l’âge de dix ans, Jessica demeure l’une des plus jeunes élèves à avoir obtenu un baccalauréat en musique de cet établissement. Elle y eut pour maîtres Aaron Rosand, Jaime Laredo et Ida Kavafian. Elle a ensuite étudié auprès de Pinchas Zuckerman et Patinka Kopec à la Manhattan School of Music de New York, qui lui a décerné une maîtrise alors qu’elle n’avait que 18 ans.
Jessica vit à Ottawa et occupe le poste de violon solo associée à l’Orchestre du CNA depuis 2010. Leader née, elle a été à plusieurs reprises violon solo invitée pour l’Orchestre symphonique de Pittsburgh, l’Orchestre symphonique d’Indianapolis et l’Orchestre philharmonique de Buffalo.
Jessica joue sur un violon datant d’environ 1840, créé par le luthier Jean-Baptiste Vuillaume (modèle de 1737 Guarnerius del Gésu). Ses archets ont été confectionnés par Ron Forrester et Michael Vann.
Vancouver-born violist Jethro Marks was appointed Principal Viola of the National Arts Centre Orchestra in the spring of 2011. He has performed as a soloist and chamber musician throughout the United States, China, Mexico, Europe, and Canada and is a frequent collaborator with many artists and ensembles. Jethro is the first violist of the Zukerman Chamber Players, a string ensemble led by Pinchas Zukerman that has completed highly acclaimed tours of festivals in Canada, the U.S.A., Europe, China, South America and New Zealand. The ensemble released its fourth CD in 2008.
One of five brothers growing up in a musical family, Jethro first studied violin with his father, who played in the Vancouver Symphony Orchestra. While attending Indiana University at Bloomington, he became intrigued by the rich, dark sound of the viola. He began to switch his focus and started studying with violist Atar Arad. Awards included first prize in the Kuttner Quartet Competition, first prize in the Concerto Competition, and the prestigious Performers Certificate. In 1998, Jethro was accepted into the Zukerman Program at the Manhattan School of Music as the only violist, and he won first prize in the MSM Concerto Competition. Jethro first participated in the National Arts Centre’s Young Artist Program in 1999, returning the following summer. He returned to the NAC Summer Music Institute in 2000 and 2001 as a mentor and made his CBC Radio debut in 2003, performing Paganini’s 24th Caprice on viola.
An avid chamber musician, he has collaborated with some of the most illustrious artists and chamber groups of our day, including Leon Fleisher, Lynn Harrell, Gary Hoffman, Jaime Laredo, Michael Tree, Itzhak Perlman, Yefim Bronfman, Emanual Ax, and the Orion Quartet, and has participated in festivals around the world, including the Verbier Festival, the Santa Fe Chamber Music Festival, the Festival de musique de St. Barthelemy, the Banff Festival of the Arts, the Lanaudière Festival, the Agassiz Festival, the Ravinia Festival, the Aspen Music Festival, the Tanglewood Festival, Musica Mundi in Belgium, Schleswig-Holstein in Germany, and Mostly Mozart, as well as the 92nd St. Y, Jupiter, and Lyric Chamber Music Societies in New York City. Jethro is frequently featured in chamber music concerts in the National Arts Centre’s Music for a Sunday Afternoon series and at Ottawa Chamberfest.
He made his solo debut with the National Arts Centre Orchestra in 2004, playing Harold in Italy, and he premiered the Steven Gellman Viola Concerto with the Ottawa Symphony Orchestra in 2007. In 2014, he performed Malcolm Forsyth’s concerto with cellist Amanda Forsyth. He frequently collaborates with Ottawa pianist Mauro Bertoli and plays numerous recitals throughout Canada.
Jethro Marks a été nommé alto solo de l’Orchestre du Centre national des Arts au printemps 2011. L’artiste originaire de Vancouver s’est produit comme soliste et chambriste partout au Canada et aux États-Unis, ainsi qu’en Chine, au Mexique et en Europe, et est un collaborateur régulier de nombreux artistes et ensembles. Il est premier alto des Zukerman ChamberPlayers, ensemble à cordes dirigé par Pinchas Zukerman qui a sorti un quatrième album en 2008 et qui a fait des tournées chaudement applaudies dans des festivals au Canada, aux États-Unis, en Europe, en Chine, en Amérique du Sud et en Nouvelle-Zélande.
Le jeune Jethro a grandi avec ses quatre frères dans une famille de musiciens. Il a d’abord étudié le violon avec son père, membre de l’Orchestre symphonique de Vancouver. Puis durant sa formation à l’Université de l’Indiana à Bloomington, intrigué par les sonorités riches et sombres de l’alto, il a commencé à s’intéresser à cet instrument et à prendre des leçons auprès d’Atar Arad. Il a remporté notamment le premier prix au concours de quatuor Kuttner ainsi qu’au concours de concerto, et s’est vu décerner le prestigieux Performers Certificate. En 1998, il était le seul altiste admis au Zukerman Program de la Manhattan School of Music, école où il a récolté le premier prix au Concours de concerto. En 1999, il a participé comme étudiant à l’Institut estival de musique du CNA, où il est retourné les deux étés suivants à titre de mentor. Il a fait ses débuts à la radio de CBC en 2003 en interprétant à l’alto le 24ᵉ Caprice de Paganini.
Chambriste passionné, Jethro a collaboré avec certains des plus illustres interprètes et ensembles de chambre de notre temps, dont Leon Fleisher, Lynn Harrell, Gary Hoffman, Jaime Laredo, Michael Tree, Itzhak Perlman, Yefim Bronfman, Emanual Ax et le Quatuor Orion. Il a pris part à des festivals du monde entier, notamment le Verbier Festival, le Festival de musique de chambre de Santa Fe, le Festival de musique de St. Barthelemy, le Banff Festival of the Arts, le Festival de Lanaudière, l’Agassiz Festival, les festivals de Ravinia, d’Aspen et de Tanglewood, le Musica Mundi en Belgique, le festival du Schleswig-Holstein en Allemagne, le Mostly Mozart, le 92nd St. Y, ainsi que les Jupiter and Lyric Chamber Music Societies à New York. Il se produit régulièrement dans des concerts de musique de chambre de la série Musique pour un dimanche après-midi du CNA, ainsi que dans le cadre de festivals de musique de chambre d’Ottawa.
Jethro a fait ses débuts comme soliste avec l’Orchestre du Centre national des Arts en 2004 dans Harold en Italie, et en 2007, il a créé le Concerto pour alto de Steven Gellman avec l’Orchestre symphonique d’Ottawa. En 2014, il a joué un concerto de Malcolm Forsyth avec la violoncelliste Amanda Forsyth. Il se produit souvent avec le pianiste d’Ottawa Mauro Bertoli et donne des récitals partout au Canada.
A passionate environmentalist since her early teens, Judi is thrilled with her newly expanded role as Associate Producer, Artistic Programming and Environmental Projects for English Theatre. Judi is also a Co-founder and the former Operations Lead at SCALE (Sectoral Climate Arts Leadership for the Emergency), a non-profit network of artists, cultural practitioners, and arts organisations committed to addressing the climate emergency, founded in 2021. At the NAC, she has produced projects such as Grand Acts of Theatre, Stages of Transformation, the NAC Hip Hop Theatre Festival, the annual ceremony for the Siminovitch Prize (2016-2020) and Family Day (2011-2015), among many others. She was the recipient of the CEO’s Award of Excellence in 2020. She formerly served on the boards of The Only Animal and the Professional Association of Canadian Theatres, and is grateful to live and work on unceded Anishinaabe Algonquin territory, nestled between two waterways.
Jeune adolescente, Judi était déjà une environnementaliste passionnée. Occupant depuis longtemps le poste de productrice associée, Programmation artistique au sein du Théâtre anglais, elle a déjà siégé aux conseils d’administration de The Only Animal et de la Professional Association of Canadian Theatres. Elle est aussi cofondatrice et ex-responsable de l’exploitation de l’organisme LeSAUT (Leadership Sectoriel des Arts sur l’Urgence de la Transition écologique), un réseau à but non lucratif fondé en 2021 et composé d’artistes, de spécialistes de la culture et d’organisations artistiques cherchant à s’attaquer à la crise climatique.
Assistant Principal Cello of the National Arts Centre Orchestra since 2014, Julia MacLaine performs worldwide as a soloist, chamber, and orchestral musician in music ranging from classical to contemporary and from “world” to her own arrangements and compositions.
Most recently, she has performed with her string quartet Ironwood in Mahone Bay (NS), at the Indian River Festival (PEI), and their own Classical Unbound Festival in Prince Edward County. The quartet has appeared at the WolfGANG Sessions and the Music for a Sunday Afternoon series in Ottawa, at Ritornello Festival (SK), and in Paris. Their programs combine classical warhorses (Beethoven, Ravel, Debussy) with very new music (works by Ana Sokolovic, Nicole Lizée, Bryce Dessner, Philip Glass, Esa‐Pekka Salonen) and occasionally veer off into their own arrangements of original songs and folk music.
During the ten years she spent living in New York City, Julia collaborated frequently with composers, giving voice to new works for solo cello. Most notably, she has been a champion of Pedro Malpica’s Pachamama’s Catharsis. Julia could often be heard on all three stages at Carnegie Hall. As a member of Ensemble Connect (previously ACJW), she performed numerous chamber music concerts at Weill and Zankel Halls, notably as the soloist in Tan Dun’s concerto Elegy: Snow in June. She also played frequently in Stern Auditorium as a member of the Orchestra of St. Luke’s and as principal cellist for Osvaldo Golijov’s Pasion selun San Marcos. From 2005 to 2014, she was a member of the Brooklyn‐based chamber orchestra The Knights, with whom she performed the Schumann Cello Concerto in 2012 in Central Park and for live broadcast by WQXR. The Grammy‐nominated ensemble collaborates regularly with artists such as Gil Shaham, Renée Fleming, and Yo‐Yo Ma and has recorded several albums for, among others, Sony Classical.
An entrepreneurial musician, Julia co-founded the New York group the Ikarus Chamber Players, an ensemble that married classical chamber music with other art forms in their own concert series in auction houses, art galleries, and other unique venues. With her colleagues in the Academy (Carnegie and Juilliard‐led fellowship connected to Ensemble ACJW/Connect), she formed the chamber music collective Decoda to develop community chamber music residencies around the world. With Decoda, Julia has performed at the Mecklenberg‐Vorpommern Festival in Germany, Abu Dhabi, Suntory Hall in Tokyo, and across the United States. She has also appeared at the Lanaudière, Bic, Mostly Mozart, Tanglewood, and Ravinia festivals.
Julia has performed with the Deutsche Kammerphilharmonie Bremen and Les Violons du Roy, and her chamber music collaborators include Itzhak Perlman, Jackie Parker, Pinchas Zukerman, members of the Orion String Quartet, Ani and Ida Kavafian, Inon Barnatan, and Cynthia Phelps.
Originally from Prince Edward Island, Julia studied with Antonio Lysy at McGill University (BMus), Timothy Eddy at the Mannes College of Music (Artist Diploma), and The Juilliard School (MMus).
Assistante violoncelle solo au sein de l’Orchestre du Centre national des Arts depuis 2014, Julia MacLaine se produit mondialement comme soliste, musicienne d’orchestre et de chambre pour des œuvres passant du classique au contemporain, et de la musique du monde à ses propres arrangements et compositions.
Elle s’est récemment produite avec son quatuor à cordes Ironwood à Mahone Bay (N.-É.), au Indian River Festival (Î-P-É), et à leur propre festival Classical Unbound dans le comté de Prince Edward. Le quatuor a participé aux Sessions WolfGANG et à la série Musique pour un dimanche après-midi à Ottawa, au festival Ritornello (SK), et à divers événements à Paris. Leurs programmes combinent chevaux de bataille classiques (Beethoven, Ravel, Debussy) et musique contemporaine (œuvres d’Ana Sokolovic, Nicole Lizée, Bryce Dessner, Philip Glass, Esa‐Pekka Salonen), tout en se permettant des détours du côté de leurs propres arrangements de compositions originales et de musique folk.
Pendant ses dix années passées à New York, Julia a régulièrement collaboré avec des compositeurs, ce qui a donné lieu à de nouvelles œuvres pour violoncelle solo. Elle s’est entre autres faite championne de Pachamama’s Catharsis de Pedro Malpica. Julia s’est souvent produite sur les trois scènes de Carnegie Hall. Comme membre d’Ensemble Connect (autrefois ACJW), elle a présenté de nombreux concerts de musique de chambre aux salles Weill et Zankel, notamment comme soliste dans le concerto Elegy: Snow In June de Tan Dun. Elle a aussi joué fréquemment à l’auditorium Stern comme membre de l’Orchestra of St. Luke’s, et comme violoncelle solo pour Pasion selun San Marcos d’Osvaldo Golijov. De 2005 à 2014, elle a été membre de l’orchestre de chambre The Knights de Brooklyn, avec qui elle a interprété le Concerto pour violoncelle de Schumann dans Central Park en 2012, diffusé en direct sur WQXR. L’ensemble finaliste aux Grammys collabore régulièrement avec des artistes comme Gil Shaham, Renée Fleming et Yo‐Yo Ma, et a enregistré plusieurs albums sur des étiquettes comme Sony Classical.
À la fois musicienne et entrepreneure, Julia a cofondé le groupe new-yorkais The Ikarus Chamber Players, un ensemble qui marie la musique de chambre classique à d’autres formes d’art au sein de leur propre série de concerts dans des maisons de vente aux enchères, des galeries d’art et d’autres lieux inusités. Avec ses collègues de l’Académie (un programme de stages offert par Carnegie et Juilliard et rattaché à Ensemble ACJW/Connect), elle a formé le collectif de musique de chambre Decoda pour développer des résidences communautaires de musique de chambre partout au monde. Avec Decoda, Julia a joué au festival Mecklenberg‐Vorpommern en Allemagne, à Abu Dhabi, au Suntory Hall à Tokyo, et partout aux États-Unis. Elle a également participé aux festivals Lanaudière, Bic, Mostly Mozart, Tanglewood et Ravinia.
Julia a accompagné le Deutsche Kammerphilharmonie Bremen et Les Violons du Roy, et elle compte parmi ses collaborateurs de musique de chambre Itzhak Perlman, Jackie Parker, Pinchas Zukerman, des membres de l’Orion String Quartet, Ani et Ida Kavafian, Inon Barnatan et Cynthia Phelps.
Originaire de l’Île-du-Prince-Édouard, Julia a étudié auprès d’Antonio Lysy à l’Université McGill (baccalauréat en musique), et auprès de Timothy Eddy au Collège de musique Mannes (diplôme d’artiste) et à l’école Juilliard (maîtrise en musique).
Kala Ramnath with her “singing violin” stands among the world’s finest, most inspirational instrumentalists. Her playing has been featured on the Grammy-nominated Miles from India project, compositions of hers have appeared on the Grammy-winning album In 27 Pieces, and her music is also found in the Kronos Quartet’s free learning repertoire 50 for the Future. The UK–based Songlines magazine hailed Kala Ramnath as one of the 50 world’s best instrumentalists and selected the album Kala as one of its 50 best recordings. She was the first Indian violinist ever to be featured in the violin “bible” The Strad, and was the subject of a solo essay in the third edition of The Rough Guide to World Music. Her contributions feature in many Hollywood soundtracks, including the Oscar-nominated Blood Diamond.
Kala is at the vanguard of the present generation of Indian instrumental super stars. Due to her rigorous training in the Hindustani classical tradition and familiarity with the Carnatic classical tradition, she comfortably forges musical alliances with artists of renown from different genres around the globe, incorporating elements of western classical, jazz, flamenco, and traditional African music into her rich and varied repertoire.
Acknowledged as a virtuoso of staggering proportions, Kala has performed at the most prestigious music festivals in India. She has appeared on world stages including the Sydney Opera House, Paris’s Théâtre de la Ville, London’s Queen Elizabeth Hall, San Francisco’s Palace of Fine Arts, Singapore’s Esplanade, and New York’s Carnegie Hall, as well as at the Rudolstadt Festival in Germany and the Edinburgh Music Festival in Scotland. She is the recipient of many awards including the Rashtriya Kumar Gandharva Sanman, Pandit Jasraj Gaurav Puraskar, the Sur Ratna, and most recently and notably of all, the Sangeet Natak Academy Puraskar for her contributions to the violin in Hindustani classical music.
Accompagnée de son « violon chantant », Kala Ramnath fait partie des plus grands et des plus inspirants instrumentistes au monde. On a pu l’entendre dans le projet Miles from India, finaliste aux Grammy, certaines de ses compositions figuraient sur l’album In 27 Pieces, qui a remporté un prix Grammy, et sa musique se retrouve dans le répertoire d’apprentissage gratuit du Kronos Quartet, 50 for the Future. Le magazine britannique Songlines a désigné Kala Ramnath parmi les 50 meilleurs instrumentistes au monde et a sélectionné l’album Kala dans son classement des 50 meilleurs albums. Elle est la première violoniste indienne de l’histoire à figurer dans la « bible » du violon, The Strad, et elle a inspiré un essai qui lui est entièrement consacré dans la troisième édition de The Rough Guide to World Music. On retrouve sa musique dans de nombreuses bandes sonores de films d’Hollywood, dont Blood Diamond, finaliste aux Oscars.
Kala Ramnath est à l’avant-garde de la génération actuelle de grandes vedettes instrumentistes indiennes. Grâce à sa formation rigoureuse en musique traditionnelle classique hindoustanie et à sa connaissance de la tradition carnatique, elle noue sans mal des alliances musicales avec des artistes de renom dans différents genres partout dans le monde, enrichissant son vaste répertoire d’éléments de la musique classique occidentale, du jazz, du flamenco et de la musique traditionnelle africaine.
Considérée comme une absolue virtuose, Kala Ramnath s’est produite dans les festivals de musique les plus prestigieux en Inde. Elle est montée sur scène partout dans le monde, entre autres à l’Opéra de Sydney, au Théâtre de la Ville de Paris, au Queen Elizabeth Hall de Londres, au Palais des beaux-arts de San Francisco, sur l’Esplanade de Singapour et au Carnegie Hall de New York, ainsi qu’au Festival de Rudolstadt en Allemagne et au Festival de musique d’Édimbourg, en Écosse. Elle a reçu une foule de prix dont le Rashtriya Kumar Gandharva Sanman, le Pandit Jasraj Gaurav Puraskar, le Sur Ratna, et plus récemment, le très prestigieux Sangeet Natak Academy Puraskar, pour ses contributions au violon dans la musique classique hindoustanie.
Hailing from Canada’s Capital region, Loop pedal violist, visual artist, composer, and educator Kathryn Patricia Cobbler has crafted a singular niche in music improvisation and classical performance. She obsesses over creating uniquely arresting soundscapes, whether in solo recitals, composing and performing for art installations, and more. Named a CBC Trailblazer in 2021 and a recipient of one of Ottawa Arts Council’s Emerging Artist awards, she has been featured in Canada’s most notable Concert Series, Chamberfest, Music and Beyond, NUMUS Concert series to name a few.
Named one of '3 Classical Musicians You Should Know ' in 2022, by SHIFTER Magazine and the NAC, Kathryn is a seasoned performer, speaker, presenter and workshop facilitator. As a performing artist and educator, Ms. Cobbler is a performance instructor at Carleton University and an artist on the MASC Artist roster. As a composer, Kathryn has been featured in the Boston based Concert series, Castle of Our Skin’s Black Composers Miniature Challenge, which resulted in the world premier of her piece A Home Called ‘Wander’ for solo viola and spoken word. Most recently, Kathryn Patricia was commissioned by the National Art Gallery of Canada to compose a piece of music for their exhibit, Uninvited: Canadian Women Artists in the Modern Moment.
Kathryn Patricia Cobbler holds degrees in viola performance from Western University (B.M.) the University of Ottawa (M.M.) and was a 2022 fellow of the Global Leaders Institute. She is currently a PhD student in Critical Studies in Improvisation through the University of Guelph. Kathryn Patricia performs on a viola by luthier Sibylle Ruppert and a Boss RC-30 loop pedal.
Originaire de la région de la capitale nationale, Kathryn Patricia Cobbler est une altiste spécialiste de la pédale de boucle, artiste visuelle, compositrice et pédagogue qui s’est taillé une place dans le monde de l’improvisation musicale et de l’interprétation classique. Elle crée méticuleusement des environnements sonores uniques des plus frappants aussi bien pour des récitals solos que pour la scène et les installations artistiques dans lesquelles elle se produit. Reconnue en 2021 par CBC comme une artiste pionnière, elle a reçu un prix pour les artistes émergents décerné par le Conseil des arts d’Ottawa. On a pu la voir dans diverses séries de concerts au Canada, notamment au Chamberfest, au festival Musique et autres mondes, ou encore au NUMUS.
Nommée en 2022 par le magazine SHIFTER et le CNA comme l’une des « trois musiciennes classiques à suivre », Kathryn Patricia Cobbler est une interprète, conférencière, oratrice et animatrice d’ateliers aguerrie. Elle fait également partie du corps professoral en interprétation à l’Université Carleton et des artistes de MASC. Ses compositions ont été présentées dans le cadre d’une série de concerts donnés à Boston sous l’égide de Castle of Our Skin, où sa pièce A Home Called ‘Wander’ pour alto solo et poésie orale a été jouée pour la première fois. Le Musée des beaux-arts du Canada lui a récemment commandé une œuvre musicale pour son exposition intitulée Sans invitation : les artistes canadiennes de la modernité.
Kathryn Patricia Cobbler a étudié l’alto à l’Université Western (B. Mus.) et à l’Université d’Ottawa (M. Mus.) et a été membre de la cohorte 2022 du Global Leaders Institute. Elle est doctorante en études critiques sur l’improvisation à l’Université de Guelph.
Elle se produit sur scène avec un alto de la luthière Sibylle Ruppert et une pédale de boucle Boss RC-30.
Katie Couchie is an Anishinaabekwe Oji-Cree dance artist from Nbisiing (Nipissing First Nation), now based in Tkaronto. Katie has worked with companies and choreographers including Kaha:wi Dance Theatre (Santee Smith), A’nó:wara Dance Theatre (Barbara Diabo), Human Body Expressions (Hanna Kiel), Alejandro Ronceria, Christine Friday, Peggy Baker, and Cameron Fraser-Monroe.
Katie is a Dora nominated artist for Outstanding Performance by an Ensemble for the productions of Homelands and SKéN:NEN created by Kaha:wi Dance Theatre and has performed at events including APTN’s Indigenous Day Live (2022), the FODAR Dance Festival (2023), Governor General’s Performance Awards (2023), and MOCA Live: Contemporary x Dance (2024).
Currently, Katie is working on her first solo piece where she spent the summer as the Artist in Residence at the University of Toronto and is grateful to be back working on Homelands again with the Kaha:wi Dance Theatre team.
Katie Couchie est une danseuse anishinaabekwe oji-crie de la Première Nation Nipissing qui vit à Tkaronto. Elle a travaillé avec de multiples compagnies et chorégraphes, notamment Kaha:wi Dance Theatre (Santee Smith), A’nó:wara Dance Theatre (Barbara Diabo), Human Body Expressions (Hanna Kiel), Alejandro Ronceria, Christine Friday, Peggy Baker et Cameron Fraser-Monroe.
Finaliste aux prix Dora dans la catégorie « meilleure troupe de danse » pour les productions Homelands et SKéN:NEN du Kaha:wi Dance Theatre, elle s’est produite lors de divers événements, notamment l’édition 2022 de la Journée des Autochtones diffusée sur la chaîne APTN, le festival de danse d’Annapolis Royal (2023), les Prix du Gouverneur général pour les arts du spectacle (2023) et MOCA Live: Contemporary x Dance (2024).
Actuellement en pleine création de son premier solo, elle a participé à une résidence artistique d’été à l’Université de Toronto. Elle se réjouit de retrouver l’équipe de Homelands du Kaha:wi Dance Theatre.
Laurie began her stage management career with English Theatre and Jean Roberts’s company at the National Arts Centre. Since then she has been honoured to work with NAC English Theatre, NAC Indigenous Theatre, the National Arts Centre Orchestra, and NAC Popular Music and Variety. Laurie has been Production Stage Manager for the Shaw Festival and Theatre Calgary, and Stage Manager for, amongst others, Arts Club Theatre Company, The Globe Theatre, Royal Manitoba Theatre Centre, Mirvish Productions, Stratford Festival, Great Canadian Theatre Company, Grand Theatre, Theatre New Brunswick, and Neptune Theatre.
Laurie a commencé sa carrière de régisseuse avec le Théâtre anglais et la compagnie de Jean Roberts au Centre national des Arts. Depuis, elle a eu l'honneur de travailler avec le Théâtre anglais du CNA, le Théâtre autochtone du CNA, l'Orchestre du Centre national des Arts et Musique populaire et variétés du CNA. Laurie a été régisseuse de production pour le Shaw Festival et le Theatre Calgary, et régisseur pour, entre autres, l'Arts Club Theatre Company, le Globe Theatre, le Royal Manitoba Theatre Centre, Mirvish Productions, le Festival de Stratford, la Great Canadian Theatre Company, le Grand Theatre, le Theatre New Brunswick et le Neptune Theatre.
Liz Winkelaar is Artistic Associate and dancer with the integrated dance company, Propeller Dance. She has studied Gyrokinesis with Siôned Watkins here in Ottawa and with Dana Gingras in Montreal. She is happy to share a movement practice that has enhanced both her dancing and her general well-being.
Liz Winkelaar est associée artistique et danseuse au sein de la compagnie de danse intégrée Propeller Dance. Elle a étudié la Gyrokinesis avec Siôned Watkins ici à Ottawa et avec Dana Gingras à Montréal. Elle est heureuse de partager une pratique de mouvement qui a amélioré ses habiletés de danse et son bien-être général.
Award-winning pianist and cultural ambassador Mahani Teave is a pioneering artist who bridges the creative world with education and environmental activism, and the only professional classical musician on her native Easter Island. Twice topping the Billboard charts with her debut album, Rapa Nui Odyssey, she received raves from critics, including in BBC Music Magazine, which noted her “natural pianism” and “magnificent artistry.”
Twice distinguished as one of the 100 Women Leaders of Chile, Mahani has performed for its past five presidents, embassies in over eight countries, and at Berlin’s Brandenburg Gate, Chile’s Palacio de La Moneda, and Chilean Congress. Believing in the profound, healing power of music, she has performed globally, from the stages of the world’s foremost concert halls on six continents, to hospitals, schools, jails, and low-income areas.
Setting aside her burgeoning career at the age of 30, Mahani returned home to found her island’s first music school, Toki Rapa Nui, a self-sustaining ecological wonder, which also teaches children about renewable natural resources and their quickly fading cultural heritage. Mahani’s inspirational story was captured in the Emmy-nominated documentary Song of Rapa Nui by 15-time Emmy Award–winning filmmaker John Forsen (Amazon Prime Video), and in a just-released children’s book, The Girl Who Heard the Music (Sourcebooks). Mahani’s awards include the APES Prize in Chile, Claudio Arrau International Piano Competition, Scotiabank’s Advancement of Women Award, “Chileans Creating Future” award, and honorary VP of the World Indigenous Business Forum.
Debuting at age nine, Mahani toured with famed Chilean pianist Roberto Bravo. She studied at Austral University in Chile, at the Cleveland Institute of Music as a student of Sergei Babayan, and at the Hanns Eisler Musik Hochschule in Berlin. A Steinway artist, she lives on Easter Island, combining concerts with leading the Toki Rapa Nui music school and motherhood.
Pianiste primée et ambassadrice culturelle, Mahani Teave est une artiste visionnaire qui tisse des liens entre le monde créatif, l’éducation et l’activisme environnemental. Elle est la seule musicienne classique professionnelle de l’île de Pâques, dont elle est originaire. Deux fois en tête des classements avec son premier album, Rapa Nui Odyssey, elle a été encensée par la critique, à l’image du BBC Music Magazine, qui louait son « talent naturel pour le piano » et son « superbe sens artistique ».
Mahani Teave a été par deux fois désignée parmi les 100 femmes leaders du Chili et s’est produite devant les cinq derniers présidents du pays, dans des ambassades dans plus de huit pays, à la Porte de Brandebourg de Berlin, au palais de La Moneda du Chili et au Congrès chilien. Convaincue du puissant pouvoir de guérison de la musique, elle a donné des concerts dans le monde entier, des plus grandes scènes des six continents à des hôpitaux, en passant par des écoles, des prisons et des quartiers défavorisés.
À l’âge de 30 ans, elle a mis sa carrière florissante entre parenthèses pour retourner chez elle et fonder la première école de musique de son île, Toki Rapa Nui, une formidable oasis écologique autosuffisante qui initie également les enfants aux ressources naturelles renouvelables et à leur patrimoine culturel menacé de disparition. Son parcours inspirant est raconté dans le documentaire finaliste aux prix Emmy Song of Rapa Nui (Amazon Prime Video), réalisé par John Forsen, lauréat de 15 prix Emmy, ainsi que dans un livre pour enfants, The Girl Who Heard the Music (Sourcebooks). La musicienne a reçu plusieurs récompenses dont le prix APES au Chili, le prix de la Banque Scotia pour l’avancement des femmes et le prix « Chileans Creating Future ». Elle a également remporté le concours international de piano Claudio Arrau et été désignée vice-présidente honoraire du World Indigenous Business Forum.
Dès l’âge de neuf ans, Mahani Teave a accompagné le célèbre pianiste chilien Roberto Bravo en tournée. Elle a étudié à l’Université australe du Chili, à l’Institut de musique de Cleveland sous la direction de Sergei Babayan, et à la Hanns Eisler Musik Hochschule de Berlin. Artiste Steinway, elle vit sur l’île de Pâques, menant de front concerts, gestion de son école de musique et maternité.
Malaika Vaz is a filmmaker, TV presenter, National Geographic Explorer and the CEO and co-founder of Untamed Planet. Since founding her New York and India-based production company Untamed Planet in 2017, she and her team have produced award-winning films and series for media platforms like National Geographic, the BBC, Sky, Al Jazeera and the United Nations Environment Programme, among others. Her recent broadcast work has included natural history series and films about endangered species, climate change, human migration, illegal wildlife trade and the human-wildlife interface. Malaika is passionate about translating films to tangible impact at the grassroots and policy levels and partners with global conservation organizations to scale the impact of her work.
Malaika Vaz est cinéaste, présentatrice de télévision, exploratrice au National Geographic et cofondatrice/PDG d'Untamed Planet. Depuis la création de la société de production Untamed Planet basée à New York et en Inde en 2017, elle et son équipe produisent des films et des séries primés pour des plateformes médiatiques telles que National Geographic, la BBC, Sky, Al Jazeera et le Programme des Nations Unies pour l'Environnement, entre autres. Ses récents travaux de diffusion comprennent des séries et des films d'histoire naturelle sur les espèces en voie de disparition, le changement climatique, la migration humaine, le commerce illégal d'espèces sauvages et l'interface homme-faune. Malaika est passionnée par la traduction des films en un impact tangible au niveau local et politique et s'associe à des organisations mondiales de conservation pour accroître l'impact de son travail.
A 2008 graduate of the National Theatre School of Canada, Mani Soleymanlou has lived in Tehran, Paris, Toronto, Ottawa and Montreal, and has worked with such acclaimed directors as Alice Ronfard (Les pieds des anges), Brigitte Haentjens (L’opéra de quat’sous), Claude Poissant (Rouge gueule, The Dragonfly of Chicoutimi), Serge Denoncourt (Projet Andromaque, Les trois mousquetaires), Olivier Kemeid (Furieux et désespérés), Denis Bernard (Ce moment-là) and Eric Jean (Variations sur un temps).
He is best known as the founding artistic director (2011) of the Montreal-based theatre company Orange Noyée. His distinctive artistic practice investigates notions of community identity (Un/One, Deux/Two, Trois/Three) and social relationships (Ils étaient quatre, Cinq à sept, 8). He pursued this approach more recently in Neuf [working title] and Zéro presented in fall 2019 in Montreal and Ottawa, and also in various artistic collaborations over the years: Lapin blanc, Lapin rouge, Les Lettres arabes II, and À te regarder, ils s’habitueront. Mani Soleymanlou was part of the impressive team behind Gabriel Dumont’s Wild West Show (premiered at the NAC in October 2017), as director and co-artistic director.
Mani Soleymanlou assumed the position of Artistic Director of NAC French Theatre on September 1, 2021.
Mani Soleymanlou est sorti de l’École nationale de théâtre du Canada en 2008. Celui qui a vécu à Téhéran, Paris, Toronto, Ottawa et Montréal joue alors au théâtre sous la direction de metteurs en scène comme Alice Ronfard (Les pieds des anges), Brigitte Haentjens (L’opéra de quat’sous), Claude Poissant (Rouge gueule, The Dragonfly of Chicoutimi), Serge Denoncourt (Projet Andromaque, Les trois mousquetaires), Olivier Kemeid (Furieux et désespérés), Denis Bernard (Ce moment-là) et Eric Jean (Variations sur un temps).
Mais c’est surtout à la tête d’Orange Noyée, compagnie qu’il fonde en 2011, qu’il expose sa démarche singulière, interrogeant l’identité communautaire (Un, Deux, Trois) aussi bien que les interactions sociales (Ils étaient quatre, Cinq à sept, 8). Une démarche qu’il a poursuivi plus récemment dans Neuf [titre provisoire] puis Zéro présenté l’automne dernier à Montréal et Ottawa, mais également à travers différentes collaborations artistiques au fil du temps : Lapin blanc, Lapin rouge, Les Lettres arabes II et À te regarder, ils s’habitueront. Mani Soleymanlou a fait partie de l’imposante équipe du Wild West Show de Gabriel Dumont, créé au CNA en octobre 2017, à titre de metteur en scène et codirecteur artistique.
Mani Soleymanlou assume la direction artistique du Théâtre français du CNA depuis le 1er septembre 2021.
A versatile theatre artist, Marie-Ève Fontaine works across Canada as an actor, puppeteer, and animator. Her theatre credits include roles in Les Zaventures de Zozotte for Théâtre de Dehors, Les fourberies de Scapin for Fâcheux Théâtre, and Le dire de Di by Michel Ouellette for Théâtre Catapulte and Théâtre français de Toronto. Marie-Ève also shares her passion for stories through puppetry and storytelling workshops. In addition to her work as an artist, Marie-Ève is involved in various cultural activities, notably as an advisor to the young ambassadors of the BIG BANG Festival at the National Arts Centre in Ottawa.
Artiste de théâtre polyvalente, Marie-Ève Fontaine travaille partout au Canada tant comme comédienne, marionnettiste, qu’animatrice. Au théâtre, elle a joué dans bien des spectacles, dont Les Zaventures de Zozotte du Théâtre de Dehors, Les fourberies de Scapin du Fâcheux Théâtre et Le dire de Di de Michel Ouellette pour le Théâtre Catapulte et le Théâtre français de Toronto. C’est aussi par l’animation d’ateliers de marionnette et de conte que Marie-Ève transmet sa passion pour les histoires. Mis à part son travail d’artiste, Marie-Ève s’implique dans toutes sortes d’activités culturelles, notamment en tant qu’accompagnatrice des jeunes ambassadeurs du Festival Big Bang au Centre national des arts à Ottawa.
A critically acclaimed mezzo-soprano of Kwagiulth and Stó:lō First Nations, English, Irish and Scottish heritage, Marion Newman is sought-after as one of Canada’s most accomplished singers in works ranging from Vivaldi to Vivier, and operatic roles including Carmen and Rosina in The Barber of Seville. Nominated for a Dora Award for her leading role in the world premiere of Shanawdithit (Nolan/Burry) with Toronto’s Tapestry Opera, Ian Ritchie wrote “she invests her character with towering dignity and courage”.
Marion is a guest curator at University of British Columbia’s Chan Centre for the Performing Arts for a new series of concerts featuring the work of Indigenous artists, and the new host of CBC’s Saturday Afternoon at the Opera.
Marion portrayed Dr. Wilson in the premiere of Missing (Clements/Current) with Vancouver City Opera/Pacific Opera Victoria, which gives voice, in English and Gitxsan, to the story of Canada’s missing and murdered Indigenous women, and starred as Tsianina Redfeather in Jani Lauzon’s music-drama I Call Myself Princess at Regina’s Globe Theatre.
On the North American concert stage, Marion has performed with Symphony Nova Scotia, National Arts Centre Orchestra, Emily Carr String Quartet, Continuum Contemporary Music, Elora Festival Singers, Elmer Iseler Singers, Portland Baroque Orchestra, and Montreal’s Chœur St- Laurent.
Concert highlights for Marion this season include Mozart’s Requiem, a co-production with Canadian Opera Company and Against the Grain Theatre, the livestream/workshop presentation of The Echoes Project with Gryphon Trio, and the string quartet version of Five Orchestral Songs on Poems of Marilyn Dumont (Cusson) with the New Orford String Quartet for Cecilia Concerts in Halifax.
In 2022, Marion debuts with Anchorage Opera as Dr. Wilson in a new production of Missing, and creates the role of Dawn with Welsh National Opera in the upcoming world premiere of Migrations, with stories by five writers based on their personal experiences of migrations and working with refugees.
Most recently, Marion curated and performed in What is classical Indigenous Music? with Toronto’s Confluence Concerts and debuted with Rhode Island Symphony in Handel’s Messiah.
In addition to her extensive performing career, she is a co-founder of Amplified Opera and has worked in many facets of the performing arts as a curator, arts administrator, speaker, and teacher. Marion is the dramaturge for Namwayut/We Are All One, a new opera in creation with IBPOC artists and Calgary Opera.
Marion has performed in many works that speak to her First Nations identity, including Ancestral Voices (Tovey) with the Vancouver Symphony, Nuyamł-ił Kulhulmx–Singing the Earth (Höstman) with the Victoria Symphony, and Five Orchestral Songs on Poems of Marilyn Dumont (Cusson) with the Regina Symphony Orchestra.
Mezzo-soprano très demandée et encensée par la critique, membre des Premières Nations Kwagiulth et Stó:lō à l’ascendance anglaise, irlandaise et écossaise, Marion Newman est reconnue comme l’une des chanteuses les plus accomplies du Canada pour ses interprétations d’œuvres allant de Vivaldi à Vivier, de même que pour ses rôles opératiques comme Carmen ou Rosine (Le barbier de Séville). Sélectionnée aux prix Dora pour son premier rôle dans Shanawdithit (Nolan et Burry) avec le Tapestry Opera de Toronto – en première mondiale –, elle « incarne son personnage avec une dignité et un courage imposants », selon Ian Ritchie.
Nouvelle animatrice de l’émission Saturday Afternoon at the Opera de CBC, Marion est aussi éditrice invitée au Chan Centre for the Performing Arts de l’Université de la Colombie-Britannique pour une nouvelle série de concerts présentant des œuvres d’artistes autochtones.
Marion a joué le rôle de Dre Wilson dans la première à l’Opéra de la ville de Vancouver et au Pacific Opera Victoria de Missing (Clements et Current), qui raconte en anglais et en gitxsan l’histoire des femmes autochtones disparues et assassinées du Canada, de même que le rôle de Tsianina Redfeather dans le drame musical de Jani Lauzon, I Call Myself Princess, au Globe Theatre de Regina.
Sur la scène nord-américaine, Marion s’est produite avec le Symphony Nova Scotia, l’Orchestre du Centre national des Arts, le quatuor à cordes Emily Carr, la société de musique nouvelle Continuum, le chœur du Elora Festival, le chœur Elmer Iseler, l’Orchestre baroque de Portland et le Chœur St-Laurent de Montréal.
Temps forts de sa saison : le Requiem de Mozart, une coproduction de la Compagnie d’opéra canadienne et de Against the Grain Theatre; l’atelier en direct du projet « Echoes », avec le Gryphon Trio; et la version pour quatuor à cordes de Five Orchestral Songs on Poems of Marilyn Dumont (Cusson), avec le New Orford String Quartet Concert, pour les Cecilia Concerts de Halifax.
En 2022, Marion fera sa première à l’Opéra d’Anchorage pour le rôle de Dre Wilson, dans une nouvelle production de Missing. Elle créera également le rôle de Dawn avec l’Opéra national du pays de Galles pour la première à venir de Migrations, une série d’histoires écrites par cinq personnes à partir de leur propre expérience de la migration ou du travail auprès des réfugiés.
Plus récemment, Marion a présenté What is Classical Indigenous Music?, dans lequel elle s’est également produite avec les Confluence Concerts de Toronto. Elle a aussi travaillé pour la première fois avec l’Orchestre symphonique de Rhode Island pour le Messie de Haendel.
En parallèle de sa carrière bien remplie d’interprète, Marion a cofondé l’Opéra Amplified et a travaillé dans de nombreux domaines des arts du spectacle comme éditrice, administratrice des arts, conférencière et enseignante. Elle est aussi conseillère dramaturgique pour Namwayut/Nous ne faisons qu’un, un nouvel opéra en création avec des artistes autochtones, noirs et de couleur et l’Opéra de Calgary.
Marion a interprété beaucoup d’œuvres qui font écho à son identité autochtone, comme Ancestral Voices (Tovey) avec l’Orchestre symphonique de Vancouver, Nuyamł-ił Kulhulmx (« Chanter la Terre », de Höstman) avec l’Orchestre symphonique de Victoria et Five Orchestral Songs on Poems of Marilyn Dumont avec l’Orchestre symphonique de Regina.
Max Cardilli joined the National Arts Centre Orchestra as Assistant Principal Double Bass in 2022. Formerly a member of the Edmonton Symphony Orchestra (2017–2022), he has performed and recorded with numerous orchestral ensembles and chamber groups and even as a soloist with the ESO in 2020. In 2017, he participated in the NAC Orchestra’s Institute for Orchestral Studies program, where he played with the orchestra and studied under Joel Quarrington. In 2015, he earned his bachelor’s degree in double bass performance from McGill University, having studied with the former associate principal double bass for the Montreal Symphony Orchestra, Brian Robinson. Originally from Montreal’s West Island, Max was introduced to the double bass at Lindsay Place High School and went on to participate in local youth orchestras, eventually spending summers training with the National Youth Orchestra of Canada and the National Academy Orchestra. When not in rehearsal or concert with the NAC Orchestra, you might find Max outside skiing or cycling in beautiful Gatineau Park.
Max Cardilli est assistant contrebasse solo de l’Orchestre du Centre national des Arts depuis 2022. Ancien membre de l’Orchestre symphonique d’Edmonton (2017-2022), il s’est produit avec de nombreuses formations orchestrales et de chambre, notamment comme soliste avec l’Orchestre en 2020. En 2017, il intègre l’Institut de musique orchestrale de l’OCNA, un programme de formation qui lui permet de jouer avec l’Orchestre et d’étudier auprès de Joel Quarrington. En 2015, il obtient un baccalauréat en interprétation (contrebasse) de l’Université McGill, où il a été l’élève de Brian Robinson, ancien assistant contrebasse solo de l’Orchestre symphonique de Montréal. Originaire de l’ouest de l’île de Montréal, Max commence à jouer de la contrebasse à l’école secondaire Lindsay Place et à se produire avec des orchestres locaux de jeunes. L’été, il suit des formations avec l’Orchestre national des jeunes du Canada et l’Orchestre de l’Académie nationale du Canada. Quand il n’est pas en répétition ou sur scène, Max profite de son temps libre pour skier ou faire du vélo dans le magnifique parc de la Gatineau.
Since its debut in 1969, the National Arts Centre (NAC) Orchestra has been praised for the passion and clarity of its performances, its visionary educational programs, and its prominent role in nurturing Canadian creativity. Under the leadership of Music Director Alexander Shelley, the NAC Orchestra reflects the fabric and values of Canada, reaching and representing the diverse communities we live in with daring programming, powerful storytelling, inspiring artistry, and innovative partnerships.
Alexander Shelley began his tenure as Music Director in 2015, following Pinchas Zukerman’s 16 seasons at the helm. Principal Associate Conductor of the Royal Philharmonic Orchestra, and former Chief Conductor of the Nuremberg Symphony Orchestra (2009–2017), he has been in demand around the world, conducting the Rotterdam Philharmonic, DSO Berlin, Leipzig Gewandhaus, and Stockholm Philharmonic, among others, and maintains a regular relationship with the Deutsche Kammerphilharmonie and the German National Youth Orchestra.
Each season, the NAC Orchestra features world-class artists such as the newly appointed Artist-in-Residence James Ehnes, Angela Hewitt, Joshua Bell, Xian Zhang, Gabriela Montero, Stewart Goodyear, Jan Lisiecki, and Principal Guest Conductor John Storgårds. As one of the most accessible, inclusive, and collaborative orchestras in the world, the NAC Orchestra uses music as a universal language to communicate the deepest of human emotions and connect people through shared experiences.
Depuis sa création en 1969, l’Orchestre du Centre national des Arts (CNA) reçoit des éloges pour la passion et la clarté de ses interprétations, pour ses programmes éducatifs novateurs et pour son apport à l’expression de la créativité canadienne. Sous la conduite inspirée du directeur musical Alexander Shelley, l’Orchestre du Centre national des Arts est le reflet de la diversité des paysages, des valeurs et des communautés du Canada, et est reconnu pour sa programmation audacieuse, ses contenus nrratifs marquants, son excellence artistique et ses partenariats innovants.
Alexander Shelley a amorcé son mandat à la direction musicale de l’Orchestre du CNA en 2015, succédant à Pinchas Zukerman, qui a été aux commandes de l’ensemble pendant 16 saisons. Premier chef associé du Royal Philharmonic Orchestra, Shelley a été le premier chef de l’Orchestre symphonique de Nuremberg de 2009 à 2017. Demandé partout dans le monde, il a dirigé entre autres la Philharmonie de Rotterdam, DSO Berlin, le Leipzig Gewandhaus et la Philharmonie de Stockholm, et il maintient des liens avec la Deutsche Kammerphilharmonie et l’Orchestre national des jeunes d’Allemagne.
Chaque saison, l’Orchestre du CNA met en vedette des artistes de réputation internationale, tels que notre artiste en résidence James Ehnes, Angela Hewitt, Joshua Bell, Xian Zhang, Gabriela Montero, Stewart Goodyear, Jan Lisiecki et le premier chef invité John Storgårds. L’ensemble se distingue à l’échelle du monde pour son approche accessible, inclusive et collaborative. Par le langage universel de la musique et des expériences musicales communes, il communique des émotions profondes et nous rapproche les uns des autres.
Since its debut in 1969, the National Arts Centre (NAC) Orchestra has been praised for the passion and clarity of its performances, its visionary educational programs, and its prominent role in nurturing Canadian creativity. Under the leadership of Music Director Alexander Shelley, the NAC Orchestra reflects the fabric and values of Canada, reaching and representing the diverse communities we live in with daring programming, powerful storytelling, inspiring artistry, and innovative partnerships.
Alexander Shelley began his tenure as Music Director in 2015, following Pinchas Zukerman’s 16 seasons at the helm. Principal Associate Conductor of the Royal Philharmonic Orchestra, and former Chief Conductor of the Nuremberg Symphony Orchestra (2009–2017), he has been in demand around the world, conducting the Rotterdam Philharmonic, DSO Berlin, Leipzig Gewandhaus, and Stockholm Philharmonic, among others, and maintains a regular relationship with the Deutsche Kammerphilharmonie and the German National Youth Orchestra.
Each season, the NAC Orchestra features world-class artists such as the newly appointed Artist-in-Residence James Ehnes, Angela Hewitt, Joshua Bell, Xian Zhang, Gabriela Montero, Stewart Goodyear, Jan Lisiecki, and Principal Guest Conductor John Storgårds. As one of the most accessible, inclusive, and collaborative orchestras in the world, the NAC Orchestra uses music as a universal language to communicate the deepest of human emotions and connect people through shared experiences.
Depuis sa création en 1969, l’Orchestre du Centre national des Arts (CNA) reçoit des éloges pour la passion et la clarté de ses interprétations, pour ses programmes éducatifs novateurs et pour son apport à l’expression de la créativité canadienne. Sous la conduite inspirée du directeur musical Alexander Shelley, l’Orchestre du Centre national des Arts est le reflet de la diversité des paysages, des valeurs et des communautés du Canada, et est reconnu pour sa programmation audacieuse, ses contenus narratifs marquants, son excellence artistique et ses partenariats innovants.
Alexander Shelley a amorcé son mandat à la direction musicale de l’Orchestre du CNA en 2015, succédant à Pinchas Zukerman, qui a été aux commandes de l’ensemble pendant 16 saisons. Premier chef associé du Royal Philharmonic Orchestra, Shelley a été le premier chef de l’Orchestre symphonique de Nuremberg de 2009 à 2017. Demandé partout dans le monde, il a dirigé entre autres la Philharmonie de Rotterdam, DSO Berlin, le Leipzig Gewandhaus et la Philharmonie de Stockholm, et il maintient des liens avec la Deutsche Kammerphilharmonie et l’Orchestre national des jeunes d’Allemagne.
Chaque saison, l’Orchestre du CNA met en vedette des artistes de réputation internationale, tels que notre artiste en résidence James Ehnes, Angela Hewitt, Joshua Bell, Xian Zhang, Gabriela Montero, Stewart Goodyear, Jan Lisiecki et le premier chef invité John Storgårds. L’ensemble se distingue à l’échelle du monde pour son approche accessible, inclusive et collaborative. Par le langage universel de la musique et des expériences musicales communes, il communique des émotions profondes et nous rapproche les uns des autres.
Nina Lee Aquino is a renowned Filipino Canadian director, dramaturg, artistic leader, teacher, and mentor. She previously served as Artistic Director at Cahoots Theatre (2009–2012) and Factory Theatre (2012–2022). Currently, Nina is the Artistic Director of the National Arts Centre English Theatre. She edited the country’s first two-volume Asian Canadian play anthology and co-edited the award-winning inaugural book on Asian Canadian theatre. In addition, she holds an adjunct professorship at York University's Theatre Department and serves on the board of directors for the Professional Association of Canadian Theatres. Her numerous accolades include the Canada Council for the Arts’ John Hirsch Prize for Directing, the Toronto Theatre Critics Award for Best Director, the Toronto Arts Foundation’s Margo Bindhart and Rita Davies Cultural Leadership Award, and three Dora Mavor Moore Awards for Outstanding Direction.
Nina Lee Aquino est une metteuse en scène, conseillère dramaturgique, directrice artistique, pédagogue et mentore d’origine philippino-canadienne. Directrice artistique du Cahoots Theatre de 2009 à 2012 et du Factory Theatre de 2012 à 2022, elle occupe actuellement le poste de directrice artistique du Théâtre anglais du Centre national des Arts. Elle a dirigé la publication des deux tomes de la toute première anthologie de pièces canado-asiatiques et a codirigé celle d’un premier ouvrage primé sur le théâtre canado-asiatique. Elle occupe également un poste de professeure associée au Département de théâtre de l’Université York et siège au conseil d’administration de l’Association professionnelle des théâtres canadiens. Parmi les nombreuses récompenses qui lui ont été décernées, mentionnons le prix John-Hirsch de mise en scène du Conseil des arts du Canada, un Toronto Theatre Critics Award pour la meilleure mise en scène, le prix de leadership culturel Margo Binhardt et Rita Davies de la Toronto Arts Foundation ainsi que trois prix Dora Mavor Moore pour la meilleure mise en scène.
A dedicated champion of contemporary music, Montreal-born violinist Noémi Racine Gaudreault is renowned for the virtuosity and sensitivity of her playing. She has performed as a soloist in orchestras across Canada, the United States, France, and Turkey. In addition to her career as a soloist, Noémi is a much sought-after chamber musician, playing regularly in contemporary and chamber music festivals. She has been the Principal Second Violin of the Orchestre Métropolitain and solo violin of the SMCQ, the ECM, and the Quartango Ensemble. She holds a First Prize with Great Distinction from the Montreal Music Conservatory and an Artist Diploma from McGill University. Noémi currently lives in the National Capital Region. She is Assistant Concertmaster of the National Arts Centre Orchestra.
Grande défenseure de la musique contemporaine, la violoniste montréalaise Noémi Racine Gaudreault est reconnue pour la virtuosité et la sensibilité de son jeu. Elle s’est produite comme soliste avec plusieurs orchestres à travers le Canada, aux États-Unis, en France et en Turquie. En plus de sa carrière de soliste, Noémi est régulièrement invitée par des festivals de musique de chambre et de musique contemporaine. Elle a été second violon solo de l’Orchestre Métropolitain et violon solo de la SMCQ, de l’ECM et de l’Ensemble Quartango. Elle détient un Premier Prix avec Grande Distinction du Conservatoire de musique de Montréal et un Diplôme d’Artiste de l’Université McGill. Noémi vit actuellement dans la région de la Capitale Nationale. Elle est assistante violon-solo de l’Orchestre du Centre National des Arts.
OrKidstra is an Ottawa-based social development program, which gives children from underserved areas the opportunity to learn life skills—such as teamwork, commitment and responsibility—through the joys and challenges of singing and playing music together.
OrKidstra’s mission is to empower kids and build community through music. OrKidstra accomplishes this mission by providing children from underprivileged communities with free instruments and lessons, giving them the chance to reach for success through music.
The program began in 2007 with 27 children and the passionate belief in the transformative power of music. It has since grown to include over 700 children, ages 5 to18, from 42 cultural and linguistic backgrounds, and has become a world-class example of why music is called the universal language.
In high-demand for their energy and musicianship, OrKidstra has performed on the Juno Awards broadcast, on Parliament Hill as part of the Canada Day 150 Celebrations, and many more. The charity is grateful to have the support of two OrKidstra Ambassadors: acclaimed pianist Angela Hewitt, C.C., O.B.E, and Alexander Shelley, Music Director, NAC Orchestra.
OrKidstra est un programme de développement social destiné aux enfants des quartiers défavorisés d’Ottawa visant à leur permettre d’acquérir des compétences telles le travail d’équipe et le sens des responsabilités tout en chantant et en faisant de la musique ensemble.
L’organisme a pour mission de favoriser l’autonomie des enfants et de renforcer les communautés par le langage universel qu’est la musique; il fournit des instruments et offre des leçons de musique gratuites à des enfants de milieux défavorisés, leur donnant ainsi une occasion de se dépasser en musique.
Créé en 2007 avec un puissant désir de transformer la vie des enfants grâce à la musique, le programme avait alors rassemblé 27 participants. En une dizaine d’années, il a maintenant touché la vie de plus de 700 enfants de 5 à 18 ans issus de 42 communautés culturelles et linguistiques différentes et est même devenu une référence en éducation musicale.
Les concerts d’OrKidstra sont fort prisés, surtout en raison de l’énergie communicative et du talent de ses membres; ceux-ci ont offert des prestations, entre autres, à la cérémonie des prix Juno en 2017, sur la Colline du Parlement à l’occasion des célébrations du 150ᵉ anniversaire du Canada et aux cérémonies d’ouverture du Centre mondial du pluralisme. OrKidstra est fière d’avoir le soutien de deux ambassadeurs de marque : la réputée pianiste Angela Hewitt, C.C., O.B.E., et le directeur musical de l’Orchestre du CNA, Alexander Shelley.
Rachel Gray is a Canadian interdisciplinary artist based in Algonquin Territory/Ottawa. Navigating the world with Dyslexia has led her to explore art as a way to create customized language. Through drawing, performance, installation, and storytelling she tries to speak into the places language leaves blank. Her work has been exhibited nationally and internationally. Rachel is also an author, animator, and illustrator, with her graphic novel "Jess" adapted into a musical work commissioned by Pacific Opera Victoria. She is the librettist and co-creator of Raccoon Opera, premiering at Salle Bourgie in Montreal in spring of 2024.
Rachel is also the producer of SPEAK Podcast which shares the voices and stories of artists with developmental disabilities through audio art, music and a model of production that centres co-leadership and accessibility. Rachel is a founding member of Ghost Rooster, a disability arts collective at the intersection of dance, visual art and audio storytelling.
Rachel Gray est une artiste interdisciplinaire canadienne qui vit sur le territoire algonquin, à Ottawa. Observant le monde à travers le prisme de la dyslexie, elle utilise l’art pour créer un langage qui lui est propre. Par le dessin, la performance, l’installation et le récit, elle essaie de s’exprimer dans les espaces que le langage laisse vides. Ses œuvres ont été présentées dans le monde entier. Elle est également auteure, animatrice et illustratrice; son roman graphique Jess a été adapté en œuvre musicale (commande du Pacific Opera Victoria). Elle est la librettiste et la co-créatrice de Raccoon Opera, qui a été présenté à la Salle Bourgie à Montréal en mai 2024.
Rachel Gray est aussi la productrice du balado SPEAK qui cultive le co-leadership et l’accessibilité. Elle y fait entendre les voix et les histoires d’artistes souffrant de troubles du développement en misant sur l’art audio et la musique. Elle est membre fondatrice de Ghost Rooster, un collectif d’artistes en situation de handicap à la croisée de la danse, de l’art visuel et du récit audio.
Described as a “pure chamber musician” (The Globe and Mail) creating “moments of pure magic” (Toronto Star), Canadian cellist Rachel Mercer has appeared as a soloist and chamber musician across five continents.
Grand prize winner of the 2001 Vriendenkrans Competition in Amsterdam, Rachel is Principal Cello of the National Arts Centre Orchestra in Ottawa and Artistic Director of the 5 at the First Chamber Music Series in Hamilton. Rachel regularly collaborates with her longtime duo partner, pianist Angela Park, and was cellist of the Juno Award–winning piano quartet Ensemble Made In Canada (2008–2020), the AYR Trio (2010–2020), and the Aviv Quartet (2002–2010). Rachel has given masterclasses across North America, South Africa, and Israel and has given talks on performance, careers, and the music business. An advocate for new Canadian music, Rachel has commissioned and premiered over 25 solo and chamber works, including cello concertos by Stewart Goodyear and Kevin Lau.
Rachel can be heard on the Naxos, Naxos Canadian Classics, Centrediscs, Analekta, Atma, Dalia Classics, and EnT-T record labels, and released a critically acclaimed album of the J.S. Bach Suites on Pipistrelle in March 2014, recorded on the 1696 Bonjour Stradivarius Cello from the Canada Council for the Arts Musical Instrument Bank. Rachel plays a 17th-century cello from Northern Italy.
Qualifiée de « chambriste dans l’âme » (The Globe and Mail), qui sait créer des « moments de pure magie » (Toronto Star), la violoncelliste canadienne Rachel Mercer s’est produite comme soliste et chambriste sur cinq continents.
Lauréate du Grand Prix Vriendenkrans d’Amsterdam (2001), elle est violoncelle solo de l’Orchestre du Centre national des Arts et directrice artistique de la série de concerts de musique de chambre 5 at the First à Hamilton. Rachel Mercer se produit régulièrement en duo avec sa partenaire de longue date, Angela Park, et a été membre du quatuor pour piano Ensemble Made in Canada (2008-2020), lauréat d’un prix Juno, du trio AYR, (2010-2020) et du quatuor Aviv (2002-2010). Elle a donné des classes de maître en Amérique du Nord, en Afrique du Sud et en Israël, et des conférences sur l’interprétation, la carrière et l’industrie de la musique. Passionnée de musique canadienne contemporaine, elle a commandé et joué plus de 25 œuvres pour violoncelle solo et ensembles de chambre, y compris des concertos pour violoncelle solo de Stewart Goodyear et Kevin Lau.
Rachel a collaboré à des enregistrements sous les étiquettes Naxos, Naxos Canadian Classics, Centredisques, Analekta, ATMA, Dalia Classics et EnT-T. Encensé par la critique, son album de suites pour violoncelle seul de J.-S. Bach a été enregistré avec le violoncelle Stradivarius Bonjour (v. 1696) provenant de la Banque d’instruments de musique du Conseil des arts du Canada. Rachel joue sur un violoncelle fabriqué au 17ᵉ siècle en Italie du Nord.
One of the most beloved and celebrated singers of our time, soprano Renée Fleming captivates audiences with her sumptuous voice, consummate artistry, and compelling stage presence. At a White House ceremony in 2013, President Barack Obama awarded her the National Medal of Arts, America’s highest honour for an individual artist. In May 2023, Renée was named a Goodwill Ambassador for Arts and Health for the World Health Organization, and in June, it was announced that she would be awarded the prestigious Kennedy Center Honor.
Winner of the 2023 Grammy Award (her fifth) for Best Classical Vocal Solo and honoured with the World Economic Forum’s 2023 Crystal Award at Davos, Renée is the only classical artist ever to sing The Star-Spangled Banner at the Super Bowl (2014). As a musical statesman, Renée has sung at numerous prestigious occasions, from the 2006 Nobel Peace Prize ceremony to performances in Beijing during the 2008 Olympic Games. In 2014, she sang in the televised concert at the Brandenburg Gate to commemorate the 25th anniversary of the fall of the Berlin Wall. In 2012, in a historic first, she sang on the balcony of Buckingham Palace in the Diamond Jubilee Concert for HM Queen Elizabeth II.
A ground-breaking distinction came in 2008 when Renée became the first woman in the 125-year history of the Metropolitan Opera to solo headline an opening night gala. In January 2009, Renée was featured in the televised We Are One: The Inaugural Celebration at the Lincoln Memorial for President Obama. She has also performed for the United States Supreme Court and, in 2009, celebrated the 20th anniversary of the Czech Republic’s “Velvet Revolution” at the invitation of Václav Havel.
Renée Fleming est l’une des chanteuses les plus appréciées et célébrées de notre époque. La soprano captive les auditoires avec sa voix somptueuse, son talent artistique et sa présence scénique irrésistible. En 2013, elle reçoit la distinction artistique la plus prestigieuse aux États-Unis, la médaille nationale des arts, des mains du président Barack Obama lors d’une cérémonie à la Maison-Blanche. Dix ans plus tard, elle est nommée ambassadrice de bonne volonté de l’Organisation mondiale de la Santé pour les arts et la santé et décroche le prestigieux Kennedy Center Honor.
En 2023, Renée Fleming remporte le prix Grammy de la meilleure performance vocale solo, son cinquième au compteur, puis le prix Crystal au Forum économique mondial à Davos. Elle est la seule artiste classique à avoir interprété l’hymne national des États-Unis, The Star-Spangled Banner, au Super Bowl (2014). Habituée des grandes occasions, la soprano s’est produite notamment à la cérémonie de remise du Prix Nobel en 2006 et aux Jeux olympiques de Beijing en 2008. En 2014, elle participe au concert télévisé à la porte de Brandebourg célébrant les 25 ans de la chute du mur de Berlin. En 2012, elle marque l’histoire en se produisant au balcon du palais de Buckingham lors du concert du Jubilé de diamant en l’honneur de Sa Majesté la reine Elizabeth II.
En 2008, Renée Fleming devient la première femme à être la tête d’affiche solo du concert de gala inaugural de la 125e saison du Metropolitan Opera. En janvier 2009, on a pu la voir à la télévision lors du concert d’investiture du président Obama, We Are One: The Inaugural Celebration, au Lincoln Memorial. Cette même année, elle s’est produite à la Cour suprême des États-Unis et au concert célébrant le 20e anniversaire de la révolution de velours de la République tchèque à l’invitation de Václav Havel.
Santee Smith / Tekaronhiáhkhwa is a multidisciplinary artist from the Kahnyen’kehàka Nation, Turtle Clan, Ohswé:ken/Six Nations of the Grand River. Transformation, energetic exchange and fostering mind-heart connections through performance and design is her lifelong work. Santee trained at Canada’s National Ballet School; holds Physical Education and Psychology degrees from McMaster University and a M.A. in Dance from York University.
Premiering her first production Kaha:wi – a family creation story in 2004, one year later she founded Kaha:wi Dance Theatre which has grown into an internationally renowned company. Santee’s work speaks about identity, teachings and way of life within Onkwehonwe:neha, creativity and Indigenous artistic process. She is a sought-after teacher and speaker on the performing arts, Indigenous performance, and culture.
Smith is faculty at the Banff Centre for Arts & Creativity’s World Indigenous Dance Residency 2024 and curator and visionary of Inviting the Land to Shape Us series of land-based workshops and creation labs focused on Indigenous performance research.
Recently, she premiered Dora Award nominated multimedia production SKéN:NEN at TOLive 2024 and toured award-winning The Mush Hole embodying the truths of Canada’s oldest and standing Indian Residential School, The Mohawk Institute.
Santee Smith / Tekaronhiáhkhwa est une artiste multidisciplinaire kahnyen’kehàka du clan de la Tortue des Six Nations de la rivière Grand (Ohswé:ken, Ontario). Depuis le début de sa carrière, elle s’intéresse à la transformation, à l’échange d’énergie et aux liens entre le cœur et l’esprit. Formée à l’École nationale de ballet du Canada, elle est titulaire de diplômes en éducation physique et en psychologie de l’Université McMaster ainsi que d’une maîtrise en danse de l’Université York.
Elle présente sa première œuvre, Kaha:wi, un récit de création familial, en 2004. Un an plus tard, elle fonde la troupe Kaha:wi Dance Theatre, dont la renommée est devenue internationale. Son travail porte sur l’identité, les enseignements et le mode de vie de l’Onkwehonwe’néha, la créativité et les pratiques artistiques autochtones. Elle est en outre une enseignante et une conférencière recherchée dans le domaine des arts du spectacle, de la culture et des arts de la scène autochtones.
Elle fait partie de l’équipe d’encadrement du programme d’artiste en résidence (danse autochtone) du Centre des arts de Banff. Elle est également la programmatrice et la visionnaire de la série d’ateliers « Inviter la terre à nous façonner » et des laboratoires de création sur la recherche dans le domaine des arts du spectacle autochtones.
Récemment, elle a présenté pour la première fois à TO Live SKéN:NEN, une production multimédia finaliste aux prix Dora, et accompagné en tournée l’équipe de la pièce primée The Mush Hole relatant les expériences des pensionnaires de l’Institut Mohawk – le plus ancien pensionnat autochtone au Canada.
Sarah Prosper (she/they/nekm) is from Eskasoni Mi’kmaq First Nations. Prosper's practice encompasses a lens that deepens the threads of respect and reciprocity to dance, movement, social sciences, social justice, mental health & the land. Sarah began dancing at age 2 at Cape Breton School of the Arts (Gallop’s) and NADACA dance programs. Her first works created as an artistic director and choreographer is the Merritt Award winning show SAMQWAN 2021-2023 at the Highland Arts, Neptune Theatre, Stratford Festival Film and 2023 Canada Games.
Prosper’s collaborations and creations have taken her on an international tour and her passions remain in creating community work and extending the opportunities of wellness. An award winner of the 2022 Nova Scotia Indigenous Artist Recognition Award and Recognized by the Province House in 2023. Performing and creating on national stages in collaboration with world artists such as: Alan Syliboy & the Thunder Makers, Mocean Dance (Where Dance & Music Meet, Touring Utawtiwow Kijinaq), Nestuita’si Storytelling (Koqm & Winter Moons), Biennale, Spirit Song Festival, Prismatic Arts Festival, IOTA Bodies in Movement, JUNOS, performed with Yo-Yo Ma/Jeremy Dutcher & Toronto Symphony, Symphony Nova Scotia, and more.
Sarah Prosper (elle/iel/nekm) est originaire de la Première Nation d’Eskasoni (Mi’kmaq). Dans sa pratique, elle s’intéresse aux fils du respect et de la réciprocité dans la danse, le mouvement, les sciences sociales, la justice sociale, la santé mentale et la terre. Elle commence la danse à l’âge de deux ans à l’École des arts du Cap-Breton (Gallop’s), puis suit les programmes de danse parascolaires NADACA. Sa première chorégraphie, SAMQWAN, primée aux prix Merritt a été présentée entre 2021 et 2023 au Highland Arts Theatre, au Neptune Theatre, au Festival de Stratford et aux Jeux du Canada.
Son travail l’a menée à tourner à l’international et a créé des œuvres communautaires favorisant le mieux-être. Elle a obtenu en 2022 le Prix du mérite pour un artiste autochtone de la Nouvelle-Écosse et a été récompensée par la Province House en 2023. On a pu la voir sur les scènes nationales aux côtés de grands noms comme Alan Syliboy & The Thunder Makers, Mocean Dance (Where Dance and Music Meet, tournée de la pièce Utawtiwow Kijinaq), Yo-Yo Ma, Jeremy Dutcher et l’Orchestre symphonique de Toronto, l’Orchestre symphonique de la Nouvelle-Écosse, et Koqm (Winter Moons, production de Nestuita'si Storytelling). Elle s’est également produite à la Bonavista Biennale, au Festival Spirit Song, au Festival Prismatic Arts, à l’IOTA Institute (résidence Bodies in Movement) et aux prix JUNO.
Dancer, choreographer and teacher, Siôned is a vibrant member of the Canadian dance community. Siôned Watkins brings over 20 years of professional dance experience to her movement teachings. After graduating from Les Atelier de danse de Montréal, she began dancing for various Montréal dance companies including 10 years of international touring with Danièle Desnoyers' company, Le Carré Des Lombes. After studying and training in a myriad of movement methodologies, Siôned was introduced to Gyrokinesis® in 2007 during a residency in Banff with Dana Gingras and thus began her journey to becoming a certified and licensed Gyrotonic® and Gyrokinesis® instructor. Also an Active Isolated Stretching (AIS) practitioner, Siôned is dedicated to sharing these modalities with professionals, teachers and students alike. She has taught at École De Danse De Montréal, UQAM, Concordia University, Université d'Ottawa, School of Dance and Ottawa Dance Directive. Siôned is the Dance Education Associate and Teaching Artist for the National Arts Centre.
Interprète, chorégraphe et enseignante, Siôned joue un rôle dynamique au sein de la communauté de la danse au Canada. Experte dans lʼart du mouvement, Siôned Watkins a plus de 20 ans dʼexpérience dans le domaine de la danse professionnelle. Après avoir obtenu un diplôme des Ateliers de danse moderne de Montréal, elle a dansé pour plusieurs compagnies de danses montréalaises, notamment Le Carré des Lombes de Danièle Desnoyers, avec lequel elle sʼest produite en tournée à lʼéchelle mondiale pendant dix ans. En 2007, alors quʼelle était en résidence à Banff, elle a découvert la Gyrokinésis®, qui est venue complémenter une formation riche en méthodologies du mouvement. Elle poursuit dès lors un certificat en Gyrotonic® et en Gyrokinésis®. Spécialiste de lʼétirement isolé actif (EIA), elle sʼest engagée à partager son enseignement aussi bien avec des professionnels quʼavec des étudiants, notamment à lʼÉcole de danse contemporaine de Montréal, à lʼUniversité du Québec à Montréal, à Concordia, à la School of Dance, au Centre de danse contemporaine à Ottawa et lʼUniversité dʼOttawa. Elle et associée en éducation et artiste enseignante de la Danse au Centre national des Arts.
Sunshine Tnasco is Anishinabe, from Kitigan Zibi Anishinabeg, Quebec. She is a clean water activist, mother of four and an entrepreneur, founder of Her Braids (herbraids.com) and Pow Wow Pitch (powwowpitch.org). Her first book was Nibi’s Water Song.
Sunshine Tenasco est mère de quatre enfants et vit dans la communauté de Kitigan Zibi Anishinabeg. Selon cette entrepreneuse sociale et autrice, les affaires sont un milieu propice pour provoquer un changement positif. Elle a lancé Her Braids en 2015 pour sensibiliser la population au sujet des problèmes d’eau potable dans les communautés des Premières Nations par l’entremise de pendentifs en perlage, d’ateliers et de son livre Nibi’s Water Song pour enfants.
Thomas Annand was a student of Graham Steed, John Grew, and Marie-Claire Alain. In 1987 he won First Prize at the RCCO National Organ Competition and since then has pursued an active career as a performer on organ, harpsichord, and as conductor. He has been Director of Music at St. Andrew’s Church, Ottawa since 1992, giving over 200 recitals there including a series of weekly recitals where he performed a vast repertoire including the ten symphonies of Widor, the complete organ works of Liszt, Franck, and Mendelssohn. As harpsichordist he performed all the major works of Bach in seven marathon recitals in 2004–2005. He has performed as a soloist with the National Arts Centre Orchestra and Les Violons du Roy, touring with them to Carnegie Hall on three occasions. He has been a featured artist in the Boston Early Music Festival, the Carmel Bach Festival, the International Congress of Organists, and the Ottawa International Chamber Music Festival. As a conductor he was the founder of Capital BrassWorks with whom he recorded for the CBC SM5000 series, and a frequent guest conductor of the Thirteen Strings. He has appeared on film (Denys Arcand’s Le Règne de la beauté), radio, and television. In addition he has had his choral music published and performed and has contributed continuo realizations to editions of early music. Thomas Annand is a Fellow of the RCCO for which he has worked as an examiner and a jury member for the Organ Playing Competition, and is a past-Chair of the Ottawa Centre.
Thomas Annand a étudié sous Graham Steed, John Grew, et Marie-Claire Alain. Il a remporté le premier prix à la Compétition nationale d’orgue du CRCO en 1987, et mène une carrière active depuis ce temps comme interprète d’orgue et de clavecin, ainsi que chef d’orchestre. Annand est également directeur musical de l’église St Andrew’s, à Ottawa, depuis 1992, où il a offert plus de 200 concerts, dont une série hebdomadaire de concerts où il interprétait un vaste répertoire comprenant les dix symphonies de Widor, ainsi que l’intégrale des compositions pour orgue de Liszt, Franck et Mendelssohn. Comme claveciniste, il a interprété toutes les œuvres majeures de Bach lors de sept concerts marathons en 2004-2005. Il s’est produit comme soliste avec l’Orchestre du Centre national des Arts et Les Violons du Roy, accompagnant ces derniers en tournée à Carnegie Hall à trois reprises. Il a été artiste invité au Early Music Festival de Boston, au Carmel Bach Festival, au Congrès international des organistes et au Festival international de musique de chambre d’Ottawa. Comme chef d’orchestre, il a fondé Capital BrassWorks avec qui il a enregistré pour la série CBC SM5000, en plus d’être chef invité à plusieurs reprises pour Thirteen Strings. On a pu le voir au cinéma (Le Règne de la beauté de Denys Arcand) et au petit écran, en plus de l’entendre à la radio. De plus, sa musique pour chorale a été publiée et interprétée, et il apporte régulièrement des contributions à des éditions de musique ancienne. Thomas Annand est membre du CRCO, pour qui il a agi comme examinateur et membre de jury pour le Concours d’orgue, et ancien président du Centre d’Ottawa.
Vicki Stroich is honoured to live and work on the unceded, traditional territories of the of the Secwépemc Nation and the Syilx Okanagan Nation in the North Okanagan after joining the Caravan Farm Theatre team as Artistic and Environmental Programs Manager. Vicki is a dramaturg, nonprofit leader and community builder with over 25 years of experience. Designing and hosting creative spaces and fostering collaboration are Vicki’s great passions. Prior to joining Caravan Farm Theatre full time, Vicki was based in Calgary and worked for Alberta Ecotrust and Alberta Theatre Projects. She also works with a range of artists and organizations as a dramaturg and facilitator. She has a BFA Drama from University of Calgary and an Extension Certificate in Social Innovation and Changemaking from Mount Royal University. She is a Board Member for the Centre for Sustainable Practice in the Arts and Literary Managers and Dramaturgs of the Americas. Vicki has received a Betty Mitchell Award for Outstanding Achievement for her work on new Canadian plays.
Aujourd’hui responsable des programmes artistiques et environnementaux pour le Caravan Farm Theatre, Vicki Stroich a l’honneur de vivre et de travailler sur les territoires traditionnels non cédés des Nations Secwépemc et Syilx Okanagan, dans l’Okanagan-Nord. Conseillère dramaturgique, dirigeante d’organismes à but non lucratif et bâtisseuse communautaire comptant plus de 25 ans d’expérience, elle se passionne pour la conception et l’organisation d’espaces créatifs favorisant la collaboration. Avant d’occuper son poste actuel à temps plein, elle a vécu à Calgary et travaillé pour la Fondation Alberta Ecotrust et pour Alberta Theatre Projects. Elle collabore avec un éventail d’artistes et d’organisations à titre de conseillère dramaturgique et animatrice. Elle possède un baccalauréat en théâtre de l’Université de Calgary et un certificat de perfectionnement en innovation et changements sociaux de l’Université Mount Royal. Elle est membre des conseils d’administration du Centre for Sustainable Practice in the Arts et de Literary Managers and Dramaturgs of the Americas. Elle a remporté un prix Betty Mitchell pour ses contributions exceptionnelles à la création de pièces canadiennes.
Yosuke Kawasaki currently serves as Concertmaster of the NAC Orchestra and Guest Concertmaster of the NHK Symphony Orchestra in Tokyo. His versatile musicianship allows him to pursue a career in orchestra, solo, and chamber music. His orchestral career began with the Montgomery Symphony Orchestra and soon led to the Mito Chamber Orchestra, the Saito Kinen Orchestra, and the Japan Century Orchestra, all of which he led as concertmaster. His solo and chamber music career spans five continents, collaborating with artists such as Seiji Ozawa, Pinchas Zukerman, and Yo-Yo Ma and appearing in the world’s most prestigious halls such as Carnegie Hall, Suntory Hall, and the Royal Concertgebouw.
Yosuke’s current regular ensembles are Trio Ink and the Mito String Quartet. His passion for chamber music led to his appointment as Music Director of the Affinis Music Festival in Japan. He is also an artistic advisor to the chamber music festival Off the Beaten Path in Bulgaria.
As an educator, Yosuke has given masterclasses and performed alongside students in schools across Canada. Well-versed in the string quartet literature, he was entrusted by Seiji Ozawa as the youngest faculty member of the Ozawa International Chamber Music Academy at age 26. He was also an adjunct professor of violin at the University of Ottawa School of Music from 2013 to 2022 alongside the beloved pedagogue Yehonatan Berick.
Yosuke began his violin studies at age six with his father, Masao Kawasaki, and Setsu Goto. He was subsequently accepted into The Juilliard School Pre-College Division, where he furthered his education. He graduated from The Juilliard School in 1998 under the tutorship of Dorothy DeLay, Hyo Kang, Felix Galimir, and Joel Smirnoff.
Yosuke Kawasaki est violon solo de l’Orchestre du CNA et premier violon invité de l'orchestre symphonique NHK à Tokyo. Sa polyvalence artistique lui a permis de faire carrière en musique symphonique, en musique de chambre et comme soliste. Comme musicien d’orchestre, il a fait ses débuts à l’Orchestre symphonique de Montgomery. Il a ensuite été violon solo à l’Orchestre de chambre Mito, à l’Orchestre Saito Kinen et au Japan Century Orchestra. Comme artiste solo et chambriste, il a fait carrière sur cinq continents. Il a collaboré avec des musiciens comme Seiji Ozawa, Pinchas Zukerman et Yo-Yo Ma, et s’est produit dans les plus prestigieuses salles du monde, dont le Carnegie Hall, le Suntory Hall et le Royal Concertgebouw.
Yosuke est actuellement membre de deux ensembles, Trio Ink et Mito String Quartet. Passionné de musique de chambre, il est directeur musical du Festival de musique Affinis au Japon. Il est aussi conseiller artistique d’un festival de musique de chambre bulgare appelé Off the Beaten Path.
En tant qu’enseignant, Yosuke a œuvré partout au Canada, offrant des classes de maître et jouant avec des élèves dans leurs écoles. Spécialiste du répertoire pour quatuor à cordes, il est devenu à 26 ans le plus jeune enseignant de l’académie internationale de musique de chambre Ozawa, un poste qu’il s’est vu confier par Seiji Ozawa. Il a aussi été professeur adjoint de violon à l’Université d’Ottawa de 2013 à 2022, aux côtés du très aimé pédagogue Yehonatan Berick.
Yosuke a commencé le violon à l’âge de six ans, d’abord sous la tutelle de son père Masao Kawasaki, puis sous celle de Setsu Goto. Il a par la suite été accepté dans la section précollégiale de l’école Juilliard, et a été diplômé de cette institution en 1998. Il y a étudié auprès de Dorothy DeLay, Hyo Kang, Felix Galimir et Joel Smirnoff.
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